La femme, le mari et l’amant.

On parle beaucoup de vaccin depuis deux ans, mais connaissez-vous le procédé de la mithridatisation ? Il s’agit de s’accoutumer à un poison en s’en inoculant des doses non létales de toxine ou de venin afin d’acquérir une immunité. C’est ainsi que j’ai œuvré avec mon cher et tendre, Carlos. Méditerranéen, possessif et jaloux intégriste. J’ai bercé nos baises de récit me mettant en scène avec un autre homme, mon amant, un certain Vincent.

Je préparai le terrain, car, d’une, Vincent existe, il est mon quatre-heures depuis deux ans et de deux, mon fantasme absolu est qu’il me fourre devant mon époux.

S’attirer comme deux amants

Cela a fonctionné au-delà de mes espérances ! Un jour, après une séance de bête à deux dos, c’est Carlos qui m’a dit qu’il savait pour mon amant. Il m’a demandé de l’invité un soir pour qu’il me prenne devant lui !

Quel stress ce soir-là ! J’ai enfilé une combinaison transparente et ouverte au niveau du sexe ainsi que de hauts talons noirs. Je devais attendre sur le lit de la chambre conjugale. Quand j’ai entendu les deux voix masculines, mon cœur a failli se rompre dans ma poitrine. Puis Vincent est entré, nu, déjà en érection, suivi de près par Carlos qui a commencé à me photographier. J’étais en train de me masturber, histoire d’évacuer la pression, mon vibro coulissait dans ma grotte trempée sans aucune difficulté.

Carlos l’a poussé dans le dos et Vincent est tombé sur la couche.

« Enfourche-le ! Je veux qu’il te bouffe la chatte jusqu’à ce que tu jouisses ! Après tu le suceras à fond et il te baisera ! »

Mon mari allait déjà bien au-delà de mes espérances. Je pouvais bien lui laisser la mise en scène de cette partie de jambe en l’air surréaliste. Et puis Vincent n’attendait que cela en vérité. Il adore brouter mon petit minou pendant des heures, il est doué à ce jeu et j’avoue qu’il me fait venir à chaque cunni.

Exploration de l’amant

J’ai donc ouvert les cuisses et j’ai plaqué ma moule baveuse contre sa bouche. J’ai senti sa langue chaude se glisser dans ma fente, écarter les ourlets de mes lèvres et titiller mon clito déjà bien stimulé par le vibromasseur. Carlos branlait son gros pieu large et épais tout en nous photographiant. J’ai été étonnée qu’il shoote autant mon corps que la longue bite tout en finesse de Vincent.

Je suis venue moins facilement que d’habitude, la présence de mon époux m’excitait tout comme elle me perturbait. J’ai fermé les yeux et l’orgasme est arrivé. J’ai trempé le visage de Vincent, ma mouille n’en finissait pas de couler.

J’avais une furieuse envie de sucer la belle tige glabre. J’ai adoré prendre des poses et regarder fixement l’objectif pendant que je pompais le gros gland, que je massais les couilles lisses ou que j’avalais tout au fond de ma gorge le sabre de chair rose.

Carlos avait enfin sorti son engin. Vincent a été impressionné du diamètre imposant, j’ai branlé les deux sexes, quel pied que d’avoir un pénis en érection dans chaque main. J’ai léché un peu les deux bananes mais Carlos voulait continuer son photoreportage. Il nous a demandé de regagner le lit et cette fois-ci, de passer à la baise proprement dite. Là encore, sa petite coquetterie est intervenue, il désirait de nouveau que ce soit moi qui sois au-dessus. J’ai donc enfourché mon amant et j’ai glissé le bâton vivant au fond de ma chatte.

Une soirée parti-cul-ière

Je savais qu’en ouvrant mon cul, Carlos se régalerait derrière. Il avait une vue imprenable. La queue qui écartait ma foufoune, mon anus, pastille légèrement brune, qui bâillait imperceptiblement et ma fontaine qui coulait sur les couilles de Vincent.

La chevauchée fantastique ! Je me suis libérée d’un coup et j’ai commencé à onduler des hanches, une espèce de twerk sexuel, je sentais la hampe de Vincent coulisser en moi, sortir pour mieux entrer de nouveau en moi. Je pouvais moduler la pression de mon bouton sur le ventre de Vincent qui grimaçait d’excitation et gémissait de plus en plus fort.

Il m’a attrapé par les fesses, m’immobilisant par la même et il m’a limée à fond jusqu’à ce qu’il jouisse en crachant son foutre au fond de mon vagin. Son sperme s’est répandu comme un coulis sur ses bourses, j’ai goûté au plaisir tout de suite après ça. Un long cri libérateur a accompagné mon orgasme tandis que je recevais les giclées de semence de Carlos sur le cul !

Nous avons été prendre une douche l’un après l’autre, les hommes en ont profité pour recouvrer des forces et lorsque je suis revenue dans la chambre, une serviette autour de moi, c’est Vincent qui tenait le portable et Carlos, lui, m’attendait sur le lit. Notre jeu à trois a duré une bonne partie de la nuit.

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