Aigue-marine à Aigues-Mortes

La rédaction 29 septembre 2024

Marie, 42 ans de Villeurbanne aime beaucoup s’amuser avec ses jouets devant son mari. régulièrement ils pimentent leur vie sexuelle en les utilisant.

J’aime le bleu, particulièrement les histoires de sexe amateur et l’aigue-marine. Mon vernis à ongles est de cette teinte, une bonne partie de ma garde-robe également jusqu’à ma lingerie. Quand mon fiancé m’a demandé en mariage l’été dernier, lors de nos vacances dans l’Hérault, et qu’il m’a offert la magnifique bague que j’arbore actuellement, j’ai fondu sur place !

préliminaires et jouets

Cela m’a donné une bouffée de désir intense. Je me suis aussitôt allongée sur le lit de notre chambre d’hôtel, assorti d’un plaid façon peau de bête. Il a été facile de me défaire en partie de ma légère nuisette et d’en sortir mes obus dont Olivier est complètement fou, j’ai écarté les cuisses pour commencer à me toucher. Je connais le meilleur moyen de faire plaisir à mon compagnon, je n’ai qu’à m’exhiber face à lui, à me masturber puis à le sucer et le branler jusqu’à ce que petite mort s’ensuive. Pour cette occasion toute particulière, je lui ai offert la totale ! J’ai débuté mon show en me caressant les seins et en fermant les yeux. J’ai entendu Olivier fouiller dans son sac, j’ai compris qu’il s’armait de son appareil photo, j’ai continué, bien sûr, à jouer le jeu. J’ai écarté les cuisses et me suis touché le clitoris. J’étais trempée, tout mon corps chantait le sexe et le désir, ma respiration était devenue saccadée, mon minou pulsait de plus en plus rapidement. J’ai étiré le bras jusqu’à la table de nuit pour saisir mon sextoy préféré, un petit vibromasseur (bleu, évidemment bleu !), j’en ai tourné la bague de marche-arrêt et les vrombissements ont immédiatement noyé mon bouton d’amour sous les ondes orgasmiques.

Olivier s’est départi de son boxer moulant et m’a offert une vue imprenable en contre-plongée sur sa belle queue bien droite et son gros paquet de couilles fermes et bien hautes. J’ai encore plus mouillé dès qu’il me l’a montrée. Il sait comme elle me plaît et comme je raffole de son jus crémeux.Tout en m’observant avec malice et un grand sourire de satisfaction aux lèvres, il s’est astiqué le membre gentiment, juste pour me donner l’eau à la bouche … et à la chatte. J’ai glissé le jouet dans l’anfractuosité gluante de ma moule et l’y ai enfoncé doucement avant d’imprimer des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides. Ce faisant, je continuais de me caresser les seins, d’en pincer les tétons, d’en écraser les mamelons jusqu’à ce qu’Olivier n’y tienne plus et me pelote les nénés à son tour.

un jouet excitant

Une main sur mes roploplots, l’autre astiquant son énorme manche, il m’a laissé entamer une masturbation profonde et langoureuse. Le jouet allait et venait dans ma fente trempée, je le sortais régulièrement pour en faire tourner le bout tout en cercles concentriques autour de mon bourgeon turgescent. Parfois, je délaissais le sextoy enfoncé dans mon vagin, je resserrais mes muscles pour l’emprisonner et je massais ma perle rose avec la pulpe de mon majeur. Mais je voulais exciter au maximum mon compagnon, je lui ai donc porté l’estacade finale. J’ai écarté mes fesses et glissé ma main jusqu’à mon anus poudré. J’ai sucé un de mes doigts et, relevant les cuisses, l’ai enfilé dans mon trou du cul qui l’a avalé tout entier. À cette cadence, je n’ai pas été longue à jouir, ça vibrait fort dans ma grotte, mon bouton d’amour palpitait à l’air libre et mon anneau s’est rendu en spasmes serrés et orgasmiques. J’ai crié en libérant mon jus sur la couette en pilou-pilou, mon vagin a pulsé longtemps avant que je n’atterrisse, molle et exténuée par ce paroxysme de plaisir.

J’ai tout de même trouvé la force de reprendre le vit d’Oliver dans ma main et de l’astiquer au rythme qu’il aime. J’ai imprimé de très lents mouvements de branle sur toute la portée de la hampe, décalottant à chaque fois le gland au maximum et restant dans cette position. Les veines de la colonne battaient la chamade, le méat s’est rapidement orné de gouttes brillantes qui se sont transformées en un filet épais. J’ai étalé ce jus huileux sur son gros fruit et j’ai continué à le masturber. J’avais mal dans l’épaule tant la posture était inconfortable, mais je voulais absolument le faire gicler. Je lui ai dit que j’avais envie qu’il m’encule, qu’il s’imagine que j’étais en train de sucer deux autres mecs devant lui. Son penchant candauliste a été frappé de plein fouet, quelques allers-retours sur son obélisque et l’éjaculation a éclaté, comme une fontaine généreuse. J’ai reçu une véritable pluie de sperme sur ma face et mon cou. Les jets se succédaient sans relâche. J’ai essoré le pieu jusqu’à la dernière goutte, regardant intensément le visage de mon homme déformé par un orgasme ravageur.

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