No zob in job !
11 mai 2024Hugues – 27 ans – Paris, se retrouve à coucher avec deux de ses collègues sur son lieu de travail.
Cette expression m’amuse. Le lieu de travail, c’est là où on fricote le plus. Je bosse dans un grand hôtel, les femmes de chambre et les cuisinières y sont toutes aussi jolies les unes que les autres et très libres. Avec mes horaires décalés, j’ai tout le temps envie de baiser et les filles sont pareilles, croyez-moi. Ce que je n’avais pas anticipé, c’est que Fabienne et Cindy se connaissaient bien et lorsqu’elles se sont décrit mutuellement leur amant respectif, ils avaient tous deux une fâcheuse tendance à me ressembler trait pour trait … jusqu’à avoir le même prénom que le mien. Évidemment, je me suis fait un peu chahuter, mais ma punition a été, je vous en laisse juge, des plus agréables à subir et à regarder. Voici mon histoire de sexe.
Choper mes deux collègues en pleine partie de sexe
Je soupçonnais déjà Cindy d’être bi, celle qui m’a cueilli en revanche, c’est Fabienne. Sous ses airs timides, elle cache un tempérament de feu ! Elles ont commencé par se rouler des pelles dans les cuisines, au milieu des balais, le cul de Cindy en équilibre sur l’évier. Les fringues se sont envolées, elles m’ont demandé de les ramasser pour ne pas qu’ils se salissent. Le temps que je retrouve le string de Cindy, qui l’avait balancé comme un élastique qu’on tend sur un doigt avant de le lâcher, Fabienne avait le visage enfoui entre les cuisses de sa collègue et lui bouffait la chatte ! Il n’y a pas d’autre mot ! J’ai sorti mon portable illico, je ne voulais pas rater ça ! J’adore quand deux filles se gouinent, alors quand c’est en spectacle privé et que l’une d’entre elles se montre aussi salope, sous ses airs de petite bourgeoise coincée, c’est carrément le pied !
L’endroit était inconfortable et surtout on risquait de nous surprendre et de tous se faire virer, alors nous avons gagné une chambre non loin de là, à moitié à poil et tous trois morts de rire. Mea culpa, après avoir bombardé les filles pour les immortaliser en pleine action, après avoir capturé leurs langues, leurs chattes, leurs nichons dans toutes les positions, j’ai abandonné mon téléphone lorsqu’elles ont libéré mon chibre du pantalon dans lequel il étouffait. Cindy et Fabienne se sont lancées dans un soixante-neuf des plus débordants. Je regardais, au bord de l’apoplexie, ces deux femmes se butiner la ruche, les langues engluées dans la gelée impériale de leur abricot mûr qui ruisselait sur leurs joues et leurs cuisses écartées.
Inviter à rejoindre la danse
J’ai compris alors que j’avais l’autorisation de ces deux belles d’entrer dans la danse, je me suis déshabillé à mon tour et n’ai pas eu besoin de me branler pour bander comme un cerf ! Ma queue était au bord de l’explosion et j’ai eu tout le mal du monde à contenir mon éjaculation, surtout avec Cindy, quelle avaleuse de sabre celle-là ! J’ai cru qu’elle ne recracherait jamais mon membre tant elle se l’est enfoncé loin dans la gorge ! Fabienne a pris le relais, elle, ce sont mes bourses qui l’obnubilaient, les gobant, les suçant, allant jusqu’à me goûter le trou du cul. Ces caresses n’étaient que les prémisses d’une orgie hors de toutes limites. Les deux bombes humaines se sont roulé des pelles tout en s’installant sur le lit en levrette côte-à-côte. Mon seul dilemme a été de savoir laquelle pourfendre avant l’autre. J’ai baisé celle qui était à ma gauche en premier tout en doigtant la seconde, enfonçant presque toute ma main dans le vagin béant. Ma bite entrait et sortait dans des éclaboussures de cyprine, j’ai changé de partenaire, la chatte était plus serrée, mais bientôt, c’est l’anus de la première qui a donné des signes d’impatience.
Cindy s’enculait rageusement avec son majeur et son index, l’anneau était entièrement dilaté et la pastille sombre et vide en son centre s’élargissait à mesure qu’elle se forait le trou du cul. Ma grosse queue s’est frayé un chemin, ce cul s’est laissé vaincre à grand-peine de poussées furibondes de mes reins, et mes couilles ont enfin touché son con poisseux. Je l’ai sodomisée avant que l’œil de bronze de Fabienne ne réclame lui aussi mon attention. Je lui ai donné ce qu’elle voulait tout en regardant, plus que surpris, Cindy se fister elle-même le petit trou. J’ai lâché un premier jet de sperme dans le fion de cette belle salope, puis j’ai réussi à me retenir pour les autres. Ma bite a fait un son de bouchon et j’ai juté comme jamais. Mon foutre s’est échappé librement, j’ai vu une langue, des mains, j’ai entendu des bruits de succions, de déglutitions. Quelques secondes plus tard, toute ma crème avait disparu, les filles m’embrassaient, leurs lèvres encore luisantes de mon liquide séminal et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Heureusement que cette chambre n’avait pas été réservée !
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