Sexcapade juteuse

La rédaction 5 août 2021

Dans mon groupe de copains, je suis un peu le grand coincé : informaticien et célibataire à 32 ans. Mes amis se moquaient pas mal de moi jusqu’à ce qu’ils comprennent que j’avais très envie d’une petite copine. Mais pas évident quand on est timide et qu’on rêve d’une histoire sérieuse, à une époque où beaucoup de gens de notre âge pensent surtout à profiter de la vie ! Mon copain Patrick a alors décidé de donner mon nom et mon téléphone à une amie à lui, célibataire aussi. J’ai trouvé l’idée assez nulle : pourquoi une femme inconnue voudrait-elle me rencontrer sans rien savoir de moi ou presque ? Pourtant, quelques jours plus tard, Léa m’a appelé… Je m’appelle Fred et voici mon histoire porno.

La fabuleuse Léa

Elle avait une voix douce, pas vraiment ce que j’avais imaginé. Patrick m’avait décrit une rouquine un peu fofolle, du genre de celles qui justement ne cherchent qu’à batifoler. Selon lui, elle cherchait maintenant à se caser… Sauf qu’elle n’avait pas prévu pour autant d’arrêter de s’amuser ! Je l’ai compris quand elle m’a dit d’un ton enjoué : « J’aime beaucoup les photos que j’ai vues de toi sur Facebook. Mais tu es un peu pâlot… Ça te dit que je t’emmène pique-niquer au grand air ? ».

J’ai rigolé, c’est vrai que j’avais un teint de navet. On a convenu de se retrouver en bas de chez elle : moi avec ma voiture, elle avec un panier-repas printanier. Le samedi suivant, j’ai mis ma plus belle chemise et j’ai filé récupérer Léa. Dès que je l’ai vue, avec sa petite robe qui moulait ses jolies formes et sa frimousse de canaille, je me suis dit qu’elle était trop bien pour moi. Tout gêné quand elle est montée, je me suis senti rougir et balbutier : « Coucou Léa, tu es aussi charmante que ce que Pat m’avait dit ! ». Elle a éclaté d’un rire enfantin. J’étais sous le charme… Et Léa a tout fait pour que je le reste ! Sa conversation enjouée m’a permis de me détendre. J’ai même eu droit à un compliment pour avoir trouvé un parfait endroit pour le pique-nique. Selon la belle Léa, j’étais mignon et doté d’un bon sens de l’orientation.

En plein soleil, allongés dans l’herbe, nous avons grignoté quelques chips en papotant. Léa et moi avions plein de points en commun. Très geek, elle était fan de jeux vidéo, enseignait les sciences au collège, aimait les chiens comme moi et adorait le sexe. Quand elle a balancé ça, je me suis étouffé sur une tomate cerise. Et je ne vous raconte pas quand elle m’a demandé d’une voix mutine : « Tu veux que je te montre ? ».

Elle a pris la pose

Sous le choc, j’ai vu ma Léa enlever sa robe, dégrafer son soutien-gorge et ôter sa petite culotte blanche. Nue comme un ver, elle s’est alors mise à quatre pattes et m’a dit : « Prends-moi en photo avec ton téléphone, je veux des souvenirs de notre premier rendez-vous ! ». J’ai obéi comme un robot, les yeux fixés sur sa sublime poitrine et sa minette bien rasée. La première que je voyais depuis longtemps…

Léa s’est alors placée devant moi et à commencer à s’exciter avec ses doigts. Sans réfléchir, je me suis mis nu à mon tour et j’ai commencé à me branler en la regardant. C’est ce qu’elle voulait, je le voyais dans ses yeux. Ma queue gonflait de plus en plus, et Léa la fixait d’un air gourmand. « Tu es bien droit comme j’aime, laisse-moi me faire plaisir sur toi ! ». Et elle m’a enfourché sans plus de façons.

Quel pied ! Son minou était moite et chaud comme un chausson aux pommes. Je me suis dit qu’il était sans doute aussi parfumé, et l’idée de la goûter m’a fait bander davantage. Léa oscillait maintenant sur ma queue telle une fière amazone, et je l’ai attrapée par les hanches pour m’introduire encore plus loin en elle. J’étais maintenant tout au fond. La belle s’est mise à miauler comme une chatte en chaleur au point que j’ai commencé à m’inquiéter. Si un promeneur passait à proximité, nous étions grillés ! J’ai accéléré le rythme en espérant la faire jouir, et taire. Mauvais calcul : elle a hurlé de plus belle pendant de longues minutes. Je me retenais pour ne pas balancer la purée avant qu’elle ait terminé, une vraie torture.

Léa s’est enfin cambrée et a lâché un long soupir. J’avais accompli ma mission ! Soulagé de l’avoir contentée, je me suis retiré doucement, pensant que nous avions terminé. Elle s’est alors allongée devant moi et m’a dit doucement : « Je voudrais te sentir couler sur mes lèvres». Je me suis alors masturbé sur son bas-ventre et j’ai joui en plusieurs petits jets serrés. Elle a ensuite tout étalé sur sa cramouille encore luisante de plaisir.

Je dédie ce courrier à ma Léa qui fait mon bonheur depuis bientôt un an. Ma chérie, je t’aime et jamais je n’oublierai notre première sexcapade !

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