Billard à trois bandes
4 juin 2022Melissa aime le sexe extrême et être entourée d’un trio d’hommes ! Le sexe à plusieurs et les gang bangs l’excitent et elle le partage !
Avec mon look à la garçonne, cheveux courts, regard franc et direct, on me prend souvent pour une lesbienne. J’adore me mettre une jolie foufoune sous la langue à l’occasion. Mais ce qui me fait vraiment décoller, c’est de baiser avec trois types en même temps. Facile ? Deux nanas et un mec, ça, c’est tranquille à orchestrer. Trouver un trio de mâles prêt à en découdre avec une donzelle et se la partager ? C’est beaucoup plus compliqué.
Mais je me fais fort d’organiser une tri-party tous les mois. Certes mes amants doivent accepter de ne pas être le récipiendaire unique de mes bons soins, mais j’ai de nombreux atouts, une bouche veloutée, deux beaux nibards, des mains habiles au possible et trois trous accueillants !
Un de mes queutards attitrés m’a parlé d’interstron.ru et m’a dit qu’il fallait absolument que je partage l’une de ces soirées si singulières dans son magazine préféré ! Je l’ai donc invité avec deux autres chevaliers servants.
Un trio gagnant
Trois tigres, trois bêtes affamées. Je les avais chauffés à blanc tout au long de la semaine, petits mots très sexe, photos de différentes parties de mon anatomie. Mais aussi des demandes particulières pour telle position ou telle pratique. À tel point que lorsqu’ils sont arrivés chez moi, les trois avaient déjà la queue à la main sur le palier. Ce soir-là j’étais survoltée. J’ai balancé leurs bouquets de fleurs, leurs bouteilles de champagnes et autres tributs désuets et je me suis ruée sur leurs hommages dressés, trois sabres, trois stalagmites gorgées de foutre et de testostérone.
Je branlais deux pieux en pompant le troisième puis les garçons échangeaient leurs places. J’en avais le tournis, à ne plus savoir quel sexe j’avais en bouche et à qui étaient ceux que j’astiquais à m’en déclencher un tennis-elbow.
L’un d’entre eux s’est enfin détaché du groupe et a entrepris de nous photographier tandis que nous allions dans ma chambre. Trois hommes, trois formats de queue. Une longue et fine, un gros gourdin, avec un gland comme un ballon. La dernière était courbée, délicieusement habile pour aller stimuler toutes mes zones érogènes secrètes.
Sexe en trio entre fellations et pénétrations
Le spectacle pouvait commencer ! Et quoi de mieux que de débuter par des jeux linguaux pour se chauffer ? Comme un pianiste fait ses gammes ou un chanteur ses vocalises. J’ai pipé ces trois messieurs chacun leur tour, parfois deux par deux tout en goûtant à leur art du cunnilingus. C’était drôle de comparer les styles, les rythmes, les approches. Léger et tout en effleurements pour l’un, appuyé et un peu brusque pour l’autre, le dernier, enfin, qui semblait vouloir entrer sa langue tout entière dans mon vagin !
Mon portable passait de main en main, chacun me prenant en photo avec les deux tiers, zoomant sur mon appétit féroce à déguster deux belles queux en duo, immortalisant les doubles pénétrations. Les trois ont eu le droit de visiter mon trou serré. J’ai commencé par le plus ténu puis je suis monté en puissance pour finir par le membre le plus volumineux. Quelle volupté que de se sentir totalement investie, un chibre dans chaque orifice et un troisième à avaler sans modération !
Un plaisir multiple à quatre
Intérêt supplémentaire d’avoir trois mâles à disposition, pas de pause en cas de défaillance ou d’éjaculation inopinée. J’en ai toujours deux d’attaque ! Pour le coup, je ne sais pas s’ils avaient pris un booster de virilité, mais ils m’ont déglinguée. Il faut dire que je les haranguais, les invitant à y aller plus fort, plus loin, à me claquer le cul, leur criant à quel point leurs queues étaient bonnes.
Les petits bourrins ! Ils se sont déchaînés. J’ai adoré, ils m’ont baisée pendant trois heures sans discontinuer. Deux d’entre eux ont juté sur moi sans même débander après. Ils se branlaient pour conserver leur tige bien dure. Les capotes jonchaient le sol, ils n’en revenaient pas qu’une femme puisse avoir autant d’appétit.
Ils m’ont fait gicler, l’un d’entre eux surtout. Une technique de dingue, ses phalanges crochetées au fond de mon vagin, il avait une façon de faire bouger ses traits en moi que j’en ai inondé les draps à trois reprises.
Le final a été à la hauteur du feu d’artifice, je me suis allongée sur le dos, la tête bien calée dans les oreillers, j’ai écarté grand les jambes et les fesses et je me suis branlée en me doigtant la chatte et le cul. À genoux autour de moi, mes trois amants se sont masturbés jusqu’à se soulager sur mon corps en sueur. J’ai fini couverte de leur foutre chaud dont j’ai testé quelques gouttes mêlées du bout de la langue. Quel pied !