Bas vs chaussettes
5 avril 2025Ronald, 43 ans, n’aurait jamais imaginé qu’un simple débat sur des bas finirait en ébats ! Alors, bas vs chaussettes : qui gagne ?
Ronald nous fait part de son histoire de sexe avec sa copine et…un couple d’ami !
C’est un débat que nous avons souvent, Johan et moi, avec nos copines, Marion et Rebecca. Est-ce que les dessous portés par les filles jouent un rôle déterminant dans leur sex-appeal ? On a dû en faire une tête, le jour où elles nous ont proposé de vérifier ça ! Jamais nous n’aurions osé leur suggérer un plan à quatre, mais puisque c’était au nom de la science, alors …
Bas vs chaussettes : égalité !
Nous nous sommes donc retrouvés un peu gênés tous les quatre. De nouveau ce sont nos femmes qui ont montré l’exemple, elles se sont déshabillées mutuellement en se donnant de petits baisers du bout des lèvres.
Marion arborait des bas noirs hyper sexy, Rebecca, une paire de chaussettes rayées rouge et blanc assortie de jolis pompons en forme de cerises. Nous nous sommes regardés avec Johan, il y avait clairement match nul, les deux étaient tout aussi belles et sexy !
Nos pines en étaient la meilleure preuve, nous bandions comme des fauves. À notre tour nous nous sommes mis nus, les nanas ont commenté nos queues, les couvrant de compliments avant de s’allonger pour une séance de pose.
Des photos et des pipes
Appareil photo en main, Johan s’est régalé, d’abord avec sa compagne puis avec Rebecca qui se révélait décidément très coquine, même avec un autre homme que moi. J’ai adoré qu’elle s’exhibe ainsi, d’autant que, pendant ce mini-shooting, Marion s’est glissée à mes pieds pour me prendre entre ses lèvres.
En plus d’être une véritable beauté, cette femme est très libre et a une bouche aussi grande que douce. Ses lippes se sont enroulées sur mon manche et, tout en m’agaçant les couilles du bout des ongles, elle m’a administré la meilleure pipe de ma vie.
Pendant ce temps, Rebecca n’avait pas chômé non plus. Après avoir longuement permis à Johan d’admirer l’intégralité de son anatomie, jusqu’au petit grain de beauté qu’elle porte joliment à côté de son anus, elle avait attiré celui-ci sur le lit, à quatre pattes.
Un échange de partenaire
Regard complice et, en même temps qu’il me lançait le boîtier photo pour immortaliser la scène, il pénétrait ma compagne jusqu’à la garde ! J’ai vu cette dernière encaisser le choc et pencher la tête en arrière, cette belle coquine adore mater les boules ballotter au gré des coups de reins et jouer avec autant que faire se peut. Elle gémissait de plus en plus fort et a joui pile au moment où Marion m’avalait la queue tout entière !
La gorge profonde faisait donc aussi partie de la panoplie de ce canon, Johan ne m’avait pas menti. À son tour, ma cavalière a désiré que je la pénètre. Elle m’a enfilé un préservatif et s’est installée à califourchon sur moi. Quel bonheur que de sentir son poids libre sur mon torse et de malaxer ses fesses pulpeuses à pleines mains !
Elle bougeait tout en ondulations très érotiques, ses seins gonflés juste au-dessus de mon visage. Je l’ai attirée à moi et nous nous sommes roulés une longue pelle avant qu’elle ne me tende ses mamelons aux tétons épais à sucer. Elle a continué ses mouvements, de plus en plus rapides et saccadés jusqu’à ce que sa tête se renverse et qu’elle pousse un doux cri de délivrance. Mon bas-ventre était inondé par sa mouille et ma bite s’est retrouvée prisonnière d’un véritable étau. Une chose était sûre, Marion avait vraiment pris son pied !
L’histoire de sexe se poursuit sans plus de photos que cela, chacun avait besoin de ses mains et de ses doigts, de sa langue et surtout, de vivre l’instant présent pleinement.
Le ping-pong du sexe
Nos partenaires se sont fait du bien mutuellement en soixante-neuf avant de se lover l’une contre l’autre, nous présentant leurs croupes ouvertes et trempées. Un ping-pong sexuel a alors commencé.
Je pénétrais ma femme, Johan, la sienne, puis nous échangions nos places, laissant libre cours à nos caresses sur les fesses gourmandes de ces demoiselles qui, de leur côté, donnaient toute leur passion amoureuse en échanges de baisers charnels, en effleurant leurs seins ou en allant à la rencontre du clitoris de son alter ego du bout d’une pulpe subtile et jouissive.
Les orgasmes se sont succédé, forts, intenses, elles n’en avaient jamais assez pour notre plus grand plaisir. Johan se montrait fort endurant, Rebecca appréciait sans conteste sa science de l’amour et la façon qu’il avait de la prendre tout en souplesse et en profondeur.
In fine, elle nous a cajolé les boules tout en enserrant nos queues entre son index et son majeur Ce geste, anodin mais léger comme une plume, a eu raison de nous et nous avons éjaculé quasi simultanément !
Conclusion : match nul, mais … quelle belle histoire de sexe !