Correspondance érotique
23 septembre 2022Marc, 63 ans
Je me suis inscrit pour la première fois sur un site de rencontres quand nous avons ouvert notre couple avec ma femme. Nous avions tous les deux un peu envie d’aller voir ailleurs, pour mieux nous retrouver ensuite, car nous sommes tous les deux très actifs sexuellement et souhaitions vivre de nouvelles explorations.
Mieux vaut tard que jamais
Je me suis donc inscrit sur une célèbre application. Je n’ai pas mis de limite d’âge dans mes critères et je suis rapidement tombé sur une fille d’à peine 40 ans. J’en ai moi-même 63 et j’ai été étonné qu’elle accepte de me parler. Elle m’a dit qu’elle cherchait un correspondant avec qui échanger des textes chauds, car c’était cela qui nourrissait sa libido et elle avait remarqué que c’était les hommes plus matures qui écrivaient le mieux et qui étaient les plus audacieux dans les mots et les tournures. Après plusieurs jours de discussions virtuelles à nous confier sur nos pratiques préférées, nous avons été d’accord pour nous envoyer des longs textes explicites. J’ai dû commencer, pour donner le ton. La dame, Léa, me mettait au défi. Je lui ai demandé quel type d’histoires elle aimait, ce à quoi elle a répondu qu’elle voulait être mise en scène dans la fiction, et je me suis lancé. Dans ma première lettre, je lui ai dit tout ce que je pourrais lui faire, et nous prenions dans mon récit les traits d’un couple d’amants très épris. J’ai donc décidé de vous livrer la genèse de cette relation épistolaire.
« Chère Léa,
Nos ébats de la nuit dernière résonnent encore en moi. À tel point que j’ai envie de les coucher sur le papier pour en garder une trace. Tu as commencé par t’approcher de moi et tu as fait fi de ma peau qui a vécu pour me prendre dans tes bras. Puis j’ai soulevé ta robe et j’ai découvert avec ravissement ton corps de femme. Ta chatte et tes seins étaient nus, à l’air libre, roses et pâles dans la lumière de la lampe. Tu as pris ma main pour la glisser dans ton recoin intime. J’ai senti les plis de soie, la délicatesse de tes lèvres, l’humidité granuleuse de ton intérieur. Ton visage se figeait dans l’attente de la suite, concentrée sur l’escalade de l’excitation. Tu as saisi ma queue frémissante, et tu t’es mise à l’astiquer délicatement comme s’il s’agissait d’un oiseau délicat.
La peau de mes couilles recevait la caresse soyeuse de ta main pendant que ma queue était pressée dans ta paume moite. Mon érection était très droite et très dure. Tes seins pointaient, ton clitoris était dur. Tes yeux observaient mon corps et ma bite, et je n’avais pas honte. Je voyais que tu les désirais et j’en étais très reconnaissant. Tu t’es penchée et ton beau visage a pris tout aussi délicatement mon oiseau dans ta bouche. La salive, la caresse de ta langue, la succion douce et ferme de ta bouche sur mon pieu. Je m’en remettais tout entier à l’étroitesse de tes lèvres autour de moi, pendant que ta main se promenait toujours sur mes couilles.
Puis tu m’as demandé que je te pénètre. Tu t’es positionnée en cuillère contre mon torse, dos à moi, peut-être pour imaginer d’autres hommes pendant que je te prendrais… Je me suis glissé dans ton vestibule de satin qui était des plus accueillants. Tu as frémi et gémi, je caressais tes hanches et ta nuque, dont la vue ravissante me faisait encore plus bander. J’effleurais tes épaules et tes courbes, et ma bite explorait ta chatte qui me serrait en son creux. C’était comme une main refermée autour de mon sexe et, à mesure que je te baisais, je sentais cette main s’ouvrir et se fermer, vibrer au rythme de mes allers-retours. Pendant ce temps, j’ai caressé ton clito et toi tu te branlais les tétons en fermant les yeux. Je me suis dit que tu imaginais peut-être de beaux mâles bien montés qui te baisaient et j’ai essayé de te prendre plus vigoureusement, sans jamais cesser de te branler.
Tu me disais d’aller plus vite et ma bite se perdait dans tes profondeurs, pendant que tu te figurais peut-être un bonhomme lubrique qui se branlerait en toi. Le plaisir était intense. Tu t’es cambrée dans un orgasme sonore au bout de longues minutes de pénétration, et j’ai senti tout ton corps s’arquer contre moi, entre mes bras, pendant que je déchargeais moi-même mon foutre dans ton petit trou délicieux. Je ne te remercierai jamais assez pour ce moment de volupté. »
Quelques jours après avoir envoyé mon texte, Léa m’a écrit pour me remercier à son tour en me disant qu’elle s’était masturbée en le lisant et que cela lui avait donné des sensations délectables. J’étais aux anges, et nous avons poursuivi pendant plusieurs mois notre correspondance érotique. Finalement, je suis revenu vers ma femme sans même avoir touché une autre chair !
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