Chasse aux mâles en Turquie !
3 avril 2025Noura, 37 ans, est vorace de sexe. Lors de son séjour en Turquie, elle tombera sur un homme bien membré qui lui fera voir les étoiles !

Noura nous fait part de son histoire de sexe avec son amant de voyage Murat… et son cousin voyeur !
Noura, mon prénom, veut dire « lumineuse » en arabe, je suis une belle petite beurette et, bien que j’aie mis du temps à l’admettre, j’ai enfin pris conscience que les Maghrébines plaisaient beaucoup, au-delà de notre réputation de « bons coups » ! Je crois ne pas déroger à la règle, j’ai été formée très jeune et, même si ma poitrine n’est pas énorme, ma sensualité s’est éveillée très tôt. Dès l’âge de treize ans, je me touchais sous la douche pour me faire jouir en solo.
Chasse à l’homme
Cet été, je suis partie en club à Éphèse, en Turquie, pour trois semaines de vacances et … de chasse à l’homme. Il y avait beaucoup de couples et même si j’ai sucé deux, trois messieurs mariés, cela n’a pas été plus loin et je n’étais pas satisfaite, je voulais un vrai mâle qui me baise et me retourne les sens. Murat et un de ses cousins travaillaient sur mon lieu de villégiature, le premier comme maître-nageur, le second dans les cuisines.
On s’est vite retrouvé à trois dans ma chambre et le duo a compris quelle coquine j’étais en repérant ma collection de sextoys au-dessus du lit. Le cuistot, plus timide, a décidé de « tenir la chandelle » en nous prenant en photo, mais quand même à poil lui aussi. Sa queue m’a fait saliver. Un engin surdimensionné dont j’ai, heureusement, pu profiter plus tard ! Murat, quant à lui, n’était pas timoré. Après m’avoir ôté la moitié de mes vêtements, il m’a tendu sa bite déjà gonflée pour que je la suce.
Elle avait un petit relent de chlore qui s’est vite dissipé et elle a fini de prendre tout son volume une fois dans ma bouche, bien soignée par ma langue et mes lèvres très mobiles. Il m’a attirée au-dessus de lui afin de me rendre la politesse. Sa barbe a taquiné mon clitoris puis il s’est mis à me lécher voracement. Ce soixante-neuf a été une formidable entrée en matière, sous l’œil attentif et rapace du cousin, très près de nous pour ne rien rater de notre entre-deux.
Murat l’amant bien membré
Mes seins aux aréoles très pâles avec des traces de bronzage marquées les ont subjugués. Ils ont joué un moment tous les deux avec puis Murat s’est branlé en me fixant du regard. Sa queue était veinée et palpitait, je lui ai tendu ma croupe et j’ai écarté les fesses, l’invitation allait de soi : « Prends-moi en levrette » et mon vœu a été exaucé ! Mon derrière a été saisi par des mains musclées et la bite anatolienne s’est fichée au plus profond de ma chatte d’un coup ! J’ai froncé des sourcils devant la manière légèrement trop directe pour moi, mais très vite, j’ai senti mon bas-ventre chanter et danser au rythme des coups de reins que Murat m’assénait en ahanant de plus en plus fort.
Concentré, mon amant ne quittait pas la raie de mon cul du regard, hypnotisé par sa belle queue qui allait et venait en moi. Il dosait parfaitement son recul, ne laissant qu’un tout petit bout de son gland à l’orée de mon vagin avant de renfoncer toute sa hampe dans mon tunnel étroit. De temps à autre, il laissait un filet de salive tomber sur mon petit trou. Le liquide chaud alimentait ma source de mouille et rajoutait à la lubrification de mon conduit. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu que le cousin-photographe continuait de se palucher en accélérant le mouvement. L’effet stroboscopique sur le bulbe, couvert et découvert par son gros prépuce, m’a fait décoller. J’ai joui avec une intensité folle et me suis écroulée sur le lit, en sueur et animée par un désir décuplé.
Successions d’orgasmes
J’ai repris ma pipe sur l’imposante bite ointe de mon jus d’amour, puis on m’a retiré mon top en résille. Enfin nue comme un ver, je me suis allongée sur le dos. Murat s’est étendu entre mes cuisses écartées, et, tout en m’embrassant fougueusement, il m’a de nouveau pénétrée. Ses couilles étaient lourdes et sa queue encore plus gonflée qu’au départ, ses baisers se sont perdus dans mon cou, il était musclé, puissant et n’a eu aucun mal à me mener à mon second orgasme.
J’étais d’humeur badine et mon désir était insatiable, j’ai attrapé sur la tête de lit et j’ai joué avec le long de ma fente avant de l’enfoncer lentement. Mes nymphes se sont effacées et ont laissé place à la colonne de silicone. Murat a pris cela pour une invitation à visiter mon anus. Ma pastille rose s’est laissé écarquiller et je me suis retrouvée possédée en double, sodomisée par mon beau maître-nageur.
Les sensations étaient trop fortes, le cousin a juté si fort que j’ai reçu son foutre sur ma cuisse et mon ventre. J’ai goûté à la semence, elle était parfumée. Murat s’est vite retiré de mon trou béant pour, lui aussi, lâché ses jets de sperme sur mes seins. Après cette première histoire de sexe, on a baisé ainsi tout le reste du séjour et le cousin a même fini par y goûter !