L’inconnue de la plage

La rédaction 26 décembre 2020

Clarisse, 40 ans, fait de l’exhibitionnisme et du voyeurisme sur une plage pour assouvir ses envies libertines et celles de son mari…

Lectrice de votre magazine depuis très longtemps, je me décide à vous écrire cette petite histoire de sexe qui, je l’espère, retiendra votre attention et émerveillera mon amour qui me dit “salope et chienne”… Ce qui, je l’avoue, est vrai !

Ce que je veux vous conter s’est passé l’an dernier. Pour son travail, mon Amour est reparti vers la capitale pendant trois jours, me laissant seule à Oléron. “Seule” est un bien grand mot car son forfait texto étant sans limite, j’ai vécu pratiquement tout le temps avec le téléphone à la main, même durant mon retour entre Saintes et l’Île. Il voulait savoir ce que je faisais et comment…

L’après-midi du premier jour, il m’a demandé d’aller sur la plage naturiste où nous allons habituellement. À sa requête, je me suis allongée non loin d’un couple et d’un gars seul. S’ils partaient vers la dune, je devais les suivre pour voir ce qu’il se passait… Le type tout seul a été rejoint par un copain, et ils se sont bécotés tranquillement. Puis ils ont bougé.

L’autre couple bronzait sagement, et ils sont eux aussi partis peu après. Restaient à proximité : une bande de soixante-huitards attardés et une femme brune d’une quarantaine d’années mais plus éloignée de moi. Les textos de mon amour étaient précis sur ce que je devais faire alors, comme parfois je suis docile (une bonne petite pute), je me suis soumise à ses volontés.

Allongée sur le ventre, pieds vers la femme qui était assise face au soleil et à moi, j’ai glissé ma main droite sous mon ventre, cuisses entrouvertes. Mes doigts ont effleuré mon bouton bien gonflé, le coquin, et j’ai joué avec mes lèvres moites. Deux minutes à peine plus tard, j’étouffais un cri sur le dessus de ma main, toujours reliée par textos à mon amour.

Aussitôt, il a voulu que je recommence, mais sur le dos et en la fixant. Je ne me sentais pas prête, même si l’idée m’excitait beaucoup. Mais la femme s’est levée et a pris le chemin du parking. Le temps de replier mes propres affaires et elle s’était déjà envolée, à la plus grande déception de mon amour et, je le concède, de moi-même.

Le soir, j’étais en repas d’affaires, mais pendant toute la soirée et même une partie de la nuit, mon amour et moi avons joué à nous figurer toutes les hypothèses et tous les fantasmes possibles par textos interposés. Nous nous sommes chauffés plusieurs fois jusqu’au plaisir avant de nous achever mutuellement lors d’une longue et brûlante conversation nocturne, où j’ai commis la douce erreur de lui confier avoir aimé me branler sur la plage. J’ai même ajouté que si la fille…

Bref, j’ai reçu d’autres textos salaces dès le lendemain matin. Il avait déjà choisi ma tenue pour aller faire les courses, pour déjeuner à la terrasse d’un bar au centre du village, puis pour me rendre à la plage. J’étais chaussée de mules compensées à talons aiguille, en jupe courte avec différents tops laissant apparaître clairement mes formes de quinquagénaire encore attirante. Sans rien dessous, j’ai déambulé sur notre lieu de vacances jusqu’à la plage.

Mais, arrivée là-bas, pas de couple, pas de gars seul ou avec un petit copain, pas de soixante-huitards attardés, rien. Il y avait juste une silhouette allongée sur une serviette. Je l’ai reconnue immédiatement. J’ai pris ça comme un choc en pleine poitrine. Mes jambes ne voulaient plus avancer. Je ressentais une douce émotion dans le bas-ventre. Sur le point de faire marche arrière, j’ai reçu un texto de mon amour qui voulait connaître l’état de la plage.

Le bip du message a fait relever les yeux de la femme qui m’a adressé un sourire désarmant en se tournant sur le ventre. Un rapide “Elle est là !” , et le téléphone a fini au fond de mon sac, sur vibreur. En m’approchant d’elle, je l’ai détaillée comme elle le faisait à mon égard à travers ses lunettes de soleil. Brune, cheveux mi-longs, corps bien dessiné et bronzé sans aucune marque, seins menus avec de larges aréoles et tétons dressés (ou excités), sexe glabre avec un clitoris et des petites lèvres proéminentes, comme je pouvais le constater à présent puisqu’elle s’était tournée sur le côté à mon approche.

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Alors que j’hésitais encore à poser ma serviette près d’elle, elle m’a demandé si j’avais l’heure. Après la lui avoir donnée en regardant mon portable, j’ai constaté que j’avais déjà deux autres messages. Elle m’a invitée à la rejoindre, ce que j’ai fait avec plaisir. Elle m’a complimentée sur ma silhouette pendant que je me débarrassais de ma jupe.

Je lui ai retourné le compliment en envoyant voler le top très échancré que m’avait choisi mon amour pour la plage. Avant de m’allonger à ses côtés, je lui ai fait part de mon envie de me baigner et j’ai pris la direction de l’océan. Elle m’a rapidement rattrapée et m’a lancé au passage que la dernière dans l’eau aurait un gage. Nous avons plongé pratiquement en même temps, mais elle avait juste assez d’avance pour que j’hérite le gage…

Elle s’est avancée vers moi et, dans un sourire troublant, elle a glissé sa main entre mes cuisses. Sans équivoque, comme j’aime. De sa main libre, elle m’a plaquée contre sa poitrine ferme dont les tétons perforaient mes mamelons plus volumineux et plus tendres.

Sa bouche collée à mon oreille me murmurait ce qu’elle m’avait vue faire la veille et le trouble qui avait été le sien en attendant mon arrivée sur la plage. J’étais chauffée au maximum. Je me suis agrippée à ses épaules en jouissant sous ses caresses malicieuses. Elle m’a dévoré la bouche pendant les minutes qui ont suivi, sans cesser pour autant de me fouiller pour me déclencher des orgasmes en série.

De mon côté, j’essayais aussi de ne pas rester les bras ballants… Mais j’avoue que j’ai dû m’y prendre à plusieurs reprises avant de la faire craquer… La faute à mes orgasmes à répétition ! J’avais du mal à me concentrer.

J’ai fini par plaquer son dos contre moi pour pouvoir la caresser comme je l’aurais fait sur moi-même. J’ai posé une main sur son bouton que j’ai énervé très fort en tournant dessus. J’ai pincé ses tétons en même temps. Très rapidement, elle a commencé à geindre, puis à crier, à se tordre de plaisir. Elle a presque failli en boire la tasse.

Une vague nous a séparées. Essoufflées, nous avons fini par échouer sur nos serviettes. Toutes les deux sur le ventre, nous avons repris nos jeux de la veille. Ensuite, j’ai pu répondre aux innombrables textos de mon amour par un laconique : “Trop occupéES, t’expliquerai plus tard !!!” Soumise, j’ai laissé la brune écraser son buste aux tétons toujours durs dans mon dos et me mordiller le cou pendant que mes mains s’affairaient sur nos deux clitoris bien gonflés.

Les vibrations de son corps m’ont annoncé son plaisir proche. Son souffle haletant et ses gémissements ont eu raison de ma résistance. Son orgasme et la morsure de ses dents sur mon épaule ont accompagné ma violente jouissance. Quelques baisers langoureux plus tard, elle m’a abandonnée sur le sable, encore ivre de bonheur. Je ne savais rien d’elle, mais telle une météorite qui traverse l’espace, elle avait partagé mon orgasme.

Il m’a fallu de longs textos et plusieurs appels sulfureux pour tout expliquer à mon amour qui, dès son retour le lendemain après-midi, a absolument voulu se rendre sur la plage. Il souhaitait voir la brune, mais elle n’était plus là. Nous ne l’avons plus revue de tout notre séjour.

Depuis ce jour, elle occupe un certain nombre de nos fantasmes en privé, en club ou en solitaire… Vous comprenez mieux pourquoi je suis impatiente de mettre en pratique l’idée de mon amour qui, cette fois-ci, ne sera pas loin et partagera cette belle expérience.

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