Mémoires d’Adrien
18 août 2022Adrien n’a pas été doté d’un énorme pénis. Il a décidé d’offrir à sa femme un homme à la queue énorme à condition de prendre en photos les ébats…
Bonjour moi c’est Adrien, voici mon histoire porno. C’est un fait, Ilona, mon épouse, me trouve beaucoup de qualités, gentil, attentionné, doux, mais elle adore les très gros sexes et il faut bien avouer que de ce côté-là je n’ai pas été gâté par la nature. Notre amour est, malgré tout, au-dessus de tout. Après l’avoir fait fantasmer sur des queues énormes en la baisant, je lui ai proposé de lui dénicher un homme pourvu d’un membre à la mesure de sa gourmandise. Ma seule condition ? Assister aux « séances » et prendre des photos.
Les seins qui bande
Michel, un ami commun que j’avais vu nu en plusieurs occasions, était plus que gâté par la nature. Nous l’avons donc convié à dîner et un beau soir, il a sonné à notre porte. J’ai failli exploser de rire lorsque j’ai ouvert, guindé et très « vieille France », il portait un costume démodé, une chemise bleue à rayures du même acabit et, cerise sur le gâteau, un nœud papillon.
Ilona était dans son bain, elle a appelé pour savoir quel était le bruit qu’elle avait entendu et j’ai décidé d’emmener Michel avec moi. Après tout, il était là pour cela ! Quelques minutes plus tard, il pataugeait dans l’eau mousseuse auprès de ma femme et sa queue flasque avait déjà la taille d’une banane plantain !
Ilona s’est jetée sur ce jouet de la taille de son avant-bras et l’a sucé avec voracité. Ses tout petits seins bandaient terriblement et bientôt le sexe de notre hôte prit toute son ampleur. Veinée de bleue, la colonne de chair émergeait d’un taillis touffu et donnait sa pleine mesure. Comment mon amour pouvait avaler pareil monstre marin ? Mystère. Mais mes clichés en attestent, sans doute possible.
Michel l’a aidée à se relever et invitée à se pencher en prenant appui sur le rebord de la baignoire. Aucunement gêné par ma présence, il a attrapé son mandrin, fixé son énorme gland dans l’ouverture du vagin de ma dulcinée et d’une poussée franche l’a prise jusqu’à la garde !
Le frêle esquif corporel a tangué sous le choc, mais a encaissé sans broncher. J’en ai été aspergé tant les coups de boutoir ont été puissants. Je peux vous assurer que j’ai assisté au plus bel orgasme d’Ilona. Là, debout, inconfortable, pilonnée par un phallus monstrueux, elle n’a pas mis cinq minutes pour hurler. Michel, toujours en chemise et nœud pap, les yeux hagards de sa chance, sexe fiché au plus profond de mon amoureuse, l’emportant avec l’aisance d’un professionnel au sommet du plaisir !
« Une pine aux proportions dantesques »
J’ai vidé et nettoyé la baignoire tandis que le couple gagnait notre lit, tout proche dans la suite parentale de notre appartement. J’en étais à sécher la faïence lorsque j’ai entendu de nouveaux murmures, bientôt remplacés par des gémissements révélateurs.
Je les ai vite rejoints, appareil photo en bandoulière, leurs corps pâles juraient sur le dessus de lit fuchsia. Ilona chevauchait Michel qui lui écartait le cul pour mieux faire pénétrer son énorme bite bien au fond de sa chatte, de là où j’étais, je ne voyais que deux anus superposés, un bout de hampe et les nymphes écartelées de ma femme. Seule la musique de sa satisfaction m’indiqua qu’elle prenait un pied terrible.
J’ai déclenché encore et encore mon obturateur. Le bruit de sexes mouillés insérés l’un dans l’autre ne laissait aucun doute quant à l’état d’excitation de mon épouse. Les nombreux « Elle est bonne ta queue » non plus du reste ! Je ne sais combien de fois elle a joui, mais une chose est sûre, c’est quand Michel est venu sur elle, en missionnaire, que l’explosion a été la plus fabuleuse.
La retournant comme un fétu de paille, il lui a saisi les chevilles afin que ses cuisses s’écartent au maximum, Ilona semblait n’être plus qu’une poupée désarticulée, quand la pine aux proportions dantesques lui fendit de nouveau l’abricot en deux.
Une apothéose, une extravagance. Je ne pensais pas que ma compagne aurait pu encaisser un tel assaut. Idiot que je suis ! La cadence, d’abord douce et lente s’est muée en une saccade irraisonnée, passionnelle. Une frénésie de coups de bite d’une précision terrible, Ilona a gardé ses yeux grands ouverts tout au long de la mitraille et a crié lorsque la libération est advenue, submergeant tout son corps d’un délice sans fin.
Michel a alors sorti son immense sexe de la chatte de ma femme, grotte béante et écarlate, pour se répandre sur son ventre et dans son nombril en une flaque sirupeuse et flageolante. Le boudin flasque, Michel s’est rhabillé et est reparti comme il était venu, avec son nœud papillon tout de travers. Moi, j’ai baisé Ilona toute la nuit.
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