Sur la biroute du plaisir 

La rédaction 21 juillet 2025

Patrice, 48 ans, ne s’attendait pas à baiser la fille du patron avec un de ses collègues routiers !

Patrice nous fait part de son histoire de sexe amateur avec un collègue et…la fille du patron !

Je m’appelle Patrice, j’ai 48 ans et je suis routier. Ce soir-là, comme beaucoup d’autres, je me suis retrouvé dans un petit resto routier après une longue journée de camion.

La fille du patron

Le resto était quasi vide. J’étais seul à ma table quand un type m’a fait signe de l’autre côté de la salle. C’était Éric, un collègue que je croisais parfois, mais avec qui je n’ai jamais pris le temps de discuter.

Il m’a accueilli à sa table comme si on se connaissait depuis toujours. Il a la quarantaine, grand, plus de cheveux que moi, une allure de mec qui a vécu, mais qui ne se prend pas la tête.

On a échangé quelques mots, et très vite, les bières sont arrivées. La conversation a pris un tour plus perso.

Il m’a parlé de ses voyages, de sa famille. Moi, je lui ai raconté mes galères avec ma femme, la solitude du boulot qui me pesait. 

Pendant qu’on causait, un détail m’a sauté aux yeux. Éric ne lâchait pas la serveuse du regard. Elle était jeune, à peine vingt ans. Elle nous servait avec un demi-sourire et un drôle d’air.

C’était la fille du patron. J’avais remarqué que son père la surveillait depuis le comptoir.

Éric suivait chacun des mouvements de la fille, un peu comme un prédateur qui guette sa proie. J’ai fini par lui poser la question. « Tu la connais ? » Il a rigolé doucement.

« Mieux que ça. Je vais chez elle dès que je passe par ici. Parfois, je fais un détour juste pour venir bouffer ici et la voir. »

Il m’a dit ça comme si c’était la chose la plus normale du monde. J’ai avalé ma salive. Je ne sais pas si j’étais gêné, excité, curieux… Un peu tout ça, je crois.

Ou peut-être que c’était juste une blague de routier ? Mais Éric était très sérieux. Avec un air de brigand, il a ajouté : « D’ailleurs, ce soir, je vais la voir. Ça te dirait de m’accompagner ? »

Je m’y attendais encore moins. Et en même temps, l’idée m’a titillé. « On va la rejoindre chez elle, juste à côté », a continué Éric, comme si c’était une proposition logique.

« Ça te tente ? » Je me suis entendu répondre : « Pourquoi pas ? »

A deux c’est mieux !

On a fini de bouffer, on a payé puis on s’est barré. Le patron nous a regardés sortir sans broncher. Est-ce qu’il se doutait d’un truc ? Éric avait l’air de s’en foutre royalement.

Chacun est parti à son camion pour pisser un coup. Je me suis fait une toilette rapide avec une bouteille d’eau. J’ai senti qu’Éric n’allait pas se donner cette peine.

Vingt minutes plus tard, on s’est retrouvés sur le parking, puis on a marché un petit moment jusqu’à un lotissement. Un seul appartement était allumé.

Éric avait ses habitudes. Il a composé le code et il est entré. J’ai suivi en mode pilote automatique. Quand il a toqué et que la porte s’est ouverte, j’ai réalisé.

La petite était là, avec son drôle de sourire. Elle portait juste une petite culotte et un t-shirt. La salope… Elle n’a même pas eu l’air surprise qu’on soit deux.

Elle a même dit « J’espérais bien que tu viendrais avec ton pote. »

Éric a rigolé et il l’a prise par la main, direction la turne. Là, il s’est foutu à poil. La fille s’est pendue à son cou et il a commencé à la galocher comme un gros dégueulasse.

Je ne sais pas pourquoi ça m’a excitée comme ça… Éric a vu ma gueule et a dit : « Mais désape-toi, Ducon, t’attends quoi ? » J’ai enlevé mon sweat et mon jean et je les ai rejoints.

On a déshabillé la petite ensemble et on se l’est partagée…

J’en reviens toujours pas moi-même, alors que j’étais là ! Éric a allongé la fille et lui a dit « Allez, suce mon copain ». Ses yeux ont brillé et elle a ouvert la bouche.

Habituée aux routiers !

Pendant ce temps, Éric s’est mis entre ses cuisses et a commencé à la branler et à la lécher. Elle réagissait super bien, des gémissements de chienne pendant qu’elle me prenait en bouche !

Un peu plus tard, c’est Éric qui s’est fait pomper le dard. Il sentait le bouc, mais la petite avait l’air d’apprécier… Clairement, on n’était pas ses premiers routiers.

Peu à peu, je me suis complètement lâché. On a pris la fille dans tous les sens. Quand je me faisais pomper, c’est Éric qui la baisait, puis c’était mon tour.

Elle avait le con totalement épilé et tellement serré… Elle passait de l’un à l’autre en se donnant à fond, on sentait qu’elle adorait la bite.

J’ai pensé à son père qui était forcément au courant que sa putain de fille tournait entre tous les routiers du coin. Ça m’a rendu fou, je bandais comme un taureau.

Éric m’a demandé comment je voulais me finir. J’ai choisi une pipe. La petite était vraiment douée pour ça. Je me suis mise au-dessus d’elle et je l’ai regardée faire, pendant qu’Éric lui bourrait la chatte.

À chaque fois qu’il la pénétrait, ça obligeait la fille à m’avaler plus profond. Je lui ai craché la purée en plein dans la bouche et elle a fermé les yeux de plaisir.

Je n’ai jamais recroisé Éric et je n’ai pas osé retourner au restaurant. Mais je pense à cette petite putain à chaque fois que je passe dans la zone.

À vous, je peux le dire : parfois, je m’arrête pour me taper une queue dans le camion, en matant les photos.

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