Sieste crapuleuse…
25 septembre 2024Virgil, 37 ans de Perpignan est inspiré par la lecture du magazine et décide de se prendre en photo avec sa femme lors d’une fellation et d’une sodomie.
Dans cette histoire de sexe amateur, c’est un scénario banal du quotidien d’un couple épanoui que je vais vous partager, car de temps en temps, ça peut être aussi croustillant qu’une partouze endiablée si c’est bien raconté.
Lecture, photos et fellation
Nous étions, avec ma femme que j’aime d’amour, en train de paresser dans notre chambre, dans notre location de vacances. Pas d’enfants en vue, pas de tâches ménagères, juste tout le temps devant nous. La définition du fantasme pour nous qui, le reste de l’année, menons des vies très rythmées. Cet été-là, tous les après-midis, nous étions deux chats au lit à ronronner l’un contre l’autre.
C’est alors que nous avons eu l’idée de nous adonner à quelques galipettes et de nous mettre en scène dans le but de chauffer les lecteurs d’interstron.ru ! Quelle meilleure activité à faire, une après-midi d’été, volets fermés, quand il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit à l’extérieur ? Nous avons feuilleté un numéro de notre magazine fétiche que nous avions emmené avec nous et ça a commencé à nous exciter. J’ai entrepris de lire à ma femme d’une nouvelle érotique. Elle était allongée dans le lit, nue, magnifique. Je l’ai sentie captive de mes mots. J’ai avancé la main vers son sexe et je me suis mis à la caresser pendant que je lui faisais la lecture. Elle a miaulé de plaisir. C’est alors qu’elle a proposé de faire notre propre petit roman-photo. Ça avait allumé l’excitation en elle et je l’ai sentie toute fébrile. C’est ainsi qu’elle m’a demandé de la prendre en photo en train de me tailler une pipe dans notre lit.
Pendant que je continuais ma lecture, elle m’a sucé la queue en reproduisant les descriptions que je lisais, embrassant, léchant et mordillant mon gland, puis passant la tête sous mes couilles pour me les lécher par en-dessous. L’objectif était de m’exciter au point de me faire lâcher le magazine, ce qu’elle a réussi sans grands efforts car c’est une admirable suceuse. J’étais concentré sur ce qu’elle faisait et sur les délices des sensations qu’elle me procurait. J’ai pris mon téléphone pour lui tirer le portrait afin de commencer notre propre nouvelle illustrée. Son visage et sa bouche en train d’honorer ma queue étaient ravissants et me donnaient envie de montrer à la Terre entière à quel point ma femme est bandante. Je guettais chaque expression, chaque contraction de ses traits, chaque pli, chaque carré de peau rosi par cette activité sexuelle et je les enregistrais avec mon appareil photo. Sa dévotion et son goût pour la chose se lisaient sur son visage et j’espérais le restituer fidèlement dans mes portraits. Ce moment était aussi chargé d’humour et de complicité car elle appréciait de se donner en spectacle et de penser, tout en me suçant, que nos ébats se retrouveraient certainement imprimés sur du papier glacé. Cela lui donnait un niveau de lecture supplémentaire de notre corps-à-corps, propre à exciter son cerveau qui a besoin de grain à moudre pour rester excité malgré les années de conjugalité.
Sodomie photographiée
Après cette longue pipe photographiée sous toutes les coutures, la douce a pensé à une autre image qui l’excitait : celle de moi en train de l’enculer, pendant qu’elle se caresserait avec ses doigts. J’ai trouvé moi aussi que ça ferait de belles photos, en plus d’être très excitant. L’atmosphère de la chambre était propice à cette longue sieste crapuleuse, avec le son des grillons qu’on entendait par les fenêtres entrouvertes. Les volets clos laissaient passer quelques taches de soleil qui se reflétaient sur son corps et venaient le décorer de petits puits de lumière que je m’amusais à suivre le long de ses courbes.
J’ai promené mes doigts sur cette lumière, ses seins, sa vulve et puis doucement, j’ai gagné son cul où j’ai glissé une puis deux phalanges pour l’apprivoiser et l’élargir à des caresses plus profondes. Pendant que je stimulais son anus avec mes doigts, elle s’est masturbé le clitoris avec les siens. D’abord doucement, le temps de s’éveiller, puis par des frottements plus insistants, pour continuer à s’ouvrir et à s’exciter. Ses gémissements m’ont donné le signal pour la sodomiser. J’ai pu la prendre et m’enfoncer dans sa chair comme dans du beurre, toujours si accueillante. Pendant ce temps, sa main exécutait toujours le ballet des caresses clitoridiennes frénétiques. J’ai fait de beaux clichés de cette rencontre entre ma verge, son cul, son sexe et ses mains. J’espère que vous saurez apprécier le résultat…
Puis j’ai lâché l’appareil pour profiter pleinement de la situation ! J’ai pris beaucoup de plaisir à posséder ma femme comme cela en sentant bien les contours de son anus autour de ma bite bien dure et les vibrations amenées par la pulsation de ses doigts sur sa chatte. C’était un beau moment de plaisir conjugal. Et j’espère pour vous, un tout aussi bon moment de plaisir solitaire ou à deux !
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