Le fils de mon amie

La rédaction 29 juin 2023

Dans notre histoire de sexe du jour, Marie-Claire, 64 ans fait la rencontre de Nicolas, 34 ans, qui vient de se faire larguer. Elle va lui remonter le moral

Il y a quelques années, j’ai connu une histoire de sexe avec un homme beaucoup plus jeune que moi. C’était en 2013. J’avais alors 60 ans et je passais l’été dans mon mas en Provence, un héritage de famille. J’y avais invité le fils d’une amie proche, Nicolas, 34 ans, qui venait de se faire larguer par sa compagne. Il était très déprimé et avait accepté mon invitation sans se faire prier. Les deux premiers jours, il est resté totalement muet et inactif, affalé sur son transat. Rien ne semblait pouvoir le distraire.

Nue et mouillée…

Comme mon mas est perdu dans la garrigue, j’ai pour habitude d’y vivre en été complètement nue du soir au matin. En sa présence, je portais tout de même un maillot deux-pièces et, le soir, un kimono de soie ultra-court. Mais le troisième jour, ne voulant pas avoir de marques de maillot, j’ai ôté mon soutien-gorge pour bronzer seins nus sur mon transat.

J’ai tout de suite vu que le regard de Nicolas se portait vers ma poitrine, que j’ai plantureuse et lourde, mais encore bien ferme pour mon âge. Ses regards me troublaient et m’amusaient en même temps. Involontairement, j’avais trouvé le moyen de le sortir de sa torpeur !

Cela a également eu pour conséquence de réveiller en moi des désirs que je croyais évanouis. Poursuivant ce qui n’était jusque-là qu’un jeu, j’ai lancé à mon jeune ami : « ça ne te gêne pas que je fasse de l’intégral ? » Il a répondu que non. Faisant glisser mon petit slip de bain, je me suis retrouvée à poil, exhibant mon ventre et ma petite touffe noire…

J’ai la chance d’être bien conservée car je m’entretiens avec beaucoup de soins, de sport et, visiblement, Nicolas appréciait mes formes. Nue, je suis allée m’ébattre dans la piscine avant d’en sortir ruisselante et de marcher vers lui. J’étais excitée avec une envie dingue de baiser, mais je m’efforçais de rester calme. Je détectais une bosse sous son slip de bain, ce qui ne faisait qu’accentuer la petite inondation que j’avais entre les cuisses. Ce fut tout pour ce jour-là, mais je me suis caressée comme une folle sur mon lit la nuit venue.

Sans artifices…

L’affaire se décanta le lendemain. Nue dans la cuisine, je préparais notre petit-déjeuner. Nicolas s’est figé sur le pas de la porte, puis il a fait comme si de rien n’était. Pourtant, il matait chaque parcelle de mon corps, que je faisais exprès d’exposer et de faire onduler. Plus tard, nous nous sommes retrouvés près de la piscine. Je lui ai suggéré de faire comme moi et d’enlever son maillot. Après un temps d’hésitation, il s’est exécuté et s’est retrouvé nu, doté d’une magnifique érection qu’il a maladroitement tenté de cacher. J’étais déchirée par un conflit intérieur. C’était le fils de mon amie ! L’envie qui me tenaillait le ventre a pourtant eu raison de ma résistance. « Eh bien, quel engin ! », j’ai dit en empoignant son sexe hyper bandé. J’ai commencé par le masturber délicatement. Nicolas m’a demandée ce que je faisais, mais avec si peu de conviction que ça m’a incitée à poursuivre ma branlette. Il m’a ensuite laissée l’astiquer avec de plus en plus de vigueur.

J’avais une envie folle de me jeter sur sa bite, de la dévorer, de me la fourrer partout, mais je ne voulais pas passer pour une dépravée. Il ne m’en a de toute façon pas laissée le temps puisqu’il a éjaculé presque aussitôt. Le jet a inondé ma main ; il était clair qu’il soulageait une abstinence trop longtemps contenue. Nous en sommes restés là pour cette journée. J’étais heureuse de lui avoir procuré un peu de plaisir, mais je me sentais si frustrée que je me masturbais une bonne partie de la nuit suivante en imaginant toutes les cochonneries que nous pourrions faire. J’avais perdu toute notion de morale.

Le lendemain, Nicolas s’est présenté à son tour à poil au petit-déjeuner, la queue (déjà) au garde-à-vous. Je me suis jetée à ses pieds à même le sol pour emboucher sans hésiter le bel attribut masculin. Je l’ai sucé avec une telle vigueur qu’il m’a suppliée plusieurs fois de ralentir, sans quoi nos ébats auraient encore tourné court

. Je l’ai pris par la main et je l’ai entraîné dans le jardin. J’ai déplié une couverture sur l’herbe. Cette fois, sans hésitation, c’est Nicolas qui m’a allongée et ouvert les cuisses, avant de se jeter sur ma foune déjà trempée, qu’il s’est mis à lécher bruyamment. Je me trouvais dans le même état que lui : frustrée d’une trop longue d’abstinence. Aussi, j’ai joui très vite sous sa langue experte. Je l’ai attiré sur moi. Oh, la position n’était pas très originale, un bon vieux missionnaire, mais je le voulais tellement en moi, que la position m’importait peu. J’ai poussé un cri lorsqu’il s’est enfoncé d’un seul coup, sur toute sa longueur. Cela faisait 6 ou 7 ans que je n’avais pas eu de bite dans mon ventre.

Nicolas était tout au fond de mon abricot et s’est mis à ramer de plus en plus vite. Je lui ai hurlé de me baiser. Nicolas me tringlait comme un fou, me secouant comme un prunier. Mes seins ballottaient en tous sens, ma mouille débordait de ma chatoune en fusion. Tout cela sous le soleil et le ciel bleu, au son du chant des cigales.

Je lui disais que j’étais sa garce. Il savait ralentir à point nommé, laisser retomber la tension, avant de reprendre sa chevauchée frénétique. C’est moi qui craquais, jouissant à plusieurs reprises, criant, hurlant des obscénités, tandis qu’il se maîtrisait toujours. Nous avons baisé en levrette, en cuillère… Jamais je n’avais été si bien baisée, même par mon ex-mari qui pourtant était performant.

Nicolas n’arrêtait pas de crier à quel point c’était bon. Enfin, il a joui à son tour et s’est vidé en moi à n’en plus finir. Il a eu une bonne douzaine de spasmes ! Pour conclure, nous avons échangé un interminable baiser à pleine bouche. Pour la première fois depuis son arrivée, j’ai vu un sourire radieux illuminer son visage.

Inutile de préciser que nous avons recommencé tous les jours durant ces vacances, et même plusieurs fois par jour. Exception faite de quelques sorties nécessaires, nous vivions nus nuit et jour. J’ai été baisée et rebaisée comme cela ne m’était jamais arrivée dans ma vie. Nous nous sommes revus à Paris après les vacances, tantôt chez lui, tantôt chez moi, pour de mémorables séances de baise. Cette relation basée sur le sexe a duré 2 ans. Nous avons aussi vécu d’autres séjours chauds dans mon mas.

Lorsqu’il m’a annoncée qu’il voulait que nous vivions ensemble, j’ai pourtant refusé catégoriquement. Nous n’aurions pas pu cacher une vie de couple à ma famille, très « catho coincée » et cela aurait déclenché un scandale. Heureusement, Nicolas s’est découvert des affinités avec une de ses collègues. Et il l’a épousé un an plus tard. À part ici, je n’avais jamais parlé de cette histoire auparavant. Et j’en suis réduite, aujourd’hui, à me remémorer mes exploits en me masturbant activement à leur évocation.

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