Dérapage en forêt
19 février 2021Une séance photo en foret pour Valérie, 36 ans dérape et finit en partie de baise dans les bois.
Je m’appelle Valérie, j’ai 36 ans et voici mon histoire de sexe.
Je pensais que j’avais fait une belle erreur quand Tommy, le voisin de mes parents chez lesquels j’avais prévu de passer quelques jours, m’avait proposée une sortie « photo » en forêt. J’ai trouvé cela hyper chiant de prime abord, mais après avoir vu quelques clichés de ses paysages sur son téléphone, je me suis dit que cela serait toujours mieux que de rester enfermée chez mes vieux. Je ne connaissais pas très bien Tommy, il avait emménagé en face de ma maison d’enfance il y a 10 ans, et s’était imposé comme un des meilleurs boulanger-pâtissier de la région, en plus d’être un as de l’appareil photo !
Combiner autant de talents en un seul homme m’a tout de suite intriguée et sur le chemin je lui posais plein de questions sur lui et sur son parcours. Il faut dire qu’en comparaison, comme j’ai arrêté les études après le baccalauréat et que ma vie se gagnait à coup de missions de garde d’enfants pour différents couples, je me sentais un peu gauche. Il m’a susurrée dans l’oreille : « Dis donc toi, tu es bien curieuse pour une fille ! Normalement, ce sont elles qui bavardent et qui adorent parler d’elles… »
Je lui ai répondu avec un naturel presque innocent « C’est parce que tu m’intéresses ». En fait, je ne le disais pas avec une intention sexuelle, je le pensais réellement. Mais Tommy a cru que je lui faisais des avances et il m’a embrassée. Je me suis laissée faire comme une gentille petite poupée ! C’était très agréable et quelque part, j’étais plutôt flattée qu’il me trouve aussi digne d’intérêt. Sa langue se mêla rapidement à la mienne, il me montrait qu’il savait y faire en matière de femmes, il avait certainement plus d’expérience que moi.
Il avait amené une serviette de plage avec lui pour pouvoir se poser à terre et l’a étendue avec fierté au sol, comme si nous étions à la mer.
« Couche-toi par ici ma belle, j’ai très envie de découvrir ton corps. Je ne te l’ai pas dit, mais je préfère mille fois prendre en photo les courbes féminines que les collines des champs. J’ai dû immortaliser une bonne vingtaine de corps de jeunes femmes, mais je ne montre les photos à personne, je suis bien trop pudique. » Voilà qu’il m’annonçait maintenant qu’il avait l’habitude de voir des super mannequins à poil toute la journée ! C’était bien ma veine. Qu’allait-il penser de mon ventre rond et des mes cuisses flasques ?
J’ai essayé de ne pas trop songer au regard de Tommy sur mon corps alors que celui-ci retirait délicatement mon tee-shirt.
« Tes seins sont superbes ! » s’est-il écrié comme s’il avait découvert un trésor. « Ils sont si ronds, si lisses ! Ils sont naturels ? » Sa question m’a presque vexée ! Bien sûr que mes seins étaient naturels, j’ai toujours trouvé les opérations de chirurgie esthétique vulgaires et absurdes. En particulier, les seins sont indispensables pour mon plaisir sexuel, j’aurais beaucoup trop peur qu’une opération malheureuse ne les insensibilise à jamais ! Pour lui faire comprendre que sa question était complètement déplacée, je l’ai foudroyé du regard avec insistance. « C’est bon, c’est bon, je rigole… » s’est-il excusé gentiment avant de baisser mon jean. Et c’est là que j’ai failli repartir en courant, rouge de honte ! J’avais mis ma petite culotte rose de quand j’étais gamine. Je partais souvent avec peu de vêtements chez mes parents et je piochais de temps à autre dans les vieilleries que j’avais laissées chez eux. Cette petite culotte en faisait partie. Ça n’a pas eu l’air de gêner Tommy qui s’est mis à la caresser tendrement du bout des doigts, comme si le tissu rêche et la couleur passée – dû aux nombreux passages à la machine à laver – méritaient d’être sublimés par son regard et par la douceur de ses doigts.
N’y tenant plus, j’ai fait voler le jean et la culotte d’un seul coup sec en criant « tadaaaa » très fort, comme lors d’un numéro de magie. Tommy m’a regardée comme si j’étais une cinglée sortie tout juste de son asile de fou et quelque part il n’avait pas tort. Cette petite culotte hideuse me mettait vraiment dans des états pathétiques. Quand Tommy a vu ma petite fente toute fine et entièrement épilée, son visage s’est soudainement radouci. J’avais même l’impression qu’il était face à un petit chaton, le regard totalement attendri. « Je peux venir te lécher ? Avec mes modèles, j’ai l’habitude de juste me contenter de contempler leur joli corps, mais toi, tu vois, tu m’aimantes. Il faut que je te goûte, que je sache de quels parfums tu es faite ! »
J’ai fait mine d’hésiter quelques secondes – les mecs, il ne faut pas tout leur donner d’un coup ! – puis j’ai hoché la tête en signe d’acquiescement. Tommy s’est baissé entre mes jambes et a sorti sa petite langue hors de ses lèvres. Il n’osait pas encore toucher ma vulve et est resté un temps incroyable, le visage bloqué à quelques centimètres de mon sexe. Peut-être était-il réellement en train de sentir toutes les effluves de ma chatte ? Peut-être avait-il repéré une forme inhabituelle dans mon désordre de pli et cela le laissait-il perplexe ? Mais non, il s’élança d’un coup, à l’image d’un plongeur qui a besoin de quelques minutes de réflexion sur la planche haute de 5 mètres avant de se lancer tête la première dans le grand bain.
Tommy me dévorait avec l’avidité des grands affamés de guerre, de ceux qui avaient connu la famine. Il faisait en sorte de tout lécher, les petites et grandes lèvres, le clito, les chairs entremêlées… Il donnait des joyeux coups de langue à l’emporte-pièce, quelle que soit la zone sur laquelle sa langue allait s’écraser. Honnêtement, c’était assez musclé comme préliminaire et j’ai décidé de m’occuper de sa teub pour faire diversion et laisser quelques minutes de répits à ma chatte en feu.
Tommy portait un caleçon jaune un peu ridicule, et je me suis tout de suite sentie beaucoup moins coupable de ma petite culotte. Manifestement, ni l’un ni l’autre, n’avions prévu de nous retrouver à poil en pleine nature, ce qui ajoutait au charme du moment. Une belle bosse déformait le tissu et je me suis dépêchée d’en extraire l’objet incriminé. Tommy était pourvu d’une belle bite bien épaisse comme je n’en avais rarement vu dans ma vie ! Il l’avait épilée, lui aussi, je ne sais pas pour quel motif. Je trouve toujours dommage que les garçons ne laissent pas la liberté à leurs poils de pousser à leur guise sur leur pubis. Cela ajoute indéniablement à leur virilité, en particulier quand ils sont aussi jeunes que Tommy ! J’ai commencé à le branler doucement à la base, mais très vite, j’ai eu envie de le sucer ! Je me suis penchée délicatement au-dessus de lui, la langue pendante.
« Oh oui, viens la prendre en bouche, elle n’attend que toi ! Montre-moi ce que tu sais faire avec tes lèvres et la langue ! » Les propos obscènes de Tommy, que j’aurais certainement trouvé dégoutants dans un tout autre contexte, m’excitaient agréablement.
Je ne voulais pas la prendre toute entière en bouche, enfin, pas au début en tout cas, alors j’ai doucement passé ma langue sur le bout de son gland. Une petite perle de foutre luisait timidement à la pointe de son méat, et je l’ai avalée en une lampée. Beurk ! C’était assez dégueulasse, non seulement bien salé, mais j’y devinais aussi un petit relent d’urine. Décidément, il faut vraiment que quelqu’un se décide à enseigner des conseils d’hygiène rudimentaire aux garçons ! Ce n’est pas la première fois que ce genre de « liquide douteux » traîne sur le sexe d’une de mes conquêtes. J’en ai même eu un, une fois, qui avait un dépôt blanchâtre, comme du fromage de chèvre dans l’idée, tout en dessous du gland. Je lui ai dit d’aller se laver aussi sec et j’ai profité du moment où il était sous la douche pour prendre la poudre d’escampette ! Pas question d’entamer une quelconque relation avec un homme à l’hygiène douteuse. C’est un coup à choper des mycoses et à ne plus pouvoir s’en débarrasser, vraiment, non merci !
En examinant plus en profondeur la bite de Tommy, celle-ci avait tout de même l’air globalement propre et donc il ne méritait pas le même traitement. En particulier, ses couilles sentaient les friandises de fête foraine, un subtil mélange entre la guimauve et la barbe à papa. Je ne sais pas s’il leur avait mis une crème bizarre pour les hydrater – j’avais un ex’ qui le faisait – mais en tout cas, ce n’était certainement pas son odeur naturelle !
J’ai décidé de le sucer comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge. Ma bouche était en forme d’« O » et je faisais doucement glisser son chibre sur mes lèvres.
Ça me faisait saliver, et je laissais la bave couler le long de ma joue. J’ai pensé que ça l’exciterait un peu plus. Pour son confort visuel, je suis même allée jusqu’à soulever mon tee-shirt au-dessus de mes seins pour dévoiler les deux petits tétons qu’il aimait tant. Il répondait à chacune de mes initiatives par des « Mmmpff, Mmmpff » discrets, mais relativement audibles pour que je puisse les entendre. Je pense que lui comme moi ne souhaitions pas être découverts dans nos plaisirs immédiats. Il en allait de notre réputation respective, dans les petites villes, les rumeurs courent très vite et sont aussi souvent déformées. Pour se donner plus de contenance, Tommy a passé ses mains sur ses fesses et a lancé son bassin bien en avant. De cette façon, il fallait que j’avale sa bite encore un peu plus loin, pour qu’elle titille mes amygdales. C’était assez difficile car je n’étais pas du tout habituée à un tel gabarit !
Plus que la longueur, c’était la largeur qui m’écartelait la mâchoire. J’aurai dû me préparer avant de recevoir un tel engin, subir un entraînement de haut niveau avec mastication de chewing-gum intensive, et avalage quotidien de pomme. À ce rythme, demain j’aurai tellement de courbature que je ne pourrais plus du tout sourire. Il fallait que je me ménage !
J’ai arrêté ma fellation d’un coup sec et je me suis allongée sur le dos, feignant de contempler le ciel. Il faut dire que nous avions un temps particulièrement magnifique. Seuls quelques nuages masquaient l’éclatant soleil. Tommy m’a demandée d’écarter mes cuisses et je lui ai obéis, bien sagement. Il a sucé deux de ses doigts devant moi, pour bien me montrer qu’il y mettait toute sa bave, il a ensuite enfoncé ses deux doigts bien profondément en moi. C’était extrêmement bon. Il y allait très doucement, avec une dextérité tout à fait étonnante, ma chatte s’éveillait tout doucement sous le coup de cette caresse sensuelle.
Je restais appuyée sur mes coudes pour pouvoir observer la scène. Voir les doigts de Tommy disparaître en moi avait quelque chose d’envoûtant, comme si j’étais une bouche béante. Une espèce de monstre prêt à tout engloutir. Doigts, bites, mains, sperme. Remplissez-moi de tout ce que vous souhaitez et je vous avalerai tout entier.
Comme s’il avait entendu mes paroles, Tommy a retiré ses doigts et a commencé à préparer son sexe. Je dis bien « préparer » parce qu’il a mis dessus une quantité de salive tout à fait impressionnante, qu’il a bien fait glisser de son gland à ses couilles. Il fallait que toute sa tige soit recouverte de toute cette pâte bien blanchâtre. Une fois qu’il fut satisfait du résultat, il a avancé mon bassin et s’est penché au-dessus de moi. « Tu es prête ? J’ai tellement envie de toi, je vais te pénétrer avec force, et par avance, j’en suis désolé. Mais tu m’excites tellement. Tout m’excite en toi, tes seins, ton ventre, ta petite chatte parfaite… Comment faire pour te résister ? Comment faire pour retenir mes ardeurs ? »
Dis donc, c’est la première fois que j’entendais un discours aussi construit dans la bouche d’un garçon. Il faut dire que Tommy me semblait aussi beaucoup plus talentueux que la plupart des hommes. Et joignant les actes à la parole, il a enfoncé son gros chibre au fond des mes entrailles. Fidèle à ce qu’il m’avait annoncée, il ne m’a pas ménagée. Ses coups étaient secs et précis. Il savait ce qu’il voulait et comment il le voulait.
J’ai tiré la langue, comme pour lui faire comprendre que cela me demandait beaucoup d’efforts. Pensez-vous que l’animal a freiné sa diabolique cadence ? Pas du tout ! Il a mordu ma langue du bout de ses dents, puis a appuyé ses lèvres contre les miennes, m’empêchant à jamais de communiquer. J’étais prise au piège de l’emprise brûlante et passionnée de Tommy. Je subissais ses à-coups dans le silence, et dans un mélange de douleur et de plaisir. Au bout d’un moment, je trouvais ça tout de même beaucoup trop fort. Je l’ai gentiment repoussé et je me suis mise à quatre pattes, la croupe bien en arrière. Je me suis dit que de cette façon, j’aurai plus de latitude pour m’enfuir si la pénétration devenait trop brutale.
Il posa ses mains sur mes hanches et remis un petit coup de salive sur sa queue, on n’est jamais trop prudent. « Penses-tu vraiment m’échapper en te mettant en levrette ? » me demanda-t-il, sûr de lui, comme s’il avait lu dans mes pensées. J’ai esquissé un sourire innocent, comme pour lui faire comprendre que je ne saisissais pas le sens de ses propos. En vrai, il avait vu clair dans mon petit jeu. J’ai senti son braquemart se coller à ma vulve et à chercher frénétiquement le trou qui devait le mener à mille plaisirs. Au bout de quelques secondes de glissade, il s’est enfoncé en moi ! Bingo !
Tommy continua le rythme effréné qu’il avait entrepris un peu plus tôt. J’avais l’impression d’avoir un marteau-piqueur collé à l’arrière. J’essayais de me concentrer sur des images calmes et apaisantes. Un coucher de soleil, une plage paradisiaque, le chant des oiseaux, j’appliquais cette technique dans les grands moments de stress, quand j’étais chez le dentiste ou dans l’attente de résultats d’examen. Elle se révélait souvent efficace, mais là, force était de constater que rien ne pouvait distraire mon esprit des coups de boutoir de Tommy !
Gentleman, il passa une main sous ma croupe pour caresser mon clitoris. Il s’y prenait vraiment bien et n’appuyait pas trop fort. Au final, cette pénétration avait beaucoup de bon. De son autre main, il entreprit de titiller mon trou du cul. Oh ! Ça allait trop loin, il fallait que je calme le jeu au plus vite !
Je lui ai demandé de s’allonger sur le dos, « Tu pourras mieux profiter du ciel magnifique » ai-je même ajouté, comme s’il en avait quelque chose à faire. Je suis venue m’empaler sur lui très calmement. Maintenant, c’était moi la chef, c’était à moi de contrôler le rythme de la pénétration. Je me cramponnais comme je pouvais au torse de Tommy et à ses cuisses. La vache, elle rentrait encore sacrément loin sa petite anguille. Cette position était un vrai numéro d’équilibriste. Mes pieds transpiraient et glissaient sur la serviette… Et pourtant, je tenais bon.
Petit à petit, mes cuisses ont commencé à trouver le bon rythme, une cadence de croisière, plutôt agréable. Tommy me soutenait par la taille pour m’éviter de jouer au « culbuto » sur sa bite. De cette façon, emprisonnée entre ses mains musclées, je me sentais beaucoup plus légère, presque transportée par mon propre plaisir. Je profitais de la situation pour contempler avec minutie la peau de ses couilles. On en parle très peu, mais la peau des couilles d’un mec m’a toujours fascinée. Elle est rugueuse, poilue, elle ne ressemble à aucune autre partie du corps, elle est à la fois très fine, comme le lobe de l’oreille, mais en même temps très ridée.
J’ai décidé d’empoigner le tout dans ma main, pour voir ce que cela faisait. Je sentais à travers ses bourses ses deux couilles bien pleines s’agiter comme des maracas. Heureusement que nous en étions complètement dépourvus, nous les filles ! C’était, au-delà d’être totalement inesthétique, presque ridicule. Mais enfin, le corps humain est ainsi fait ! Plutôt que de m’occuper de ses couilles, j’ai décidé d’aller voir de plus près sa bite. Je me suis retirée, accompagnée par un « Ooooooh » de déception de Tommy. Et j’ai commencé doucement à branler sa bite. Je sentais qu’il avait un tout petit frein, alors j’ai évité de trop le décalotter pour ne pas lui faire mal.
Je massais bien sa tige épaisse, sentant dans le creux de ma main tous les petits vaisseaux qui la constituaient. Quelle belle machine tout de même ! Quelle belle invention de la nature cet organe qui peut doubler de volume en quelques secondes, et cela grâce à un levier psychologique. « Montre-moi ton cul ! J’ai besoin de te voir à quatre pattes pour prendre mon pied ». Obéissante, je me suis positionnée sur les genoux et j’entendais les « flop, flop, flop… » de Tommy derrière mon dos. Il était en train de se dégorger le poireau à une vitesse folle.
Je me concentrais attentivement sur chaque parcelle de ma peau, attendant avec impatience les gouttes chaudes de sperme que j’allais sentir. Cela n’a pas tardé ! Tommy s’est déversé sur moi comme un robinet. J’ai remué un peu le cul pour lui faire comprendre que j’appréciais. « Bon maintenant que j’ai bien vu ton corps, est-ce que je peux le photographier ? Tu seras, je te jure, le seul modèle avec laquelle j’aurai baisé… avant la séance ! »
Et lui qui m’avait dit qu’il n’avait rien fait avec ses modèles ! Quel beau parleur ce Tommy tout de même…
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