Five guys pour ma femme

La rédaction 14 juin 2024

Jacques – 43 ans – Montpellier, réalise le fantasme de sa femme en lui offrant quatre inconnus pour lui défoncer le cul.

Une femme sublime et un fantasme fou, voilà ce qui a mené à ces photos et ce récit. Fiona, ma compagne depuis deux mille dix-neuf, a toujours rêvé de pluralité masculine, j’ai donc tout organisé pour lui faire vivre cette folie. J’ai mis six mois à trouver quatre compères, à peu près bâtis comme moi, même taille, même corpulence, même queue peu ou prou. Voici mon histoire de sexe.

J’offre ma femme à quatre inconnus

J’ai emmené mon épouse jusqu’à un hôtel chic de Lyon, je me suis garé quelques rues avant et lui ai bandé les yeux. Elle n’a eu le droit d’enlever le bandeau qu’après de nombreux préliminaires. J’avais bien veillé à ce que mon appareil photo ait une batterie et une carte mémoire neuves, facile d’utilisation, il est passé de main en main afin d’immortaliser cette soirée tout à fait particulière. J’ai allongé Fiona sur l’immense lit, mes quatre compagnons étaient déjà nus et chacun s’astiquait le manche pour ne pas perdre son érection. J’ai distribué des préservatifs à tous ainsi que du gel lubrifiant et invité, de façon muette, le premier d’entre eux à venir laper la chatte de ma moitié. Cette dernière mouillait comme rarement, son con de brune sentait fort, il exhalait le désir, le sexe et la souillure qui l’attendait.

Chacun d’entre nous a léché l’abricot juteux, au second signal, les bites ont commencé à se succéder dans la bouche de ma belle. Elle a vite compris que je ne pouvais évidemment pas être occupé par un cunni d’un côté et lui donner à sucer ma queue de l’autre. Je l’ai autorisée à ôter son bandeau et elle a découvert cet aréopage de mâles, uniquement là pour la satisfaire et bandant fort pour elle. Un regard carnassier a traversé ses yeux et elle a appelé deux amants auprès d’elle pour une double fellation tandis qu’elle ouvrait les cuisses pour continuer de jouir d’une langue inconnue. Je ne peux dire combien d’orgasmes elle a eu juste par ces caresses linguales, mais cela ne l’a en rien épuisée. Elle a elle-même enfilé les préservatifs sur les quatre sexes en érection, écartant de facto le mien, et s’est offerte en levrette. C’était très drôle de voir ces quatre candidats en rang d’oignon, attendant sagement leur tour pour saillir la femme de ma vie.

Plusieurs mâles pour son petit trou

Certains débandaient parfois et se satisfaisaient un temps de la place de spectateur tout en se masturbant pour reprendre de la vigueur. Les plus vaillants l’ont pilonnée une bonne partie de la nuit. Fiona ne savait plus où donner de la tête, elle avait des membres partout autour d’elle, des mains l’étreignaient, lui forçaient le cul, lui ouvraient les fesses. Des doigts intrépides lui fourraient le petit trou, à un, à deux ou à plus.Elle bavait, elle mouillait, son vagin laissait échapper de l’air dans un vacarme qui l’aurait trucidée de honte en d’autres circonstances, mais là, elle s’offrait, chienne et déesse, putain et reine, centre de toutes les attentions, sous mon regard aussi vicieux que complice.

Nous avons fait couler un bain, certains avaient besoin d’une douche, d’autres d’une pause ou d’un verre. J’ai rejoint ma femme dans la baignoire, elle m’a laissée la lécher, son brasier sentait la cyprine, le caoutchouc des préservatifs et les parfums mêlés de la meute. Elle a même pissé devant moi tant elle était excitée, et elle m’a avoué qu’elle avait encore envie. À ses mots, les pénis se sont remis à bander, Fiona est sortie de l’eau telle une vénus et est repartie se positionner en levrette, écartant elle-même ses fesses pour donner tout accès à ses orifices intimes.

Déferlement de foutre sur son visage !

J’ai assisté à un déchaînement dans sa chatte et dans son cul, elle a été prise, sodomisée, on lui a enfoncé des queues au fond de la gorge, son mascara lui coulait sur les joues, elle a joui à répétition jusqu’à l’épuisement total.

Sa fine silhouette était un enchevêtrement de chair désarticulée au centre de l’immense lit, ses trous suintaient de mouille, de salive et de lubrifiant. J’ai donné le signal pour le show final, les capotes se sont envolées et nous nous sommes branlés tous les cinq au-dessus d’une Fiona au regard ahuri qui a tout de même trouvé la ressource de nous caresser les couilles à tous. Elle a été recouverte de foutre, les jets se sont succédé, lardant ses seins bombés, son ventre, son visage, son sexe, jusqu’à ses cheveux !

Les quatre se sont alors éclipsés, j’ai porté Fiona jusque sous la douche, je l’ai lavée de toutes ses souillures, j’ai ouvert le lit, elle s’y est glissée et je l’ai massée jusqu’à ce qu’elle s’endorme. Elle a sombré en quelques secondes. Le lendemain matin, lorsque le petit déjeuner nous a été servi dans la chambre, ma femme avait retrouvé toute sa fraîcheur, nous avons baisé juste nous deux et avons pris un plaisir intense !

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