Saint Dick et sa belle queue

La rédaction 2 septembre 2022

Après s’être fait larguer par son petit copain, Betty ne perd pas son temps. Elle jette son dévolu sur un syndic de son immeuble équipé d’une belle queue…

Moi c’est Betty, 36 ans, l’histoire de sexe que je vais vous raconter s’est passée le jour où je me suis fait larguer par Brice, mon mec depuis trois ans. Il m’a prise entre quatre yeux pour me dire qu’il me trouvait trop sulfureuse et qu’il n’avait plus confiance en moi. Il n’avait peut-être pas tort de penser cela…

Ça tombait mal, car je venais d’acheter un porte-jarretelles super sexy pour m’amuser avec lui. Ça avait toujours été ambigu entre nous : à la fois, ma sexualité débridée le rendait fou, et à la fois, il avait fini par s’en méfier. J’ai eu beau lui montrer le porte-jarretelles que je portais sous ma robe pour essayer de le retenir, il a résisté et il m’a dit que c’était terminé, que notre relation ne pouvait pas tenir que sur le sexe.

Le grand remplacement

Il a claqué la porte, me laissant seule, toute penaude dans mes sous-vêtements tout neufs. J’étais bien sûr très triste, mais je n’allais pas me laisser abattre ! J’avais envie de passer mes nerfs avec une bonne partie de jambes en l’air enragée, pour expulser toute ma frustration.

Il se trouve qu’un mec du syndic de l’immeuble a sonné chez moi à ce moment précis. Je me suis rhabillée pour lui ouvrir. Je l’ai trouvé étrangement sexy ce soir-là, mais c’est peut-être parce que j’étais en chien. Je voulais m’assurer que je pouvais toujours séduire. Il serait ma proie. Je l’ai fait asseoir sur le canapé et j’ai sorti l’artillerie lourde.

J’ai trouvé mille excuses pour le faire rester. Mon attention a semblé le flatter. Je lui ai servi du vin tout en effleurant sa cuisse. Il ne s’y attendait pas du tout, mais je crois qu’il a compris que l’occasion ne se représenterait pas. Il s’est donc laissé aller à mes caresses et m’a laissé prendre sa bouche dans la mienne. Je lui ai collé un de ces baisers fiévreux !

Le baiser de sa vie. J’ai senti sa bite se dresser, bien dure, dans son fute. C’était de ça dont j’avais besoin. Je me suis retrouvée à califourchon sur lui, dégrafant ma robe. Lui, il saurait apprécier mon porte-jarretelles à sa juste valeur !

Quand il a vu mon string et mes froufrous, il a eu des étoiles dans les yeux. Je ne crois pas que sa femme lui réserve ce genre de show quand il rentre le soir à la maison ! J’avais l’impression d’être une call-girl qui devait faire monter la température en quelques minutes et faire tourner la tête du gars pour qu’il bande au plus vite.

Godée jusqu’à la moelle

J’aimais bien être dans ce jeu de rôle d’une féminité exacerbée. J’ai ondulé contre lui dans mon attirail de chaudasse. Il était sans voix. J’étais devenue la femme de ses fantasmes avec mon effet de surprise, mieux qu’une actrice porno pour ce mec sans histoires. Je lui ai demandé de me prendre en photo.

Je lui ai donné mon téléphone et il a pris des clichés de mon corps avec un regard impressionné. J’ai sorti sa bite de son pantalon, j’ai écarté mon string et je me la suis enfilée jusqu’à la garde dans mon sexe tout mouillé, excitée que j’étais par ma propre audace. Je me suis frottée contre son dard et je me suis godée avec, pleine de la fureur de m’être fait quitter, submergée par l’immensité de mon désir, à la puissance destructrice.

Halluciné, le mec du syndic a pris des photos de sa bite en train de visiter mon intimité. Sa vigueur et sa sensualité m’ont plu et étonnée, je n’avais pas soupçonné ça chez lui. Il s’est révélé beaucoup plus fougueux que je ne l’avais imaginé. Sa bite en moi était très plaisante et le plaisir m’a envahie comme un courant d’eau chaude.

Avec ses mains puissantes, il tenait mes fesses et mes hanches pour me faire rebondir sur son pieu. J’adorais me faire ainsi manier par cet inconnu qui se branlait en moi comme je me branlais avec sa queue. Ça a fini par une décharge de plaisir des deux côtés.

C’était vraiment un coup d’un soir dans tout ce qu’il a d’impatient, de déréglé, d’égoïste. Je me suis tournée pour qu’il me prenne par-derrière, qu’il photographie mon cul et la magnifique chute de mes reins. C’était encore meilleur que je ne l’aurais cru et comme la vengeance est un plat qui se mange froid, j’ai envoyé toutes les photos à mon ex pour qu’il se morde les doigts de m’avoir ainsi humiliée. 

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