Les péchés d’une dame pas si rangée

La rédaction 18 mai 2021

Sous ses airs de mère de famille idéale Andrea, 45 ans est une vraie coquine qui sextote avec ses amants. Elle invite l’un d’entre eux à la dernière minute pour nuit de folie.

Je suis une femme de 45 ans et l’incarnation de la dame bien comme il faut : mariée, quatre enfants, cadre d’une grande firme et issue d’une famille bourgeoise. Mais voilà, si j’en restais là de ma description, mon récit porno ne serait pas très croustillant pour vous, chers lecteurs.

La vérité est que, déjà, je fais moins que mon âge et que je me sens de plus en plus sexy à mesure que les années passent. Ensuite, je m’adonne secrètement depuis quelques temps à des plaisirs clandestins. J’ai une fantasmagorie débordante et surtout, je ne voulais pas vieillir sans m’être mise aux applications de dating où il est aussi facile pour une femme de trouver un partenaire occasionnel que de mettre une lettre à la poste. J’avais déjà eu des amants, sinon je serais morte d’ennui, mais je voulais voir en quoi ce genre d’outil pourrait m’être utile dans l’approfondissement de ma sexualité.

Au début, je souhaitais surtout échanger virtuellement pour me chauffer une fois la maisonnée couchée et ma petite famille me croyant en train de ranger le salon. C’est devenu mon petit rituel de mère de famille pas si rangée que cela : me caresser sur le canapé le soir venu en discutant avec de parfaits inconnus. Je n’ai pas menti sur mon âge sur mon profil et je me suis rendu compte à mon grand étonnement que j’attirais davantage de jeunes hommes que ceux de mon âge. Je ne m’étais encore jamais autorisée ce genre d’écart : un garçon de 25 ans par exemple, m’écrivait beaucoup. Ça commençait à m’émoustiller sérieusement mais je m’interdisais pour le moment de goûter au fruit défendu avec ce jeune bien audacieux.

Un soir que je textotais avec lui, il m’a supplié de lui envoyer des photos. Comme ça m’amusait et que je me disais que ça ne pouvait pas faire de mal, je me suis exécutée. Je craignais de me rendre ridicule, je me disais que ce n’était plus de mon âge, et pourtant ! J’y ai trouvé beaucoup de plaisir. Voyez plutôt. Je me suis installée dans mon salon quand tout le monde était au lit, en soutien-gorge et porte-jarretelles noirs (que mon mari ne remarque même plus), maquillée, glamour. J’ai relevé les jambes et j’ai fait des selfies en fixant l’objectif. J’ai fourré mes doigts fins dans ma chatte et dans mon cul avec délice.

Je ne faisais pas semblant, je n’ai pas honte de mes plaisirs, et j’enfonçais doctement plusieurs phalanges dans mes orifices ravis. J’ai même posé le téléphone sur un guéridon et me suis penchée en tendant la croupe en arrière pour que mon jeune étalon et correspondant secret puisse se rincer l’oeil. Il m’a inondée de flatteries tout en me vouvoyant : “Vous êtes magnifique, votre corps est à tomber, vous êtes tellement plus bandante que les filles de mon âge. Je me damnerais pour pouvoir vous tenir dans mes bras juste quelques secondes.” Je n’en revenais pas d’un pareil enthousiasme ! Et même si j’avais déjà goûté à l’infidélité, cette transgression-là avait un goût encore plus épique qui me tentait… À tel point que je me suis laissé tenter par l’interdit suprême de la rencontre avec jeune homme de 25 ans…

En pleine nuit, je me suis installée dans mon salon pour discuter avec lui. Dans un accès de folie, je lui ai demandé de venir à ma rencontre, chez moi. Il habitait à proximité. La maison était très grande et la chambre conjugale suffisamment loin du salon pour qu’on ne nous entende pas. J’adorais l’idée de me faire vénérer par un jeune homme fougueux sous le toit même où j’avais bâti ma respectabilité et m’étais laissée entraver par la domesticité. Il est entré dans mon vaste séjour par la porte que j’avais laissée entrouverte. Je portais les mêmes sous-vêtements qui l’avaient fait rêver dans nos échanges textuels. Le garçon, Nils, beau blond aux yeux clairs, s’est presque jeté à mes pieds et a continué à me vouvoyer.

Cette soumission à mon autorité naturelle me faisait mouiller. Je n’avais plus qu’à tendre la main pour boire ce nectar de jeunesse… C’est ce que j’ai fait en le faisant se relever, un doigt sur les lèvres pour lui faire signe de se taire, et en sortant sa queue de son pantalon. Je me suis agenouillée devant sa tendre chair, débordante de mon désir de n’en faire qu’une bouchée. Cela allait s’avérer périlleux, vu la grosseur de son membre ! Sa queue turgescente et pleine de la vigueur de son jeune âge s’élevait devant mon visage conquis. Je l’ai suçotée, l’ai goûtée, ai promené son gland au bord de mes lèvres avant de le prendre le plus loin possible dans mon gosier. Il m’a photographiée en me regardant comme si j’étais la septième merveille du monde.

Oh le fier gourdin ! Le jeune homme tremblait et contenait ses râles de plaisir. Je n’étais plus habituée à une telle sensibilité ! Comme ça faisait du bien à l’estime de soi ! Je me sentais comme une déesse du cul, dont la maturité aurait encore plus augmenté la valeur.

Mon sexe trépignait de désir. Je voulais le faire disparaître en moi, que nos vingt ans d’écart d’âge soient engloutis dans une baise charnelle et intense ! A genoux contre le canapé, j’ai plaqué le ventre contre le siège pour lui tendre mon séant. Sa queue m’a traversée avec tout l’élan que lui permettait son jeune âge. Quelle sensation ardente ! Je retrouvais les sensations de mes premiers émois de jeune femme quand je me faisais encanailler par mes camarades de fac.

Ses mains douces enveloppaient ma croupe et son sexe vigoureux frétillait à l’intérieur de mon vagin. Cette aventure était si plaisiante, avoir ce bel Apollon à ce point fou de moi pour serviteur, quel bonheur ! Je l’ai laissé se répandre en moi, tout tremblant de plaisir, ma chatte surchauffée par ses assauts. Baisée sous le toit de mon mari, ça avait eu le don de m’exciter comme une petite folle ! Oubliée les obligations de bienséance… Plein de son foutre, je me suis retournée et je l’ai fait me lécher jusqu’à l’orgasme, remplissant sa bouche de ma mouille mêlée de son sperme. Ma signature !

Quand j’ai renvoyé mon nouvel amant chez lui et que je suis retournée dans le lit conjugal, ma chatte était encore suintante de sa liqueur.

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