Pour ses 24 ans, ma femme baise une autre femme devant moi

davidk 5 août 2022

Bonjour, moi c’est Monia, 24 ans et ça c’est mon histoire de sexe. Pour mes 24 ans, j’ai demandé à mon mec de me faire le plus beau des cadeaux à mes yeux. Je voulais faire l’amour avec une femme et qu’il nous regarde. Pas pour son plaisir à lui, non, mais bel et bien pour mon plaisir à moi… Je rêvais de goûter à un coquillage salé et de plonger dans les délices de l’amour saphique.

Et comme j’ai aussi un petit côté exhibe, je voulais qu’il soit témoin de l’éveil de ma chair à la chair d’une autre. L’idée l’a émoustillé et il s’est assuré que je lui demandais cela parce que c’était un fantasme personnel et pas pour le satisfaire, lui. Nullement, cher Alexandre, cette envie venait de mes tripes.

Surtout que j’avais déjà jeté mon dévolu sur une femme en la personne de Maya, une serveuse du café en bas de chez moi. Je l’avais déjà draguée et je sentais que je lui plaisais. C’était une jeune et jolie brunette comme moi, piquante comme un petit piment, mais aussi douce qu’une pêche.

Avec l’accord d’Alexandre, je suis allée l’entreprendre plutôt frontalement un soir de semaine où son service était calme. Je lui ai exposé clairement mes intentions et elle a eu une petite étincelle dans ses pupilles quand je lui ai dit ce qui animait mon esprit quand je pensais à elle.

Soirée électrique

Le soir-même, je l’ai ramenée chez nous après avoir bu quelques verres et échangé quelques baisers en cachette derrière le comptoir. J’étais tout feu-tout flamme et impatiente de découvrir son corps. Je lui ai présenté mon mec, qui lui a bien plu ma foi, et nous avons commencé nos caresses, qui nous brûlaient les doigts tant nous nous désirions. Elle était aussi exhibe. Nous étions donc faites pour nous entendre…

Sa peau était veloutée comme celle d’un fruit. J’ai déshabillé Maya avec la gourmandise experte d’un critique culinaire qui regarde avec attention ce qu’il s’apprête à mettre dans sa bouche. Sa peau était de lait, ses membres très fins et sa chevelure très noire. Nous nous sommes retrouvées nues toutes les deux, nos corps en contact et enlacés, nos bouches se dévorant déjà, emportées par la passion.

J’ai mordu ses lèvres exquises et massé ses seins entre mes doigts, jusqu’à ce qu’elle halète. J’ai senti ses tétons et son clitoris se durcir sous mes mains et c’était aussi excitant que de palper une grosse érection à travers un pantalon. Elle aussi a tété ma poitrine jusqu’à me faire mouiller comme un lac de cyprine.

Nous nous sommes mises en 69, elle sur moi et moi sous elle, sa chatte dans ma bouche. J’ai recueilli son nectar sur ma langue. Son cul et ses orifices étaient au-dessus de mon visage et je n’avais plus qu’à me servir, à badigeonner son clito, ses lèvres et sa rosette de ma salive.

Mon homme a sorti son téléphone portable pour se mettre à me prendre en photo en train de rendre hommage à ce con magnifique et plein de grâce. Ses hanches bougeaient au-dessus de mon visage et elle m’étouffait presque parfois avec sa chatte et son cul. J’étais en pâmoison devant tant de lâcher-prise et le goût de son sexe, salé et si intime, me menait tout droit vers le plaisir absolu. Sa propre langue était sur mon sexe et le polissait gentiment. Elle n’en était pas à son coup d’essai et je pouvais en témoigner.

La bosse de la baise !

Son cunni délicat très subtil qui ne s’arrêtait jamais m’a donné un orgasme multiple qui m’a laissée complètement exsangue. Sa tête plantée entre mes jambes me mangeait, sans paraître atteindre la satiété.

J’ai voulu que nous baisions sous un nouvel angle, alors Maya s’est allongée sur le dos et je me suis mise au niveau de son visage, que j’ai chevauché, ma chatte dans sa bouche qui était en train de me rendre complètement accro. Je baisais son visage avec mon propre sexe. Sous moi, elle était nue, jambes écartées, et moi tournée dans le même sens qu’elle, à me faire lécher alors que j’étais à genoux, juste au-dessus de ses lèvres et de sa langue intrépide.

Ainsi Alexandre pouvait photographier ce duo magistral, elle ouverte sur le lit, avec son sexe offert et le velours de son intimité à l’air libre, et moi, dressée au-dessus d’elle telle une fière amazone, mes gros seins pointant dans la direction de mon homme. Il semblait assister à un miracle et il nous regardait dans un silence respectueux, osant à peine respirer, alors que nous étions hors d’haleine, à se bouffer la chatte l’une et l’autre.

J’ai encore joui sur son visage. C’était un festival de plaisir comme j’en avais rarement connu, et j’espérais que mon mec en prendrait de la graine ! Alexandre a contourné le lit pour prendre une photo de nous deux de dos, avec mes fesses tendues vers l’arrière qui rayonnaient de plaisir. Le visage de Maya était entre mes cuisses qui l’enserraient, prêtes à la faire prisonnière. Ces photos sont restées dans nos annales et Maya hante encore mes souvenirs émus de son corps contre mon corps.

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