Juste une pipe

À dix-huit ans je suis sortie avec Greg et avec David, son frère. Les deux me plaisaient, mais la situation était compliquée ! J’ai donc fait un choix et continué la route avec David. Mais voilà, il y a quelques semaines mon compagnon a dû partir à Pau pour le travail et mon beau-frère, lui, est venu sur Paris pour le sien. Évidemment ce dernier est venu dormir chez nous. Je vous raconte mon histoire de sexe très chaude !

Un beau-frère excitant

Dès son arrivée, les baisers qu’il a déposés sur mes joues ont frôlé la commissure de mes lèvres. Cela m’a immédiatement mis le feu au ventre. Il était toujours aussi séduisant. Nous avons dîné en tête-à-tête et après un appel en vidéo avec mon époux, la discussion a glissé sur le sujet de notre relation d’antan et ses regrets de ne pas avoir été l’élu.

Je vous passe les détails, il m’a avoué fantasmer depuis tout ce temps sur moi et ne rêvait que d’une chose, être à la place de son frère. J’ai eu beau le consoler, lui dire que mon choix avait été un déchirement. Il a insisté et m’a bien fait comprendre qu’il avait un désir fou de moi. Et je dois reconnaître que… moi aussi, j’avais terriblement envie de lui.

Et j’ai cédé. J’ai cédé, oui, mais pour une pipe seulement, mais une pipe impériale, j’étais en effet d’accord pour avaler son foutre. Je sais que cela peut paraître bizarre d’ainsi négocier du sexe, mais il fallait bien trouver une issue à cette tension érotique. Comme on l’a souvent dit dans une émission de télé célèbre, sucer, ce n’est pas tromper ! Non ?

Nous avons tout laissé en plan sur la table et nous nous sommes rués dans ma chambre. Quand je me suis retournée, Greg avait déjà l’affaire à l’air, fière et dressée vers le ciel, elle n’attendait que ma bouche.

Une pipe salvatrice

Je me suis déshabillée partiellement, ne gardant que mes dessous. Mon piercing à la langue ne lui avait pas échappé. Il m’a questionnée sur les vertus de cette petite boule lors d’une fellation, ce sont mes lèvres s’enroulant autour de son gland qui lui ont apporté la réponse !

Greg n’a pu s’empêcher de faufiler ses mains sous mon soutien-gorge, aussi me suis-je résolue à l’enlever. Sa queue était dure et chaude, vibrante de désir. Non pas que David bande mou, mais savoir qu’on fait triquer un autre homme que le sien est toujours piquant de satisfaction. J’ai actionné ma perle de langue, venant agacer le frein avec, puis la glissant dans le méat lubrifié par ma salive et son liquide séminal.

J’ai entendu grogner de plaisir, mon artifice faisait son petit effet. Un halo de lumière est apparu, j’ai compris que Greg me filmait ou me prenait en photo. Loin de me fâcher, j’ai adoré l’idée. Je ne voulais pas réitérer l’expérience, délicieusement dangereuse. Autant qu’il garde un souvenir impérissable de cet ultime cadeau.

J’ai activé ma main sur la hampe. J’astiquais la colonne bandée tout en l’avalant toujours plus profondément dans ma gorge. Greg soufflait, suffoquait, mais tenait bon. J’ai adoré ce défi, son éjaculation contenue contre mes talents linguaux. Ses attouchements s’égaraient de plus en plus souvent à la lisière de mon string. J’ai accepté de bonne grâce. Je désirais ces caresses en vérité. Je voulais qu’il explore mon corps et moi aussi, j’avais envie de jouir de lui.

Un plaisir intense partagé

Il a glissé sa main sous l’élastique et a trouvé mes orifices gluants de mouille. Je l’ai senti oindre mon petit trou de ma liqueur féminine et je me suis laissé envahir par devant et par-derrière. Deux doigts plantés dans chaque ouverture, le pouce massant mon organe érectile en sensuels cercles très doux et nerveux à la fois.

Étonnamment c’est moi qui suis venue la première. Cette bite connue, mais depuis longtemps oubliée bien que rêvée si souvent, ces doigts agiles et diablement efficaces, l’interdit de la situation. Une pression un peu plus forte sur mon clito, des phalanges s’enfonçant plus profondément dans mes intimités et l’orgasme a surgi. Violent, libérateur, cruel, presque.

J’ai glissé de nouveau mon piercing dans la fente du fruit que je suçais et j’ai agacé le scrotum de mes ongles courts.

C’est les paupières mi-closes et les yeux révulsés que j’ai enfin accueilli l’éjaculation salvatrice. Un flot crémeux et onctueux, un jaillissement chaud et étrangement calme. Pas de grandes giclées, non, plutôt un écoulement long et délicieux.

Greg m’a demandé d’ouvrir la bouche et m’a photographiée ainsi, la langue nimbée par son sperme épais d’où émergeait ma perle rose. Nous avons décidé de dormir ensemble. Dangereux. Dans la nuit, c’est moi qui l’ai réveillé, je n’en pouvais plus. Il m’a baisée jusqu’au petit matin.

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