Le maître nageur baise dans les vestiaires

Paule 14 octobre 2023

Mon histoire de sexe avec le maitre nageur marié dans les vestiaires.

Chlore à corps

Coucou mon cher interstron.ru ! Je suis une lectrice assidue, et une pratiquante enthousiaste de tes conseils. Dernièrement, j’ai fait des bêtises, et j’ai même des photos de la scène  Ça s’est passé l’été dernier, alors que j’étais en vacances dans une campagne perdue, mais je ne dis pas où précisément parce que mon amant est un homme marié. Cette semaine-là, tous les matins, je prenais ma voiture pour aller à la piscine municipale, avant que les copains chez qui j’étais se lèvent. Puis je faisais mes trente minutes de nage et je rentrais à la maison avec les croissants. C’était ma dose de sort quotidienne indispensable, et en prime, je pouvais mater Jean-Luc, le beau maître nageur. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Malgré l’alliance qu’il avait au doigt, il me zyeutait dès que je sortais des vestiaires. Le premier jour, ça m’a flattée, mais je me suis dit qu’il ne se passerait rien de plus puisqu’il était marié. Mais au bout de la deuxième matinée, j’ai réalisé qu’il ne me quittait pas des yeux pendant que je faisais mes longueurs. Pareil le matin d’après. J’ai donc décidé de jouer, en sortant de l’eau régulièrement pour plonger. A chaque fois, je passais devant Jean-Luc et je remontais bien mon maillot dans mes fesses. Ça a marché : au bout de vingt minutes, le maître-nageur s’est approché de moi et m’a glissé à l’oreille : « J’ai appelé un collègue, il prend la relève dans quinze minutes. En sortant d’ici, tu verras la salle réservée au personnel. Rendez-vous là-bas »

Sa belle voix grave m’a beaucoup plu, de même que son regard insistant sur l’échancrure de mon maillot. Je suis retournée barboter en le surveillant du coin de l’œil et quand son collègue est arrivé, je suis sortie pour récupérer mon vestiaire, direction la salle du personnel. J’ai dû poiroter au moins dix minutes dans la grande pièce pleine des affaires des maîtres nageurs et de matos de piscine. Alors plutôt que de me cailler, je me suis séchée et rhabillée. Et si tout ça, c’était un faux plan ? J’allais finir par me tirer quand Jean-Luc est enfin entré. Pas le temps de niaiser : Monsieur ne voulait pas se faire gauler donc il fallait aller vite, vu que la pièce ne fermait pas à clé. Il m’a direct embrassée et j’ai senti qu’il bandait. Ça tombait bien : j’avais envie de sa queue !

Le maître nageur et moi

Jean-Luc a commencé par enlever sa ceinture.  Le cliquetis m’a mis en chaleur… Ensuite, il s’est assis sur un des canapés, je me suis placée à califourchon légèrement en suspension, et il a inspecté ma chatte. Du pouce, il a écarté mes grandes lèvres et a fait : « J’adore les meufs bien épilées, regarde ça comme c’est beau… » Puis il m’a guidée sur son dard. Pas évident, sans préliminaires. Heureusement, je me suis très vite mise à mouiller en me tripotant moi-même le clito. Mais la posture a fini par lasser Jean-Luc. Il m’a sortie de sur sa queue et s’est désapé pour être plus à l’aise. Je me suis retrouvée allongée, les jambes en l’air, à me faire prendre sauvagement

Ce qui m’a le plus excité ? Le côté expéditif de mâle en rut, qui ne me laissait pas grand choix. Moi qui aime bien être dans le contrôle, j’étais transformée en poupée gonflable, d’autant qu’il a enchaîné avec une nouvelle position : il m’a prise dans ses bras costauds pour me placer en levrette, sans même me demander mon avis. Là, non seulement il a continué à me ramoner, mais il a en plus commencé à me mettre des doigts dans le cul ! Dès que sa bite sortait de ma chatte, son pouce entrait entre mes fesses, d’abord à peine, puis de plus en plus profond à mesure que je me détendais. Je n’avais plus de répits : dès que le plaisir cessait d’un côté, ça continuait de l’autre. J’ai fini par jouir par les deux trous coup sur coup – une vraie nouveauté pour une clitoridienne comme moi !

En échange, j’ai accepté de finir Jean-Luc à la bouche. Toujours à quatre pattes, je l’ai laissé se faire plaisir entre mes lèvres. Quand il a été mûr, il m’a dit : « Je veux que tu avales ». Toujours ce côté dominant que je trouvais terriblement sexy... J’ai fermé les yeux, tandis que ses aller et retour bourrins me faisaient monter les larmes. Quand le sperme a coulé, j’ai dû déglutir en plusieurs fois, à cause de la quantité. Le maître-nageur a immortalisé la scène « pour montrer à son collègue ». Rien que de repenser à cette phrase, j’en suis toute mouillée !

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Paule


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