Son minou puis le mien
14 août 2021Je m’appelle Elsa, j’ai 26 ans et je suis vétérinaire. Je suis petite, menue, avec la peau très fine. En général, je plais. Il y a un mois, un homme est venu me porter son chat. Je l’ai trouvé trop beau. Le client, pas le chat ! Un grand brun craquant, avec des yeux profonds et un sourire parfait : j’ai flashé, il n’y a pas d’autre mot. Voici mon histoire porno.
L’aguicheuse
Une vraie midinette ! Je minaudais, je lui faisais de l’oeil, des petits sourires, tout ! Il s’en est aperçu et a paru apprécier. Il m’a aidée à tenir le chat pour l’anesthésier. Nos doigts se sont croisés, et mon coeur s’est mis à battre la chamade. De l’index, j’ai caressé son pouce. Je me sentais comme une collégienne à son tout premier rendez-vous. Il s’est rendu compte de mon geste, mais a fait comme si de rien n’était. Je lui ai dit qu’il pourrait revenir prendre son minou quand il voudrait, mes yeux plongés dans les siens. Il m’a souri.
À peine avait-il quitté le cabinet, j’ai eu honte de moi. C’était plus que du rentre-dedans ! Une vraie femelle en chaleur ! J’ai assuré mes consultations, prodigué des soins à son chat et attendu le lendemain avec impatience.
Pour l’accueillir, j’étais nue sous ma blouse. Toute la matinée, je l’ai gardée boutonnée jusqu’au collet j’ai fait attention à mes mouvements. Mais, quand je l’ai vu entrer dans la salle d’attente, j’ai défait les deux boutons du haut. La naissance de mes seins était visible. Et on voyait bien aussi que je ne portais ni T-shirt ni soutien-gorge.
Il est entré dans le cabinet. Je n’étais plus moi-même. J’étais entièrement soumise à mon désir, ou à mes hormones, comme on veut. En allant chercher son chat, je tortillais du cul comme une pute. Je lui ai expliqué qu’il allait parfaitement bien. Nous l’avons tenu à deux pour le faire entrer dans sa cage de transport. Je me suis penchée en avant le plus possible.
Il a vu mes seins sous la blouse qui bâillait. J’ai surpris son regard émoustillé. J’ai contourné le comptoir, j’ai tiré les rideaux et je lui ai dit : » Maintenant que votre minou va mieux, si on s’occupait du mien ? « . Il n’a pas dû croire ce qu’il entendait ! Moi-même, je n’en revenais pas d’être aussi audacieuse !
Une pulsion sauvage
J’ai défait les boutons de ma blouse, un par un, lentement. Le type avait les yeux qui lui sortaient de la tête ! Je me suis agenouillée et j’ai ouvert sa braguette. Mon Dieu, j’avais envie de voir son sexe à un point ! J’ai plongé la main dedans, sa bite était très chaude et déjà dure. Je l’ai sortie et prise entre mes lèvres. Il ne disait rien, il se laissait faire. J’entendais sa respiration s’accélérer. Je mouillais énormément.
Je malaxais ses testicules tout en pompant sa verge tendue. Elle était épaisse et me remplissait la bouche. J’avais de la peine à bouger la langue, alors je me contentais de faire un va-et-vient en serrant les lèvres. Je sentais la moindre nervure et le renflement entre le gland et la hampe. Je n’en pouvais plus, j’avais trop envie de la sentir en moi. Je me suis relevée et je le lui ai dit. Je me suis assise sur le comptoir où prennent place les animaux domestiques et j’ai ouvert les cuisses. J’étais tellement trempée qu’il est entré sans problème tout au fond. J’ai ressenti une délicieuse brûlure.
C’était une baise sauvage et rapide, presque animale. Il m’agrippait le cul. Nous nous embrassions violemment. J’entendais le chat miauler, c’était bizarre. Ça ne nous déconcentrait pas, mais j’avais envie de rire et lui aussi, je pense. Ses coups de reins devenaient de plus en plus forts.
Il a joui trop vite, avant moi, mais m’a emmenée au plaisir avec ses doigts, tout en pinçant mes tétons avec ses dents. Son sperme dégoulinait le long de mes cuisses. J’ai poussé des gémissements rauques en jouissant. Mon orgasme a duré longtemps. Le chat, sans doute apeuré, miaulait à l’unisson de mes cris.
Ce type, je ne l’ai jamais revu. C’est mieux ainsi. Avec lui, j’ai eu une pulsion. Des envies de baiser comme ça, on n’en a pas tous les jours !
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