Permis de séduire
6 avril 2020Carole, 45 ans.
Je m’appelle Carole, j’ai 45 ans. Je suis bi, mais mariée au même homme depuis quinze ans. Mon époux et moi fréquentons souvent les clubs libertins. Notre vie sexuelle est libre et plutôt épanouie. Je suis monitrice d’auto-école dans la société de mon mari. Ce que j’aime le plus dans mon boulot, c’est de rencontrer des gens différents tous les jours ! Des stressés, des cool, des qui-font-la-tronche, des sympa. Plus rarement, on peut tomber sur des coquins ou des coquines. C’est exactement ce qu’il s’est passé l’été dernier. Comme tous les matins, j’étais arrivée au bureau d’accueil pour récupérer mon planning. Mon assistante me présente Anna, ma première leçon de la journée. Je vois une jeune fille en microshort-débardeur, sourire collé au visage. En lui serrant la main, j’ai bien du mal à regarder ailleurs que dans son décolleté, qui laisse deviner des seins ronds et fermes, de toute beauté. Durant cette première leçon, je découvre une jeune femme d’à peine 20 ans, des cheveux blonds comme les blés et une peau diaphane qui sent la vanille. Un désir immédiat monte en moi pour cette minette qui a l’âge d’être ma fille.
Quelques leçons plus tard, alors que nous roulons sur le périphérique, elle me demande si on peut faire une pause pour fumer une clope. Ni une ni deux, on gare la voiture dans un coin tranquille sous le périph’, et on commence à se raconter nos vies ! Elle m’attendrit avec ce petit air naïf qu’elle affiche en permanence. Je la trouve rigolote. Je me sens tellement à l’aise avec elle que je lui raconte mon premier souvenir en club échangiste avec mon mari – un soir où un couple d’inconnus s’était joint à nous dans un parking lors d’une de nos virées nocturnes. Je remarque que mon côté bi l’intrigue, elle me pose plein de questions. Pendant plusieurs jours, elle apparaît dans mes rêves érotiques. C’est bien simple, à chaque fois que je pense à elle, je me touche.
Au dernier cours de juillet, elle arrive dans une robe fleurie toute légère et une paire de tongs. Je lui fais remarquer que ce n’est pas très pratique de conduire en tongs. “Ah bon ?, me répond-elle. Et pieds nus, ça va ?” Et hop je vois les tongs voler dans la voiture ! La répartie de sa réponse me cloue le bec. Normalement, je ne devrais pas laisser faire, mais nous démarrons. Je lui demande de se diriger vers le boulevard périphérique, elle s’exécute. Puis, au bout d’un kilomètre, elle me dit : “On se fait une petite pause clope ?” C’est vrai que la chaleur estivale est là. Le vent ne souffle pas et on est en train de cuire dans la voiture. Quelques instants plus tard, nous voilà posées au calme, toutes fenêtres ouvertes et pas un chat à l’horizon. Je la regarde allumer sa cigarette, détacher sa ceinture de sécurité, elle a l’air aussi délicieuse que dans mes fantasmes. Je parcours son corps des yeux, je reste sans dire un mot quand je la vois écarter ses jambes en me souriant avec instance. Et pour cause : elle ne porte aucun sous-vêtement !
Comment résister à l’invitation de sa belle toison de blonde, une rareté chez les jeunes filles maintenant ? Je plonge ma main entre ses cuisses. C’est chaud et doux, mon cœur s’affole. Je roule doucement son clito dur et humide sous mes doigts, je défais les bretelles de sa robe, je caresse ses seins ronds et gonflés, je mordille ses tétons que je sens durcir sous ma langue. J’ai l’impression que mon bas-ventre va s’enflammer. La miss prend de plus en plus de plaisir à se laisser faire. Elle recule le siège et abaisse le dossier au maximum. Plus je la fouille avec mes doigts, plus elle mouille. J’ouvre un peu plus ses cuisses pour la goûter avec ma bouche. Ses gémissements augmentent d’un cran. Ça me rend incontrôlable. Je n’ai qu’une envie : la faire jouir. J’ouvre mon sac à main pour en sortir mon joujou favori et je le dirige vers sa petite toison dorée. Mon sextoy va et vient à l’intérieur d’elle, la cadence de mes gestes évolue au rythme de son souffle haletant. Elle est au bord de l’explosion, j’accélère encore jusqu’au moment où elle me semble sur le point de tout lâcher. Je ressors le jouet et l’appuie contre sa rondelle pour voir si je peux m’occuper de son joli cul. Je l’enfonce d’un coup sec, ce qui lui arrache un petit cri, elle se mord les lèvres et je la fourre encore plus fort. Elle s’accroche à l’appuie-tête, j’écarte ses fesses pour rentrer le joujou bien en entier, je donne des petites tapes sur son clito archi-gonflé, puis je replonge mes doigts dans sa chatte, jusqu’à ce qu’elle gicle entièrement sur le siège conducteur de la voiture.
Quelques instants plus tard, elle s’est redressée avec un petit sourire interrogatif. J’aurais bien aimé qu’elle s’occupe de moi, mais l’heure tournait, un autre client m’attendait hélas ! Pour info, elle a obtenu son permis du premier coup.
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« Je le léchais, le suçais, et je sentais Xavier se tendre, se cambrer. J’étais humide de plaisir. J’adore faire une fellation, j’y prends énormément de plaisir et j’en donne toujours beaucoup. Et là, en plus, mon homme m’observait. » Coralie.
« Tremblante mais excitée, je me suis effeuillée. Elle m’a jetée dans le canapé et m’a bouffé la chatte. Elle s’y prenait hyper bien, je ne me contrôlais plus, sa bouche était pleine de ma mouille, elle jouait de la langue sur mon clito pour ensuite ouvrir grand la bouche et me dévorer le minou. J’ai joui sur son visage. » Béatrice.
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La bisexualité se conjugue ici au masculin comme au féminin avec une séance « crème solaire » au bord d’une superbe piscine qui va vite glisser vers un plan à trois, dans d’un appartement où l’amour entre deux jeunes femmes va être interrompu par l’arrivé d’un voisin et la température d’un hammam va très vite grimper face à la voracité d’une mature envers ses partenaires bi. Dans tous les cas ces messieurs tâteront du gode-ceinture !