Chaud le pharmacien !
9 juin 2024Ivana, 30 ans, Arles, se fait baiser par son pharmacien après une brûlure sur sa cuisse. Le pharmacien la soula de la meilleur des manières.
Je venais de m’engueuler avec mon mec et j’étais furax. Je ressassais notre dispute depuis plusieurs jours quand une jolie distraction est venue capter mon attention. Cette distraction, c’est mon pharmacien, un très beau gosse employé de la pharmacie du rond-point que j’avais déjà repéré. Je crois qu’il me reconnaît car je viens assez souvent pour des médicaments ou des cosmétiques. Voici mon histoire de sexe.
Les caresses du pharmacien
Ce jour-là, j’y suis allée sans même y penser et le voir m’a comme réchauffée. Il a un regard très doux, des cheveux bruns et lisses, de grandes mains, la peau brun clair, typé espagnol. Quand il a posé les yeux sur moi, ceux-ci se sont plissés car il m’a souri. Je l’ai trouvé si beau… Je ne sais pas si c’est parce que je m’étais disputée avec mon mec, mais il était encore plus beau que d’habitude, et j’ai eu envie de lui. Son regard pétillait, s’attardait sur moi. “Bonjour, comment ça va ?” J’ai acheté mon paquet de couches pour ma fille, pas très glamour. Ses yeux comme une caresse sur moi m’ont accompagnée toute la soirée.
Le lendemain j’ai dû revenir car je m’étais brûlée en renversant une tasse de thé sur ma cuisse nue. Ne sachant pas si de la Biafine suffirait, j’ai décidé d’aller demander conseil en pharmacie en première intention. Il était seul derrière le guichet, la pharmacie était vide. J’ai rougi devant son sourire et ses yeux plissés. Je lui ai exposé ma situation. « Je vais regarder si vous voulez. » Derrière le comptoir, il y avait un petit poste de soins avec une table d’auscultation couverte d’un drap, cachée par un rideau bleu pâle. J’avais mis des bas et des porte-jarretelles noirs, un peu exprès, en espérant tomber sur lui, mais sans y croire. C’était très équivoque, comme situation. J’ai soulevé ma jupe pour lui révéler ma brûlure sur ma cuisse, le souffle court. Il a effleuré ma peau pour regarder la blessure. Il était penché vers ma jambe et ne pouvait pas voir mon trouble qui devait certainement modifier mes traits. Il a relevé la tête en souriant. « De la Biafine suffira… »
Mon pharmacien, le meilleur baiseur !
Nos yeux se sont encore rencontrés. Sa main était sur ma cuisse. J’ai rougi encore. Avec toujours cette douceur infinie, il s’est penché à nouveau sur ma cuisse pour déposer un baiser sur ma peau brûlée. J’ai ressenti un désir puissant m’envahir au contact de ses lèvres sur mon épiderme. Il a de nouveau relevé les yeux vers moi pour voir ma réaction. Je devais le regarder si intensément qu’il a semblé rougir à son tour. Je l’ai attiré à moi contre la petite table pour l’embrasser. Sa bouche pressée sur la mienne était si tendre et sensuelle que ce simple baiser m’a fait tremper ma culotte. Il a passé ses doigts contre ma fente, augmentant ma lubrification et mon excitation. Puis il est redescendu entre mes cuisses pour écarter mon slip et me lécher. Sa langue m’a goûtée, m’a enveloppée de sa douceur humide. Les picotements du plaisir sont venus hérisser ma peau de chair de poule. La pointe de sa langue m’a fait jouir en quelques soubresauts. Ma jouissance a coulé dans mes veines et cette sensation m’a réconfortée. Je me suis tournée sur la table pour qu’il me prenne par derrière. J’en voulais encore. J’ai écarté mes fesses avec mes mains pour lui frayer un chemin. Il a passé sa queue dans ma raie pour ensuite me la fourrer dans la chatte. Il y glissait parfaitement avec toute la moiteur de mon excitation. J’ai entendu qu’il faisait des photos, ça m’a encore plus excitée. Puis j’ai eu envie d’être entièrement nue tant j’avais chaud. Je me suis couchée, lascive, sur la table, pour qu’il me photographie dans le plus simple appareil. Je me suis allongée, la tête dirigée vers lui, de sorte qu’il a pu présenter sa bite au-dessus de mon visage. Je pouvais voir cette raideur veinée et douce de très près. Il était beau gosse même à cet endroit. La tête renversée en arrière, je l’ai pris dans mon gosier avec générosité.
Il a baisé ma bouche avec la même tendresse tout en prenant une photo de ce ravissant tableau. Il a coulé dans ma gorge, tout chaud. Quand nous avons eu fini, il a couvert ma brûlure de crème avec soin. Je suis rentrée avec le souvenir de ses mains et de ses lèvres sur ma peau, encore tout imprégnée de lui. Il m’a envoyé les photos, que je ne cesse de regarder. J’ai presque envie de me brûler à nouveau. Brûler de toute la flamme de mon désir.
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