Masturbation anti-déprime

La rédaction 14 octobre 2021

Je m’appelle Anne-Sophie, j’ai 27 ans et j’ai une histoire porno à partager, enfin… un remède anti-déprime plutôt.

Caresses excitantes

Depuis un certain temps, la vie me paraissait fade, sans grand attrait. Les nouvelles du monde étaient des plus mauvaises ! Et le moral n’était pas du plus merveilleux. Alors, que faire en ce début de journée qui s’annonçait morose ? Ne pas se laisser aller. La salle de bain m’est toujours apparue comme un endroit ayant le pouvoir magique de transformer une femme en gonzesse super bien dans sa peau. J’allais mettre à l’épreuve cette conviction.

Je me suis déshabillée lentement, en laissant glisser ma jupe par un léger balancement des reins. Puis j’ai déboutonné mon chemisier en commençant par le bouton du haut, de façon à laisser entrevoir la rondeur ferme de mes seins. Chaque bouton défait donnait un aperçu de ma peau lisse et bronzée. Une fois en sous-vêtements, face au miroir, je me suis plus à regarder mes épaules à la fois rondes et toniques. La courbe de mes seins ressortait avec ce soutien-gorge ultra léger qui laissait sans pudeur voir l’aréole rose de leur joli bout.

Mes mains, après avoir caressé le petit téton qui durcissait déjà, se sont insinuées sous la soie légère pour faire le tour de mes seins fermes et souples à la fois. C’était chaud, doux, réconfortant ! J’ai fait glisser les bretelles. Les deux globes se sont libérés, et j’ai pu librement les caresser, tantôt avec légèreté, tantôt en pinçant entre cieux doigts les pointes qui se fripaient sous le plaisir que je leur donnais. Le spectacle que la glace me renvoyait, l’image d’une femme aux yeux brillants, les seins gonflés de désir, me rendait heureuse.

Une chaude moiteur s’installait dans mon intimité, et je sentais une liqueur filtrer entre les lèvres de ma vulve. J’aimais cette sensation d’humidité due au plaisir. En écartant le slip diaphane, j’y ai glissé un doigt. Il s’est d’abord promené sur mes poils — les rescapés d’une épilation maillot. La peau autour était fine et douce. Et puis, il s’est inséré dans ma fente chaude, humide de fluide, en écartant les grandes lèvres. Que c’était agréable ! Je n’ai pu résister à l’envie de glisser ce doigt mouillé dans ma bouche. J’ai goûté mon jus de femme. Puis c’est mon slip, le dernier paravent de ma pudeur, qui a filé le long de mes jambes fuselées, à mes pieds.

Jouissance devant le miroir

Le miroir m’a renvoyé l’image d’un corps nu pourvu de seins agressifs, une taille fine, de hanches pleines, et de cette fente, juste soulignée par un petit triangle de poils sombres… J’avais envie d’aller plus loin dans la découverte du plaisir, ce matin-là. J’ai incliné le miroir de façon à réussir à me regarder si je m’asseyais sur le tapis de bain. C’était parfait. Assise, les jambes écartées, je voyais ma chatte entrouverte. Quand je me penchais en arrière, mes seins déployaient leur beauté.

J’ai commencé par honorer ces poids en les caressant de l’extérieur vers la pointe. Aucun homme n’arrivait à me procurer ce plaisir. Puis, ma main est descendue le long de mon ventre en s’attardant autour du nombril. Et, doucement, elle a lézardé entre mes cuisses. Pour retarder le plaisir, je gardais les jambes fermées. Petit à petit, comme dans un jeu, mes cuisses se sont légèrement écartées, juste pour y permettre l’inquisition d’un doigt curieux ; il a rapidement découvert le renflement du clitoris. Je l’ai survolé, effleuré par touches légères, avec délicatesse. Pour moi, c’est vraiment de cette manière que l’attouchement est le meilleur.

Ensuite, les petites lèvres fripées ont éclos et un doigt y a pénétré, puis deux, puis trois. Ma chatte s’est vue comblée d’être ainsi envahie. Mes doigts se sont activés à l’intérieur, tandis que mon autre main, délaissant mes seins, a rejoint cet endroit voué à la jouissance. Elle a rapidement trouvé ce clitoris tout gonflé et elle s’est mise à le faire rouler du bout des phalanges, à l’agacer gentiment. Comme c’était excitant de sentir ce liquide de plaisir couler en dehors de moi ! Je l’ai étalé sur le haut de mes cuisses et sur le bout de mes seins. Puis mes doigts ont repris leur va-et-vient dans ma chatte. J’ai senti que le plaisir allait venir. Je me suis observée, les jambes bien écartées devant mon miroir, qui allait être le témoin de ma jouissance. Des ondes en vagues successives m’ont longuement inondé le ventre. Je me suis vue, j’avais du plaisir plein les yeux ! Je me suis relevée, j’ai fait un brin de toilette ; la journée allait être belle !

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