Merci docteur !
16 décembre 2020Murielle, 45 ans, très excitée durant sa grossesse se rend chez le gynécologue qui va lui faire un contrôle de routine un peu particulier…
Ayant découvert interstron.ru depuis peu de temps, nous sommes devenus de fidèles lecteurs. Les histoires de sexe et les témoignages nous plaisent beaucoup. J’ai aujourd’hui envie de vous raconter une aventure que j’ai vécue il y a une quinzaine d’années.
J’étais enceinte d’environ quatre mois et notre vie sexuelle était très épanouie. Était-ce ma grossesse, mais nos rapports étaient plus intenses et j’étais très chaude, toujours en demande. Ce jour-là , j’avais une visite de contrôle chez le gynécologue. Le ciel était bleu et il faisait chaud. J’étais vêtue très légèrement. Je portais un soutien-gorge transparent qui relevait bien ma poitrine gonflée et laissait deviner mes larges tétons, ainsi qu’une culotte de dentelle blanche sur ma petite toison noire. Enfin, j’avais opté pour une robe courte et légère.
Arrivée en salle d’attente, je me suis installée avec un magazine juste en face d’une dame. Celle-ci m’a informée que ce n’était pas le médecin habituel qui nous recevait ce jour-là . J’ai été prise d’une violente envie d’uriner. Je suis allée aux toilettes et j’ai pissé avec un grand soulagement, comme toujours depuis le début de ma grossesse. Quand je suis retournée dans la salle d’attente, je me suis assise, jambes croisées. Ma jupe s’est relevée découvrant le haut de mes cuisses.
Lorsque le nouveau médecin est venu chercher l’autre patiente, son regard s’est attardé longuement sur mes jambes. J’en étais à la fois troublée et choquée. Mon tour est arrivé très vite, mais j’avais déjà eu le temps de fantasmer. Il m’a invitée à m’asseoir en face de lui. Il me regardait tout en consultant mon dossier. Ensuite, il m’a demandé de me déshabiller et de m’installer sur la table. Ses yeux ne quittaient pas mes seins. Ils étaient très beaux, tendus, fermes et ronds, les pointes en avant. J’en étais fière. Il a avancé une main et a attrapé un téton qu’il a tiré doucement. J’ai laissé échapper un gémissement, ma chatte s’est mise à mouiller.
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Il continuait de torturer tendrement mes pointes dressées. J’étais confuse et folle d’excitation. Muette de stupéfaction, j’ai laissé mon gynécologue me pincer les seins encore un peu. Je chauffais tellement que j’ondulais du bassin, comme s’il était en moi. J’ai placé mes pieds dans les étriers et j’ai rapproché mes fesses tout au bord de la table. Il est passé entre mes jambes et, après avoir enfilé un gant, il m’a introduit deux doigts dans la minette. Elle était d’une chaleur volcanique et surtout, d’une humidité qui ne laissait aucun doute sur mon état. Il gardait le pouce collé à mon clitoris et je sentais ce dernier grossir.
J’étais dans un état second, incapable de me contrôler pendant qu’il faisait jouer doucement ses doigts en moi. Je transpirais, et le plaisir commençait à monter dans mon ventre. Il a retiré ses doigts, son gant était plein de mouille. J’avais un peu honte. Après m’avoir dit que mon col était bien fermé, il m’a confirmé qu’on pouvait faire une échographie vaginale. Il a allumé l’échographie et a sorti un appareil de son habitacle. Celui-ci était de taille moyenne, seule la tête ressemblait à un gros champignon. Je fantasmais en pensant à cet engin qui allait fouiller ma grotte. J’ai essayé de me calmer et de retrouver une attitude normale.
Il a enduit la sonde de gel et l’a présentée à l’entrée de mon vagin. Il a écarté mes lèvres d’une main et enfoncé l’objet de l’autre. J’ai eu un léger frémissement. Par petits mouvements délicats, il faisait entrer l’engin en moi avec une grande douceur. Il m’a montré l’enfant sur l’écran et il a continué à faire bouger l’instrument en prétextant qu’il voulait voir la position du bébé. J’avais des bouffées de chaleur. Soudain, il a mis la sonde en position haute, comprimant mon clitoris et ouvrant mon sexe béant. Ca a été le déclenchement du plaisir.
J’ai poussé mon bassin en avant. Il a arrêté de bouger, me laissant m’empaler sur l’objet. J’ai fermé les yeux et pincé les lèvres, mais j’avais du mal à contenir mes gémissements, j’avais envie de crier. Mes pieds ont quitté les étriers, et j’ai replié les jambes contre mon ventre. Il a retiré très doucement l’objet, mon sexe était ouvert, ma mouille trempait mon petit trou. J’ai pris mon clitoris et je l’ai branlé très fort. J’ai joui une deuxième fois, toujours les yeux fermés. Quand j’ai de nouveau regardé le médecin, il était toujours debout face à moi, un large sourire aux lèvres. En descendant de la table j’avais les jambes en coton. Toute honte envolée, je ne ressentais pas le besoin de m’excuser, mais j’avais envie de le remercier. Le soir à la maison, j’ai raconté cette aventure à mon homme qui, fou d’excitation, a voulu jouer le rôle du docteur.