Orient express

La rédaction 6 avril 2021

Abdel, 41 ans nous confie son dernier craquage. Marié et en voyage au Maroc, il succombe aux charmes d’une belle brune qui bronze à la piscine.

Moi, c’est Abdel, Marocain brun à la peau mate dont le charme méditerranéen et les grands cils noirs ont eu raison de plus d’une femme. Mais ma dernière aventure, mon dernier péché, mon petit craquage, c’est quand j’ai flashé sur une femme alors que j’étais en vacances en bord de mer avec ma femme, au Maroc, je vous raconte dans cette histoire de sexe.

Nous étions sur une partie privatisée de la plage, sur des transats au bord d’une piscine, où les femmes sont plus à l’aise pour se foutre à poil (ou en tout petit maillot) si ça les amuse. Il y avait une brune pulpeuse en minuscule bikini blanc. Ses seins débordaient du triangle, et son large cul s’étalait hors de son petit string qui rentrait presque jusque dans les lèvres de son sexe. Mes yeux se sont baladés sur ses courbes sublimes, la chute des reins, l’ampleur du cul, l’épaisseur de la poitrine, et ses yeux perçants, bruns presque noirs, soulignés de jolis sourcils bien dessinés. Son teint était lumineux et sa peau semblait aussi agréable qu’une caresse. Elle me jetait des petits regards en coin tout en s’envoyant des cocktails. Son mari était à ses côtés et la prenait par la taille pour marquer sa propriété mais celle-ci ne s’en formalisait pas : elle continuait de fixer mon visage et mon propre corps avec son regard de braise. Oh, elle me donnait envie d’elle, cette belle brunette à la peau gorgée de soleil, cette beauté chaude comme le feu ! Elle a plongé dans la piscine et en est ressortie en passant la main dans ses cheveux lissés par l’eau qui scintillait aussi sur ses joues. Elle a continué de me jeter des regards appuyés en faisant mine de partir.

Elle a passé une tunique, rassemblé ses affaires et dit à son mari de rester profiter de la piscine, elle avait trop pris le soleil. J’ai fait de même en disant à ma femme que je rentrais à l’hôtel faire une sieste, sans savoir ce que je faisais. Je suis sorti de la plage privée par le parking. Elle m’a fait signe de la suivre en m’indiquant de rester à distance pour qu’on ne soit pas vus ensemble. A un moment, elle a disparu derrière une grosse porte et quand je suis passé devant, elle m’a fait signe d’entrer. C’était comme une pulsion, une passion sauvage qui nous avait étreints au même moment. Elle ne devait peut-être pas assez baiser à son goût ? Elle avait une dalle sexuelle en tout cas, elle m’aurait mangé tout cru ! Elle m’a attiré dans son salon où étaient disposés de beaux tapis. “Mon mari me respecte trop, mais moi, j’ai envie de me faire baiser”, m’a-t-elle dit en guise de salutations. Je l’ai embrassée fougueusement comme si nous étions amants depuis des années. Elle s’est répandue sur le sol, à mes pieds, en me fixant. Elle a enlevé sa tunique et a entrepris de me montrer sa belle plastique. Elle voulait se soumettre. Elle a écarté d’un geste les deux triangles de son bikini pour faire surgir sa poitrine.

Soutenus par les ficelles, ses nichons n’en étaient que plus proéminents. Ses tétons étaient larges et sombres, hérissés de chair de poule, et ses deux grosses miches étaient la chose la plus appétissante qui soit. “J’ai envie de te prendre, par terre, à quatre pattes, autant que tu me le demanderas », ai-je dit. “Dépêche-toi, on n’a pas beaucoup de temps”, s’est-elle exclamée. Je me suis mis à quatre pattes à côté d’elle pour faire tourner ma langue autour de ses tétons durcis, tout autour, puis sur le sommet de leurs pointes.

Elle m’a demandé de me relever et elle s’est mise à genou, les mains sur ma bite dressée comme si elle allait jouer d’un instrument, elle a craché sur le haut de ma flûte, a répandu le crachat sur mon gland, l’a enduit de sa langue humide, de la douceur de ses lèvres. Elle m’a sucé dans sa bouche toute chaude où ma queue glissait tout au fond, où elle la savourait de longues minutes, puis elle se retirait et passait sa langue charnue à nouveau sur le grand saillant. Je kiffais sentir ma queue se perdre en elle et être sucée comme un bonbon, durcissant à mesure qu’elle me pompait tout en caressant mes boules. Puis elle s’est laissé retomber sur son son beau cul, les seins toujours sortis du maillot. Et elle s’est mise à mes pieds pour les embrasser. J’ai fourré mon gros orteil dans sa bouche.

Etendue sur le dos, les seins dodelinant en tout sens, son joli ventre palpitant avec un petit bijou au nombril, elle suçait mon gros orteil avec la même gourmandise que ma queue. J’adorais ce petit délire inattendu ! La belle brune a lâché mon pied et s’est positionnée à quatre pattes, fesses cambrées en arrière. Je pouvais voir son boule relevé, la ficelle de son string qui se perdait dans sa raie et sa fente, ses pieds toujours chaussés de ses sandales à talons. J’ai écarté le string d’un geste pour dégager son cul. A genoux derrière elle, j’ai présenté ma bite à l’entrée de sa chatte et, emporté par la beauté de cette vulve qui laissait passer mon ardeur, je l’ai sautée, elle qui s’aplatissait de plus en plus contre le tapis, son cul qui bougeait de tous les côtés à force d’être brutalisé.

Délice de la baise clandestine en pleine après-midi ! A force de la ramoner, elle s’est mise à crier, et au bord de l’orgasme, j’ai tendu la main pour lui masser le clito par derrière jusqu’à ce qu’elle tremble de partout en témoignant de son plaisir par des exclamations sensuelles… J’ai tout lâché dans la capote pendant qu’elle jouissait, tant son impudence m’avait rendu fou.

Nous nous sommes dépêchés de nous séparer de cette étreinte pour revenir à nos vies respectives et rentrer dans le droit chemin, avec nos fluides et nos odeurs qui ne nous lâchaient plus.

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