Hôtel Cali-fornique

La rédaction 29 juillet 2023

Didier, 43 ans, raconte sa première partouze dans l’hôtel où il travaille : 2 femmes et 2 hommes… tous autant chauds les uns que les autres.

Je m’appelle Didier, 43 ans, de Nice. Je viens de vivre ma première partouze, un truc qui me chauffait depuis un moment. Je sais que vous en raffolez, mes cochons, alors voilà toute l’histoire de sexe.

Un hôtel érotique ?

Je bosse dans un hôtel de la région, comme directeur de la sécu. Un taf pépère, où je me suis fait des copains. Notamment Gilou, que j’ai recruté il y a 2 ans, et qui partage ma passion pour les p’tits culs. En plus, le Gilou laisse toujours traîner une oreille et nous trouve des plans sympas.

Il y a 15 jours, il s’est pointé avec une info – de la dynamite, mes canaillous ! Célia, une des femmes de chambre de l’établissement, filait en douce des piaules libres à des connaissances. Je suis donc allé voir la belle après son service, et je l’ai confrontée.

Elle n’a pas mis longtemps à craquer : à peine j’avais balancé ce que je savais que la coquine au tempérament de feu me proposait un deal. Un plan avec moi et Gilou, la semaine d’après, à l’hôtel. La cochonne était tellement reconnaissante de s’en sortir comme ça qu’elle est devenue tout sucre : « Je vais faire venir une copine. Tu verras, tu ne regretteras pas ! » Elle avait raison.

Le jour J, vers 22 h, Gilou et moi sommes montés dans une suite où j’avais filé rencard à Célia. Elle et sa pote, Hélène, une toute blonde comme elle, nous attendaient, déjà bien allumées, dans la grande chambre. On les a rejointes autour de la table basse et on a profité de la boisson qu’elles avaient amenée. Au bout d’une demi-heure, on était tous chauds comme des baraques à frites. Les hostilités pouvaient commencer.

Une nuit pas comme les autres

Ce sont les filles qui s’y sont mises en premier. Elles ont étendu une couverture sur le sol et elles se sont dépoilées en se roulant des grosses pelles. Clairement, ça n’était pas leur première fois… Gilou et moi, on s’est déshabillés aussi et on s’est calés dans le canapé pour se branler. C’était trop bon de les voir l’une au-dessus de l’autre, à se frotter la minette…

J’ai eu envie de les rejoindre et je peux vous dire que de voir ces deux chattes en chaleur qui m’entouraient, puis me prenaient en bouche, ça m’a fait tout drôle ! Gilou, lui, s’est contenté d’observer, en prenant quelques photos à mater plus tard.

J’ai laissé les donzelles me faire durcir le gland à coup de léchouilles, puis Célia a décrété que j’étais prêt. Elle a pris Hélène par la main, et s’est assise sur le canapé et je me suis allongé dans l’axe.

Hélène s’est alors calée à califourchon sur moi et, d’un coup d’un seul, a fait disparaître mon chibre entre ses cuisses. J’ai gémi quand elle a commencé à me chevaucher, tout en léchant la chatte d’Hélène. Dans cette position, je voyais sa langue disparaître entre les lèvres de la belle, pendant qu’elle faisait monter la sève de mon dard…

Un voyeur finalement actif

Gilou a fini par vouloir sa part. Le bout à la main, il a demandé à Hélène de s’occuper de lui. Quand elle s’est relevée pour le rejoindre sur l’autre canapé, j’ai vu un filet de salive goutter de sa chatoune… La mater en train de pomper Gilou m’a mis dans tous mes états.

J’avais testé la minette d’Hélène, je voulais maintenant la bouche de son amie. À deux, on s’est occupés d’elle : Gilou qui lui bouffait le cul, moi qui lui ramonait la gorge. Elle suçait vraiment profond, avec des bons petits gémissements.

Mais Célia, elle, s’ennuyait, et je l’ai vue disparaître dans la salle de bain. Alors je l’ai suivie, pour la retrouver à quatre pattes dans la baignoire, l’air catin. Il m’a suffi d’enjamber le rebord pour me la trouver ventousée aux prunes, à les avaler comme après une grève de la faim.

Un fin intense et agitée

Gilou et Hélène sont entrés à leur tour et la belle a voulu participer à sa façon : elle a fait couler un bain moussant tout chaud, dans lequel mon pote est entré avec entrain. Nous n’avons eu qu’à nous partager Célia, décidément d’humeur chienne : je lui ai dilaté la chatte et le cul avec les doigts, et j’ai dirigé moi-même le chibre de Gilou dedans, un trou après l’autre.

Jamais je ne pensais aller aussi loin, mais sentir ce gros mandrin dur dans ma main, et le guider centimètre par centimètre dans l’anus serré de la blonde, ça a été le pic de mon plaisir. J’ai éjaculé dans l’eau sans même me masturber. Gilou a fini par jouir dans le petit trou de Célia, mais cette garce n’en avait pas eu assez.

Elle est sortie du bain, a attrapé une serviette et a quitté la pièce, main dans la main avec Hélène, qui n’en avait pas perdu une miette depuis le rebord de la baignoire. On les a retrouvées toutes les deux allongées sur leur couverture. La seconde en train de nettoyer le foutre du cul de la première, les deux gémissant à fendre l’âme. On les a laissé finir tranquilles, en se disant qu’on avait encore bien des choses à tester lors d’une prochaine soirée.

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