Aux bites, je préfère les femmes
7 octobre 2024Sophie récupère le courrier pour sa voisine. Lorsqu’elle lui rapporte, Sophie découvre une sacrée coquine et de nouveaux horizons sexuels !
Il y a de ça une vingtaine d’années, une jolie rencontre s’est imposée à moi. J’apprécie beaucoup dans votre magazine les histoires avec des beaux amants bien membrés. Est-ce exagéré ? Moi, c’est avec une femme que j’ai connu l’expérience la plus intense de ma vie. Je m’appelle Sophie et voici mon histoire de sexe amateur !
Une voisine particulière
Une voisine de ma résidence. J’avais reçu son courrier à sa place, j’ai sonné pour le lui restituer, un jour, en revenant du salon esthétique dans lequel je travaillais à l’époque. Immédiatement, je l’ai trouvé belle avec ses grands yeux verts… et très bavarde.
Elle m’a fait asseoir sur son canapé un peu tâché en coton gris, tout en ouvrant ses enveloppes avec un couteau de cuisine. L’une d’elles provenait de son ex-mari. Je pense qu’elle devait être assez froide, ça l’a fait chialer. Je lui ai alors tenu compagnie toute la soirée. On n’est jamais bien sûr des idées qui peuvent traverser l’esprit des gens, un couteau dans la main !
On a parlé des mecs. J’avais vaguement quelques amants à l’époque, rien de super sérieux, ça me permettait d’en rajouter une couche sur l’“homme” « c’est tous des nazes ». Et de fil en aiguille, on s’est dit qu’on serait mieux, entre nanas !
Découverte d’un nouveau type de sexualité
Elle n’avait pas tort. Je me souviens encore, avec beaucoup d’émotion, de la qualité de ses cunnilingus. Elle avait un don pour appuyer sur mon sexe, aux endroits les plus sensibles, pour le lécher avec détermination jusqu’à ce que j’ai un orgasme. J’en ai eu à chaque fois avec elle ! Je ne peux pas en dire autant des hommes. Ses doigts aussi étaient très doués. Elle adorait bien écarter en grand ma vulve, ça me faisait toujours une sensation un peu bizarre, comme lorsque l’on retire un pansement d’une plaie, la peau à vif s’offrait à l’air.
Le moindre souffle me provoquait d’étranges picotements. Puis elle faisait trembler ma fente avec son index droit, l’index gauche allait titiller l’entrée de ma paroi. Elle faisait un genre de crochet qui me faisait décoller. Tellement bon ! Pourquoi les hommes sont-ils toujours à la traîne sur ce genre de techniques imparables ?
Et puis, je parle de mes orgasmes… mais ses baisers étaient aussi d’une douceur inégalée. Elle passait toujours une langue, discrète, sur ses lèvres charnues avant de m’embrasser. Et ça ajoutait une touche de fraîcheur, ça me donnait envie de la croquer encore plus fort, comme si elle se transformait en une jolie friandise. Tiens, voilà qu’elle me rend poète la Céline. Vous ai-je dit qu’elle s’appelait Céline ? C’est si joli, non ? Comme prénom.
Un orgasme inégalé
Elle m’a toujours fait croire que j’avais été sa première mais, plus j’y pense, plus je me dis qu’elle devait enchaîner les petites minettes, comme moi. J’essayais de la revoir de plus en plus, mais je trouvais souvent porte close, quand je descendais lui rendre visite… parfois des nuits entières. Ou sortait-elle ? Allait-elle rendre visite à des hommes ? À des femmes ? Je n’en savais rien, mais je développais au fur et à mesure une jalousie maladive.
Une jalousie qui ne faisait qu’attiser et décupler ma libido. Plus elle s’absentait, plus j’aurai pu mourir pour une caresse, pour un orgasme, pour un regard. Puis elle s’est trouvé un amoureux, un vrai, un bien. Et moi, j’ai continué à enchaîner les plans, sans vraiment me caser nulle part. Nous avons fini par nous perdre de vue.
Mais au fond de moi, toujours, quand mon doigt s’égare sur mes lèvres, du haut ou du bas, je repense à ses yeux rieurs quand elle m’embrassait. Croyez-moi, ça vaut bien toutes les grosses bites que je lis dans vos histoires !
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