Seins Sylvestre

La rédaction 31 mars 2022

Pour ce week-end de réveillon entre amis, Naïma est partie en éclaireuse avec Tom, l’ex de sa meilleure amie, repérer l’appartement loué pour l’occasion. En attendant l’arrivée de l’équipe au complet, quoi de mieux qu’un corps à corps brûlant pour lancer la fête et bien terminer l’année ! 

C’était le 31 décembre et mes amis et moi-même nous apprêtions à fêter dignement la fin de l’année. Il s’était passé pas mal de choses cette année-là dans notre petite bande. Ma meilleure amie Pamela avait rompu avec son copain Tom, mais ils étaient restés en bons termes pour qu’il n’y ait pas de scission dans le groupe. Je gardais ça bien précieusement pour moi, mais j’étais assez contente de ce retournement, car Tom ne me laissait pas indifférente.

Je ne m’imaginais pas faire quoi que ce soit, mais je me sentais mieux depuis qu’ils s’étaient séparés, même si je sais que ce n’est pas une bonne pensée à avoir. Ça m’avait toujours fait quelque chose, comme un pincement, quand Pamela me disait à quel point c’était génial au lit avec lui, et que c’était la chose qu’elle regretterait le plus dans leur relation. Je me suis déjà surprise à fantasmer sur ce qu’ils faisaient dans l’intimité quand elle me disait ça, et ces pensées intrusives traînaient toujours dans mon esprit pendant quelques jours.

Je savais que Tom me trouvait jolie, il me l’avait déjà dit, mais pour moi, c’était quand même un “no-go”. Je me disais, Naïma, on ne fait pas ça à sa meilleure amie, voyons !

Et en même temps, c’est un grand classique l’attirance pour le conjoint ou ex-conjoint d’un proche, une personne qu’on a pu fréquenter et avec qui on a noué une forme de complicité.

J’étais loin de m’imaginer ce qui allait vraiment advenir de mon petit coup de cœur pour Tom.

Pour ce fameux week-end du 31, nous avions loué un appartement près de la mer pour faire la fête avec tout le monde. Nous avons réparti les tâches pour le jour-J et il se trouve que Tom et moi, nous nous sommes retrouvés chargés d’aller ensemble sur place pour préparer l’appartement à nos festivités.

Nous sommes partis le matin même en éclaireurs, tous les deux, en voiture. Cette soudaine intimité était à la fois gênante et excitante. Nous avions trois heures de route devant nous, alors, nous avons beaucoup parlé et nous nous sommes rapprochés.

Il m’a expliqué sa rupture, ses états d’âme. C’était assez fort.

Nous avons aussi mis de la musique et je me suis mise à désirer follement qu’il me prenne la main et que nous nous arrêtions dans un champ pour faire l’amour. C’était comme si une fièvre m’avait gagnée tout entière et je ne pouvais plus penser à rien d’autre. Ce moment dans la voiture m’a confrontée à ce que je ressentais et m’a autorisée à le regarder en face.

C’est alors que, contre toute attente, Tom a posé une main timide sur ma cuisse gauche. Un frisson électrique a parcouru tout mon corps. « Je sais que je ne devrais pas te dire ça, mais je me suis aussi séparé d’elle parce que je commençais à ressentir plus que de l’amitié pour toi. » Mon cœur a bondi dans ma poitrine, je me suis mise à transpirer.

Sa main sur ma jambe était un puits de chaleur. J’avais envie qu’il la remonte, qu’elle disparaisse entre mes cuisses. Emportée par mon désir, le souffle court, j’ai confessé que c’était pareil pour moi, même si je ne voulais pas l’admettre, mais j’étais moi aussi très attirée par lui.

J’ai laissé sa main reposer sur ma cuisse.

C’était fou, parce que pendant les trois heures de route, nous avons parlé à bâtons rompus, et sa main allait du volant à ma cuisse, comme un oiseau délicat qui viendrait se poser sur sa branche. Chaque contact m’excitait un peu plus que le précédent et répandait un feu dans mon bas-ventre.

C’étaient comme de très longs et très subtils préliminaires qui me chauffaient à blanc. À chaque fois, il remontait un peu plus la main sur ma cuisse et à chaque fois, je rêvais qu’il plonge dans ma culotte pour toucher enfin mon sexe.

Autant vous dire que lorsque nous sommes arrivés à l’appartement, nous étions chauds comme la braise. Nous avons fait une rapide visite des lieux chacun de notre côté et, quand nous nous sommes retrouvés face-à-face dans le salon, mon corps s’est irrésistiblement retrouvé contre lui, mes hanches et mon buste plaqués contre les siens.

J’étais troublée, essoufflée par le désir et par le sentiment de commettre une faute grave.

Mais je ne pouvais plus faire marche arrière. Son souffle s’est confondu avec le mien. « Ça restera entre nous, sauf si on tombe vraiment amoureux… » a-t-il murmuré. Je ne voulais plus penser à rien, je voulais juste sa bouche et ses bras. Ses mains se sont posées sur mes seins à travers mon t-shirt. Elles étaient immenses !

J’avais l’impression qu’elles pouvaient me contenir tout entière et ça m’a rendu folle de désir. J’ai posé les miennes par-dessus et je l’ai regardé, prête pour le grand saut. Il m’a embrassée. Après les trois heures de teasing d’affilée dont j’avais profité dans la voiture, le simple contact de sa langue contre la mienne m’a fait mouiller à grandes eaux. J’étais une boule de désir, prête à bondir sur l’objet de ma convoitise. Sa queue était raide contre mon entrejambe.

Son excitation était à l’égale de la mienne, on bouillonnait de l’envie de nous attraper.

Au milieu de ce salon, en plein jour, nous sachant tranquilles pour quelques heures avant l’arrivée des autres, je me suis mise en culotte. C’était beau et naturel, ma peau caramel exposée à ses yeux, mes cheveux noirs caressaient mes épaules, tout comme son regard caressait tout mon corps. Je me suis assise sur le canapé, jambes écartées. Je n’avais aucune gêne et je m’étais rarement sentie aussi à l’aise en présence d’un homme. J’avais envie qu’il me goûte.

Il m’avait tellement excitée avec une simple main sur la cuisse que je mourrais d’envie de recevoir d’autres caresses plus franches.

Je me suis frottée contre lui et il a promené ses mains sur toute la surface de ma peau, passant ses doigts contre ma fente et constatant son inondation.

Il a retiré ma culotte.

J’étais sur le canapé, nue, chatte offerte, dans une liberté que j’avais rarement ressentie.

Lui était encore habillé, mais ça m’excitait d’être son amante soumise, offerte.

Il s’est agenouillé aux pieds du canapé et a penché son visage sur mon sexe dans une attitude de vénération. Il a embrassé très doucement mon clito et l’a effleuré avec ses lèvres. Je me suis mise à gémir comme un animal.

Il retenait encore un peu la stimulation directe de sa langue sur mon clito et tout mon corps n’attendait plus que cela. Sa langue a enfin rencontré mon sexe.

J’ai tendu le bassin vers sa bouche et je l’ai bougé en rythme avec ses coups de langue. Il y allait plus franco, si bien que j’ai fini par me vautrer dans le ­canapé, jambes ouvertes presque en grand écart, sa tête au cœur de mes cuisses, sa langue qui ne me lâchait pas d’un iota, et ses deux doigts qu’il avait plongés dans mon sexe qui me stimulaient en même temps qu’il me léchait.

Meilleur combo que cette pénétration digitale associée au cunni…

J’avais l’impression d’être shootée aux hormones du plaisir et le souvenir coupable de Pamela me semblait déjà très lointain ou du moins, beaucoup moins important que ce plaisir débordant qui me faisait perdre la tête. Sa langue qui me polissait le clito et ses doigts de fée m’ont donné un premier orgasme très violent, qui m’a ébranlée par sa puissance.

Mais je ne voulais pas en rester là. Le temps de reprendre mes esprits et je me suis agenouillée sur le tapis du salon pour déboutonner son pantalon et le déshabiller enfin à mon tour pour découvrir son corps. Sa queue était délicieusement raide, plantée au milieu de ses cuisses, émouvant.

Son visage était un peu rosi par l’effort du cunni, ses lèvres brillaient de ma mouille. J’avais tellement envie de lui, j’aurais pu passer les 48 prochaines heures à le baiser.

Je l’ai sucé avec un plaisir intense. Je voulais qu’il ressente à quel point je me donnais pour lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné. Et ça m’avait rarement fait ça auparavant, mais le sucer a remis le feu aux poudres entre mes jambes.

Sa queue bien dure coulissait entre mes lèvres, comme si ma bouche avait été taillée spécialement pour la recevoir. Entre mes jambes, je sentais mon clitoris durcir à nouveau.

Tom ne se gênait pas pour pousser des soupirs rauques qui m’encourageaient dans ma pipe, et qui augmentaient ma propre excitation.

« J’ai jamais ressenti une alchimie aussi forte avec une autre fille… » a-t-il ­soufflé. Ça m’a rendu folle. J’avais du mal à imaginer comment, après cela, nous ne pourrions pas faire l’amour tous les jours de l’année qui allait venir, ni comment, au moment de s’embrasser pour la nouvelle année, nous pourrions nous retenir de nous jeter l’un sur l’autre.

Mais nous verrions cela plus tard. L’année promettait de se terminer de la plus belle des façons, avec cet homme qui m’obsédait déjà tellement, et avec les orgasmes qu’il me donnerait certainement ce week-end entre deux portes.

J’avais l’impression qu’il pourrait me faire jouir sur commande, que je pourrai moi-même décider de jouir au bout de quelques caresses seulement, caresses qu’il me prodiguerait sur un trajet en voiture ou dans la salle de bain, en 30 secondes, et cette perspective me faisait encore plus mouiller.

Mon excitation était si forte, comme une drogue puissante, que j’ai fait quelque chose que je ne fais jamais pour une première fois : j’ai guidé sa queue vers mon petit trou.

Il m’avait donné un double orgasme en me pénétrant avec ses doigts et en me léchant, et je le sentais capable à présent de me donner un orgasme de cette manière-là, car je lui faisais confiance. Je me suis mise à genoux contre le canapé, revenue à l’état de nature, cul cambré, et j’ai posé mes mains dessus pour l’écarter.

Il m’a caressée, m’a pénétrée avec ses doigts dans le cul et la chatte simultanément, et mes fesses se sont ouvertes en grand pour le laisser passer. Il s’est couché derrière moi et il est entré en moi. Sa queue, qu’il avait lubrifiée avec mon abondante cyprine, est entrée dans mon anus avec aisance. Ses mains gigantesques ont pris mon corps et se sont baladées sur lui pour me stimuler de partout et plus il me touchait, plus je m’ouvrais, plus il pouvait s’enfoncer dans mon cul avec fermeté et puissance.

La brûlure érotique de la sodomie a irradié en moi.

J’étais entre ses mains, et je me laissais transporter dans ces sensations-là dans un état de béatitude totale. Il s’est glissé totalement sous mon corps pour me porter sur lui et m’enculer en me soutenant, mes fesses posées sur son bas-ventre.

Sa queue était dans mon cul et y diffusait un plaisir dévastateur.

Moi, je pouvais me caresser en même temps et, à force de ressentir cette profonde incursion sensuelle en moi, j’ai laissé un long mouvement orgasmique, parti des tréfonds de mon cul, me submerger jusqu’au sommet de mon crâne.

Je caressais son visage qui était à côté de moi, et je le regardais. Je n’avais jamais joui en regardant quelqu’un dans les yeux et ça n’a fait qu’augmenter mon extase.

Quand il m’a vue jouir ainsi, il m’a renversée sur le canapé et m’a recouverte de son propre plaisir.

De longues giclées de sperme ont été semées sur ma peau mate, ma fente et ma raie.

Je l’ai étalé sur moi, je ne me reconnaissais même pas, tellement j’étais à l’aise. Il m’a embrassée très fort, nos corps souillés par l’amour enlacés, et nous avons dû tout ranger pour l’arrivée des autres.

J’ai passé le réveillon sur un petit nuage, avec un seul souhait pour la nouvelle année : faire l’amour avec lui, encore et encore.

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