Sexe sans complexes 

Eva nous raconte son histoire de sexe amateur avec un touriste qui ne va pas visiter que la ville !

Je m’appelle Eva, j’ai 22 ans et j’ai toujours eu une relation compliquée avec mon corps.

Depuis l’adolescence, ma famille me fait des remarques sur mes fesses et mes seins, parce que toutes mes tantes et mes cousines sont super minces.

Drague en vacances

Je n’aimais pas non plus mon petit ventre et j’avais appris à cacher certaines parties de moi.

L’été dernier, j’ai travaillé dans la boutique d’une de mes tantes en bord de mer. C’est un petit magasin qui vend des produits basiques : crèmes solaires, lunettes, t-shirts, jouets de plage…

Chaque jour, je voyais des dizaines de touristes passer. Certains achetaient, d’autres flânaient sans rien prendre. Et puis, il y avait Arthur.

La vingtaine, châtain, sympathique, avec un visage rond et des yeux noirs pétillants. Il venait presque tous les jours.

Il m’achetait une crème solaire ou un maillot de bain qu’il n’essayait même pas ou des mots croisés.

Et il revenait toujours, avec son joli sourire et une façon de discuter avec moi qui me mettait très à l’aise. Mais je ne voyais pas vraiment l’intérêt qu’il me portait…

Je pensais qu’il venait juste pour passer le temps, comme beaucoup de clients en vacances.

Un jour, alors qu’il feuilletait un sudoku, il a levé les yeux vers moi, comme s’il venait de se rendre compte de quelque chose. Puis il a dit d’une traite : « Tu sais, Eva, je te trouve sublime. »

Faire monter Arthur

J’ai ouvert grand les yeux, je ne comprenais pas bien ce qu’il venait de dire. Sublime ? Moi ? La fille avec des fesses et des seins trop gros ?

Avec mon petit ventre mou ? J’ai ri, un peu gênée, mais il a insisté. « Vraiment, tu as un corps magnifique. »

Je n’avais jamais entendu un homme me dire ça de façon aussi directe et sincère. Je me suis sentie… vue, comme si je ne devais plus me cacher et qu’au contraire, je pouvais plaire.

Une drôle de sensation m’a envahie. J’ai balancé à Arthur en me surprenant moi-même : « Viens, on monte chez ma tante, c’est juste au-dessus. » Elle n’était pas là et je pouvais bien quitter le magasin un petit moment…

J’ai retourné le panneau “Ouvert” et j’ai fait monter Arthur en rigolant. 

Ce qui s’est passé ensuite ? Un tourbillon de sensations nouvelles pour moi. Arthur m’a prise dans ses bras dès que j’ai claqué la porte et on s’est embrassés comme dans les films.

Le plus beau cul du monde

Il en avait autant envie que moi. C’était comme si mon corps, que je n’osais même pas regarder dans le miroir, devenait sexy.

Il faisait sombre dans l’appartement, car ma tante ferme toujours les volets pour éviter la canicule.

Arthur a allumé la lumière et je l’ai laissé faire. Puis il m’a amenée dans la grande chambre, celle de ma tante, et il m’a aidée à me déshabiller.

J’ai juste voulu garder mon t-shirt, je n’osais pas encore montrer mon ventre et mes seins. 

Arthur s’est allongé nu à côté de moi et il m’a caressée tout doucement. Je gémissais sans que cela me gêne, tout était trop bon.

Ensuite, il m’a guidée pour que je me mette à quatre pattes et il m’a pénétrée.

C’était très doux, très agréable… Il a insisté pour prendre des photos et je me suis sentie super belle. 

Arthur est revenu le lendemain et on a refait l’amour. Cette fois, pas de t-shirt, mais je portais quand même un soutien-gorge. On l’a refait en levrette, ça m’allait bien parce qu’il ne me voyait pas trop.

Enfin, que de dos… Il n’arrêtait pas de caresser mes fesses en me prenant, il disait que j’avais « le plus beau cul du monde »… C’était aussi agréable de l’écouter que de faire l’amour ! 

Enfin décomplexée !

On l’a refait deux autres fois. La première, j’ai mis , toujours pour me cacher et aussi parce qu’Arthur m’avait dit qu’il aimait

Ça l’a tellement excité qu’il a joui très vite et moi, je n’ai pas eu le temps. La deuxième fois, c’était juste avant qu’il retourne chez lui. Ses vacances étaient finies.

Là, on a pris le temps et j’ai osé me mettre entièrement nue. J’ai même demandé qu’on soit face à face, en missionnaire d’abord, puis les jambes relevées !

Je n’avais jamais osé avant. Arthur voyait tout et me faisait plein de compliments. J’ai caressé mes seins, et aussi, je me suis touchée entre les jambes pendant qu’il me prenait très fort…

J’ai tellement aimé que j’ai eu le premier orgasme de ma vie !

Les jours d’après, j’étais triste qu’Arthur soit parti, mais on a continué à s’écrire (on le fait toujours, d’ailleurs). Depuis lui, je me sens comme une autre personne.

À la fin de l’été, je suis allée à la plage en mini bikini. Moi, la fille qui passait des heures à essayer des maillots de bain toujours plus couvrants, je m’aimais !

J’ai marché dans le sable, les fesses et les seins bien en place, en sentant le vent de la mer sur ma peau. Enfin heureuse d’être moi !

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