Vacances : Destination plaisir !

L’été et les premiers départs en vacances, c’est pas pour tout de suite mais on a décidé de vous faire rêver en l’attendant. Priorité aux tenues légères qui dévoilent et mettent en valeur les courbes et pour certaines et certains, embarquement vers des destinations plaisirs où la priorité sera donnée aux aventures sexuelles. Sexe en extérieur, en intérieur, en club, sur un parking, une plage, un bois… L’été est la période bénie de toutes les audaces, celle des nouvelles expériences, des nouvelles découvertes. Et si, pour l’été 2025, vous vous disiez : on ose tout ! Vraiment ? Alors suivez le guide et bienvenu(e)s sur la route de vos vacances coquines…

59% des Françaises et Français affirment faire plus souvent l’amour, l’été. Cela monte à 65% chez les jeunes couples. Près de 10% d’entre eux désertent leurs lits pour des ébats en extérieur (forêt, champs, plage…). Ils sont 55% à profiter de la saison estivale pour réaliser de nouveaux fantasmes. Cette envie de se lâcher est partagée aussi bien par les femmes que par les hommes. Il y a celles et ceux qui rêvent d’un plan à trois, de découvrir le milieu libertin, de vivre une aventure d’un soir avec la voisine de camping, le maître-nageur, la prof de gym, de se dévoiler devant un voyeur, de goûter à l’autre sexe… Il y a aussi l’excitation de sortir sans culotte ni soutien-gorge, de provoquer, de séduire. Bref, l’été, c’est bien la saison d’une quête de nouveautés en matière de sexualité. Aussi, laissez-vous tenter par notre programme de fesses-tivités 2025.

Une petite halte en camping libertin 

Le Ran du Chabrier (30), le Diamant Noir (24), la Roseraie (03), Terre de Soleil (34)… Les campings libertins et naturistes séduisent de plus en plus de couples qui privilégient les ambiances plus intimistes, conviviales et chaleureuses que celles des grands centres libertins comme le Cap d’Agde ou d’autres plages du Sud de la France. Cela fait trois ans par exemple que Molib30, un couple du Gard, passe régulièrement quelques jours au Ran du Chabrier : « C’est un lieu très agréable et reposant, en pleine nature au bord d’une rivière. Dans le camping, au restaurant, au terrain de pétanque, la convivialité est de mise. Mais en dehors, c’est très coquin. » 

Dans ce cadre idyllique et naturiste, le libertinage n’est pas autorisé au bord de la rivière, ni à la vue de tout le monde dans le camping : « Mais il y a des petits coins plus discrets qui servent de cadre aux exhibitions plus ou moins soft, et même parfois assez hard, ainsi que la grotte au fond du camping, où là, on peut s’en donner à cœur-joie et vivre tous nos fantasmes. Et enfin, la partie discothèque avec ses coins câlins. » Le Ran du Chabrier, tout comme les autres campings cités en introduction, est fréquenté par de vrais libertins qui aiment s’amuser et coquiner à tous moments du jour ou de la nuit.

Le fantasme du routier

Aux sorties des grandes villes – Paris, Lyon, Bordeaux, Marseille… – quasiment toutes les aires d’autoroute sont le théâtre, dès la tombée de la nuit, de jeux érotiques les plus divers et pour toutes les sexualités : aire de Vergeze dans le Gard, aire de Nîmes Costières, celles des Bossioux (17), de Retjons (40), Bandol (83), le Belvédère de la Citée à Carcassonne, aire du Gô (12), Pomméniac (35), Sainte-Appoline (28)…

En dehors de la drague gay, le scénario est souvent identique : une voiture garée un peu à l’écart, des phares qui restent allumés et un couple à l’intérieur. Ensuite, c’est selon les désirs de Madame : soit une simple exhibition, soit des relations un peu plus poussées avec les voyeurs. Mélodie, la cinquantaine, connaît bien les aires de repos entre Orange et Montpellier, surtout celle de Lamanon près de Salon-de-Provence et celle de Caissargues entre Nîmes et Arles, célèbre (en dehors des exhibes de Mélodie) pour ses vestiges romains : « Pour moi, ce sont toujours des situations très excitantes. Je pars vers l’inconnu, je ne sais jamais qui je vais rencontrer et combien ils seront. »

Son grand plaisir, justement, est d’abord de se dévoiler impudiquement : « Les routiers intéressés ou les voyeurs nous repèrent très vite. Je m’exhibe devant eux, j’aime les voir en train de se masturber, excités par le spectacle que je leur offre. » Parfois, Mélodie ne se contente pas de seules exhibitions. Emportée par la situation, il lui arrive d’attirer les voyeurs vers une zone plus discrète, un banc, une petite rangée d’arbres ou tout simplement, derrière une voiture : « Là, je peux les prendre dans ma bouche et même les laisser me pénétrer. Je suis dans un tel état qu’il me faut peu de temps pour jouir de leurs caresses. »

Les petits plaisirs de l’exhibe : n’oublions pas les plages coquines ! 

La France offre une grande variété de plages, que ce soit en bord de mer, de lac ou de rivière, de l’extrémité Nord jusqu’au Sud-Est. Un grand nombre d’entre elles donne la possibilité de pratiquer le naturisme, mais ce n’est pas toujours la seule motivation de ses occupant(e)s. Bien sûr, l’été, ce sont celles de la méditerranée qui ont la côte, ainsi que les quelques lacs de la région PACA, comme celui de Sainte-Croix (04-83), Esparron (04), Serre-Ponçon (05), Saint-Cassien (83) et bien d’autres encore qui ont aussi leurs petits coins coquins. Il ne faut cependant pas négliger les quelques plages situées sur les bords de l’Ardèche, de la Durance, ou encore l’île très réputée de la Barthellase sur le Rhône dans le secteur d’Avignon. Là où quelques couples bronzent nus, ils risquent toujours de se passer quelques chose…

La Grande Bleue possède, elle-aussi, ses lieux de dragues et d’exhibes. Même s’il est impossible de toutes les nommer ici, nous ne pouvons omettre la plage du Layet et des Vieux Salins tout comme l’île du Levant dans le Var, la Batterie (06), Piémanson (13), Pissevaches (11), Toreilles (66) … Enfin, en dehors du Cap d’Agde et de sa Baie des Cochons, la plage de l’Espiguette au Grau-du-Roi (30) reste l’un des haut-lieu de la drague et des rencontres entre femmes exhibitionnistes et voyeurs. C’est d’ailleurs sur cette plage qu’OIlival26 se rend régulièrement avec son mari : « Il y a le sable chaud, le soleil, la mer, mais surtout, c’est un lieu très connu des voyeurs. Pour de l’exhibe et plus, c’est la certitude de faire de belles rencontres. »

Habitant la Drôme, Olival peut s’y rendre régulièrement : « La première fois que nous avons découvert l’Espiguette, après un peu de bronzette, nous sommes allés dans les dunes avec mon mari. On savait très bien qu’on serait suivis. Pendant que je le suçais, un voyeur s’est approché de nous et un second est resté un peu plus en retrait. » Le voyeur était à son goût et Olival n’a pas tardé à se retrouver avec un sexe dans chaque main pour les faire passer tour à tour dans sa bouche : « Le troisième homme, plus loin, a continué de se masturber en nous regardant. Pendant que je me faisais caresser tout le corps je me suis appliquée à bien faire jouir mon mari et son acolyte. » 

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