Bonne la voisine
20 avril 2023Patrick, 27 ans, est le voisin de Sabine. Ils vont se rapprocher lors d’une séance de cuisine torride où Sabine s’avère très joueuse…
Ma voisine du dessous depuis deux ans, Sabine, est devenue une bonne copine, même si elle adore me chambrer. Elle me fait tout le temps des remarques sur mon alimentation. Il faut dire qu’elle croise régulièrement le livreur de pizzas dans l’ascenseur… Alors elle me dit qu’un jour, elle va débarquer chez moi pour me cuisiner de vrais légumes, et pas des champignons sur une quatre-saisons. Elle a tenu sa parole, et voici notre histoire de sexe !
Ma voisine me prépare à manger
Un soir, elle arrive avec un cabas plein de trucs verts qui ne font pas envie. À peine je lui ai ouvert la porte qu’elle s’installe dans la cuisine et sort ses trucs : un melon, des tomates, des haricots et un gros concombre qu’elle commence à nettoyer dans l’évier. Je suis un peu surpris, alors je fais une vanne : « Ben dis donc, Sabine, tu as l’intention d’en faire quoi de ton engin ? »
Elle rigole et commence à jouer avec : elle le tient fermement d’une main et le fait coulisser de l’autre. Je me rapproche d’elle, mort de rire, et je lui prends des mains pour le mettre devant ma bouche, en mimant une pipe. Je vois son regard changer : une lueur dans ses yeux, un truc bizarre que je n’avais jamais vu chez elle… Elle me reprend le légume et le met devant ses lèvres. Elle tire une petite langue rose et lèche la pointe… Mais qu’est-ce qu’elle fait ? Je pensais à une plaisanterie mais là, elle est vraiment en train de s’en servir de façon sexuelle…
J’hésite mais devant son regard gourmand, je pousse le concombre un peu plus vers elle. Elle le prend entre ses lèvres et suçote le bout. Je voudrais que ça soit ma queue. Cette idée me fait bander, et je ne peux pas m’empêcher de porter ma main à mon paquet. C’est tout dur.
Elle suce de plus en plus franchement en matant mon entrejambe qui gonfle. Je tire sur ma queue à travers mon futal et puis je le sors. Ma nouille a doublé de volume. Sabine en veut plus. Elle me demande où est la chambre. Je la prends par la main et je l’entraîne derrière moi.
Ma voisine me suce la bite
Sur le lit, on se dessape. Même pas le temps de s’embrasser, on veut du cul tous les deux. Elle me fait lécher le concombre. Ça fait un peu pédé mais ça m’excite, ça me rappelle les douches au collège, quand on s’amusait avec certains copains. Je repense à ça en suçant à mon tour. Mon sexe tire tellement que j’ai mal au gland. Heureusement, Sabine me soulage avec sa bouche. Je bave sur le concombre avec l’idée de lui faire plaisir avec ensuite, comme elle me fait plaisir en prenant ma queue entre ses lèvres.
Un concombre dans la chatte de la voisine
Sabine s’allonge. Je tiens le légume fermement. Je le frotte sur sa vulve, ça fait un bruit mouillé. Je le mets bien droit et je pousse. Ça force. Alors je crache dessus. Ma voisine gémit. Elle en veut… Je pousse le concombre, et il écarte ses grandes lèvres, puis les petites… Je n’en peux plus de voir tout ça. Sabine m’aide : elle attrape la courge et se l’enfonce avec un mouvement de spirale. Elle se cambre en même temps et crie… Ça a l’air bon.
Peut-être que je pourrais me faire du bien avec aussi, mais je n’ose pas. Alors je pense à ça : le concombre dans mon cul et puis Sabine qui me gode avec, en levrette. Je me branle, tout en titillant le clito de ma jolie voisine. Le concombre a disparu à moitié dans sa chatte tellement elle appuie fort dessus. On jouit tous les deux très fort.
Sabine est revenue ensuite toutes les semaines. Au début avec des fruits et des légumes frais. Ensuite, avec de la lingerie coquine. À chaque fois, je la doigte en lui parlant de ce que je voudrais lui rentrer dans la chatte : tous mes doigts, des godes et même une aubergine bien grosse. Elle adore ça. Je la baise aussi en levrette, en m’imaginant souvent à sa place. J’aimerais tant qu’elle me prenne un jour avec un gode ceinture…
Il faudrait que je lui demande. Quand je jouis sur sa chatte, j’ai envie de lui crier que je l’aime. Je le ferai bientôt je pense. Peut-être qu’elle me lit ? Sabine, je t’adore et je voudrais passer toutes mes nuits dans tes bras.