« Raie » veille en beauté !

La rédaction 26 octobre 2024

Marion, 25 ans de Royan partage dans cette histoire de cul son réveil coquin avec son compagnon. Très bon amant il la fait jouir par tous les trous.

Mon bébé d’amour, voici mon histoire de sexe amateur. Toi qui vénères mon corps, j’ai cherché longtemps la meilleure surprise que je pouvais te faire pour ton anniversaire et j’ai trouvé !

Une baise matinale & photos

Tu te souviens que je t’ai demandé il y a quelques temps de nous prendre en photo lors d’une baise matinale ? Toi qui aimes tant que je sois disponible sexuellement le matin, pile lorsque tu te réveilles en ayant une gaule de tous les diables, je m’étais levée plus tôt pour filer sous la douche et te rejoindre dans le lit, propre comme un sou neuf, te présentant mon joli popotin et la raie de mon cul bien ouverte pour que tu puisses te repaître de ma chatte et de mon petit trou. Tu as débuté tes prises de vues par ce panorama de mon derrière joufflu et totalement disponible. Je me sentais déjà mouiller, fomentant mon coup depuis longtemps, je ne pensais pas que d’être prise en photo m’exciterait autant.

Le gros calibre de Thomas tenait une érection de tous les diables, sa longue tige était gorgée de sang et je voyais les veines saillir le long de la hampe de mon homme. Ma fente était toute visqueuse, ça me coulait le long des cuisses et ta queue que je commençais à branler perlait tellement aussi que cela me coulait sur la main. Je t’ai sucé quelques instants, histoire de faire monter la tension encore un peu, mais très vite tu as réclamé que je t’enfourche, toi mon étalon fougueux. Tu sais que je ne peux pas résister à ton membre royal, j’ai empoigné ton énorme tige et je me suis taquiné le sillon avec le bout de ton gland. C’était doux, soyeux, ma cyprine huilait parfaitement ces deux éléments destinés à s’emboîter tantôt.

Tu as donné quelques signes d’impatience, j’ai vu que tu avais délaissé le portable et il a fallu que je te pousse à recommencer les prises de vue. Tu t’es finalement pris au jeu et tu as repris ton activité tandis que je m’empalais lentement, très lentement sur ton pieu énorme. Que j’aime quand tu me remplis de la sorte, de dos, tu avais une vue imprenable sur toute mon intimité et mes petites lèvres distordues par l’imposant braquemart qui allait si loin dans ma chatte étroite. De mon côté j’avais les mains libres, disponibles pour me toucher les seins, pincer mes tétons sensibles ou pour te caresser les bourses jusqu’au scrotum et même taquiner ton petit trou, tu adores ça.

Un amant extraordinaire

Tes couilles venaient au contact de mon bourgeon d’amour à chaque va-et-vient, je n’ai pas eu besoin de beaucoup de démener pour jouir de toutes mes forces, surtout lorsque tu m’as enculée avec ton index et ton majeur réunis ! Tu m’as dilaté la rondelle avec ma mouille, ton chibre me fendait la motte avec force, mon orgasme est parti de mes deux orifices en même temps. Un truc électrique qui a implosé entre mon vagin et mon rectum et qui est monté jusqu’à mon cerveau comme un coup de foudre brûlant qui m’a laissé éblouie et désorientée. Mais je voulais aussi que te profite de ma poitrine, je me suis donc retournée et tu as pu jouer avec mes loches, toi qui adores mes gros melons lorsqu’ils gigotent, agités par tes coups de boutoir, tu as été servi !

Je me suis démenée comme un cow-boy en plein rodéo, montant un taureau sauvage et énervé. Tu m’as baisée à mort mon prince, claquant mon cul, mordillant mes mamelons, m’enculant de nouveau avec un ou plusieurs doigts. Je savais très bien que tu ne lâcherais pas l’affaire tant que je n’aurais pas eu un second orgasme. Tu m’as fait monter, monter, monter et j’ai explosé, tétanisée par la deuxième vague, celle-là m’a fait trembler et hurler tellement ce fut bon. Le lit grinçait, tu as appuyé fortement sur mon entrecuisse, renforçant la pression sur mon clitoris, ce qui a prolongé d’autant mon palier de plaisir. Tu es décidément un amant extraordinaire ! Tu me connais sur le bout des doigts comme sur le bout de la bite mon Amour.

Toujours penchée en arrière, je me suis contorsionnée pour te montrer le plus possible l’intégralité de ma vulve rose surmontée de mon triangle noir, je me suis agitée pour déclencher l’irrémédiable en toi. J’ai alors sorti ton sexe épais de mon cocon, y laissant juste le gland, bien au chaud, j’ai serré mon con autour de ta couronne et, avec ma main, je t’ai branlé, lentement, te décalottant bien à fond pour renforcer les sensations sur ta couronne et ton frein. Je t’ai senti te raidir, ton pieu a sursauté plusieurs fois et ton éjaculation m’a remplie. Des giclées puissantes comme toujours, j’ai senti leur impact sur les parois de mon vagin et ton sperme s’est mis à couler en un ruisseau liquide et délicieusement nacré.

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