Nouvelle vulve pour une nouvelle vie 

La rédaction 7 juillet 2025

Isa, 45 ans, s’ennuie au lit avec son mari. Lorsqu’un client très séduisant apparaît au travail elle craque, des jeux interdits vont la faire renaître !

Isa nous fait part de son histoire de sexe amateur avec un client très coquin !

Je me prénomme Isa, j’ai 45 ans et je suis courtière en assurances. Jusqu’à l’an dernier, ma vie semblait parfaite. Avec mon époux J., notaire bien sous tous rapports, nous incarnions le couple idéal. Mais derrière l’harmonie de façade, notre complicité s’était émoussée avec le temps, jusqu’à nous transformer en colocataires bien élevés.

Drague au travail

Au lit, je ne savais plus ce qu’était le plaisir, ni même dire si j’avais déjà vraiment joui.

Et puis il y eut ce jour de mai 2024 où un nouveau client de mon cabinet a chamboulé mon univers. Appelons-le Monsieur G. Un homme d’une cinquantaine d’années, aux cheveux grisonnants et aux yeux clairs, grand, distingué et sûr de lui, qui s’est mis à venir régulièrement pour divers projets immobiliers.

Au bout de quelques semaines de collaboration et alors que nous étions assis côte à côte pour relire un contrat, il m’a regardée par en dessous et m’a lancé avec un sourire désarmant : « Vos yeux appellent au rêve. » J’ai pris ses mots pour une simple flatterie, un moyen de s’assurer que j’allais m’investir dans ses dossiers.

Mais il ne s’est pas arrêté là. À partir de ce jour, à chaque rendez-vous, Monsieur G. m’a systématiquement complimentée sur mon travail, mais aussi, sur mon apparence et ma personnalité, laissant entendre que notre relation dépassait de beaucoup le cadre professionnel.

Ses avances étaient délicates, jamais vulgaires, et je dois dire qu’il m’a très vite entraînée dans un jeu de séduction auquel je n’étais pas préparée. Au bout de deux mois, ce jeu a gagné en intensité.

Idées de fantasmes

Monsieur G. s’est mis à me suggérer des escapades improbables. « Et que diriez-vous si nous partions tous les deux sur une île lointaine où nous vivrions nus ? », « Que pensez-vous qu’il se passerait si nous étions coincés plusieurs heures dans un ascenseur ? »…

Des fantasmes que j’écoutais, rouge de plaisir et de honte, avant de tenter de revenir à nos dossiers, mais sans parvenir à dissimuler le fait que j’étais attirée comme un papillon par la flamme. J’ai tout de même résisté plusieurs semaines, trop attachée à mon rôle d’épouse respectable.

Mais ses propositions s’infiltraient dans mes pensées comme un délicieux poison, jusqu’à me réveiller la nuit, le cœur battant et l’entrejambe humide. C’est comme si mon corps se réveillait et que mes organes du plaisir étaient rajeunis, renouvelés.

Un soir, n’en pouvant plus de ces nuits de frustrations, j’ai accepté la réalité : je désirais Monsieur G. avec une force que je ne pouvais plus combattre. La veille, le séducteur m’avait donné une adresse : un hôtel discret en périphérie de notre ville.

Ma mission était simple : venir habillée de lingerie affriolante, sans un mot, et le retrouver comme si nous étions des inconnus. Je tremblais en montant dans l’ascenseur, partagée entre la peur et ma culotte noire déjà humide, ce nouveau sexe que je découvrais intarissable.

Quand Monsieur G. a ouvert la porte, l’atmosphère s’est chargée d’électricité. Pas de mots, juste des regards brûlants. Mon client m’a déshabillée lentement, avec une précision presque cérémoniale. Mon corps, qui s’était tant de fois ennuyé dans les bras de J., s’est embrasé sous ses caresses.

Jeux interdits

Ses mains exploraient chaque parcelle de ma peau, éveillant des sensations que je ne soupçonnais pas, quelque chose de dévorant. J’en ai encore la tête qui tourne en écrivant ses lignes.

Nous avons immortalisé certains de nos rendez-vous interdits. Comme ce jour où il a , plongeant mes sens dans une confusion délicieuse. Puis il est sorti de la chambre, avant de revenir en faisant claquer la porte derrière lui. À moins qu’il se soit agi d’un autre ?

Je savais que c’était là un de ses jeux qui me laissaient le souffle coupé, et j’adorais ça. Dans l’obscurité, j’ai senti des lèvres, des mains et un plaisir décuplé par l’idée qu’un autre homme pouvait être à la manœuvre.

Lors d’une autre rencontre, Monsieur G. m’a chargée de venir habillée d’une combinaison en latex, que j’ai dissimulée sous un long manteau noir.

Une fois que je l’ai rejoint dans la chambre d’hôtel, il l’a fait glisser de mes épaules et le grognement animal qu’il a poussé m’a fait tomber à genoux, soumise à la luxure, prête à être souillée.

Paradoxalement, après notre coït bestial, je me suis sentie extrêmement puissante, tandis que Monsieur G. se lovait entre mes seins en haletant de m’avoir prise si fort. 

Aujourd’hui, je découvre enfin qui je suis : une créature sexuelle, désirable et désirée. Mon amant a réveillé en moi une nouvelle femme qui ne compte pas s’arrêter là. Chers Lecteurs, si ces confidences vous ont intrigués, peut-être vous écrirai-je à nouveau.

Après tout, il me reste tant d’expériences à vivre et à partager…

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