Massage pas sage
18 septembre 2023Sofia a fait la connaissance d’un kinésithérapeute un peu particulier, doué de ses mains, il est doté de bien d’autres talents, un corps de rêve, une grosse queue, une endurance hors norme et une bonne dose de savoir-faire. Alors pourquoi ne pas en faire profiter Léa et Minh, ses amies de soirées libertines, toutes aussi gourmandes qu’elle de plaisirs charnels
En arrivant à mon rendez-vous, j’ai demandé à mes complices de se cacher dans les cabines de déshabillage pour qu’elles nous rejoignent avec mon thérapeute et amant, Michak. En tenue d’Eve, j’ai retrouvé ce dernier en peignoir à demi fermé. Il m’a installée sur les serviettes chaudes avant d’oindre ma peau d’huile parfumée.
J’adore ce moment de bascule entre ce bien-être total et la tension sexuelle qui monte en flèche, je sentais mon sexe qui se contractait là-bas, entre mes cuisses et mon taux d’humidité augmentait de façon exponentielle. Michak, tout proche, venait d’ouvrir son peignoir. Les yeux fermés, j’ai cherché quelques instants dans le vide avant de trouver une queue dure au gland déjà décalotté.
Tandis que des mains légères me massaient, j’ai saisi la hampe puissante et l’ai caressée, redécouvrant les lignes racées de ce pénis décidément si séduisant.
Entièrement épilé, effleuré la peau fine des bourses me fait toujours frémir, les couilles étaient hautes et bien fermes dans leur scrotum lisse, la bite, quant à elle, campait fièrement, attendant mes caresses et ne se doutant pas du trio qu’elle allait devoir honorer sous peu !
C’est l’instant que choisirent Léa et Minh pour faire leur entrée.
La belle asiatique et la diaphane à la crinière blond vénitien étaient aussi complémentaires que belles à couper le souffle. Je les avais rencontrées dans un club libertin huppé et leur appétit pour le féminin comme pour le masculin m’avait donné l’idée de cette petite séance de “soins”. Michak m’a lancé un regard coquin avec un clin d’œil complice, loin d’être surpris de cette apparition divine, car il me sait aussi bien portée sur le beau sexe que sur les mâles bien montés.
Le duo de charme s’est avancé jusqu’à la table de massage et un ballet à quatre mains s’est mis en branle. Les deux belles, entièrement nues, se caressaient devant nous avec de l’huile parfumée.
Je me suis retournée vers Michak, il savait que j’étais affamée, mes pipes sont ravageuses. Pratiquant le yoga, je n’ai eu aucun mal à me mettre en position de Chakrasana, comme un petit pont renversé, la tête en arrière. Bien qu’acrobatique, cette posture permet le libre accès à mes seins et à mon sexe pour l’homme que je m’apprêtais à sucer, tout en facilitant la pratique de la gorge profonde dont je suis une fervente adepte… au plus grand bonheur de mes amants, du reste.
Minh s’occupa de mon minou tandis que Léa se concentra sur ma poitrine huileuse tout en matant assidûment la fellation en cours. Cela l’excite toujours au plus haut point d’être voyeuse, bien que l’on confère ce vice aux hommes, elle raffole de regarder l’acte sexuel, encore plus lorsqu’il se déroule en direct sous ses yeux.
Le pieu se frayait un chemin dans ma bouche disloquée, je salivais beaucoup, ma gorge s’était transformée en vagin que Michak baisait avec force et sans trop de ménagement. J’adore être le jouet de ce genre de traitement ! Minh est venue me mettre ses doigts sous le nez, ils étaient luisants de ma mouille épaisse et parfumée, j’ai redoublé d’efforts dans mon rôle d’avaleuse de sabres.
La belle Vietnamienne n’a pas pu s’empêcher d’admirer la scène et de porter une main en aumônière pour venir soupeser le paquet bien garni de Michak qui dévorait des yeux les petits seins pointus de Léa, penchée en avant, pour se repaître encore de cette pipe ravageuse.
La hampe s’est dégagée enfin de ma gorge et j’ai recouvré l’usage de la parole, j’ai rapidement fait les présentations et les caresses croisées ont repris immédiatement leurs droits. Léa est venue, en serpentant sur la serviette, nicher son doux visage devant mon con humide, laissant la primeur de la queue de Michak à notre complice asiatique en tendant tout de même son joli cul en dehors de la table en forme d’appel à toute pénétration qui se présenterait.
Les étreintes croisées pouvaient enfin commencer, la température avait subitement augmenté dans la pièce, pour preuves les pommettes rosissante de mes amies et de moi-même. Nous semblions vouloir aussi bien en découdre entre nous qu’avec notre mâle alpha puissant et charismatique.
Crescendo, mes gémissements ont couvert les murmures qui envahissaient la pièce, Léa était une experte en cunnilingus et sa langue, en effet, s’affairait avec virtuosité sur ma fente qui gonflait encore sous l’action combinée de ses mouvements de balancier et ceux de ses doigts, crochetés au fond de mon gouffre inondé. Bien décidée à ne pas lâcher sa proie avant que je n’aie succombé à mon premier orgasme, elle s’est concentrée sur les microréactions de mon corps qui la guidaient sans même en avoir conscience.
Elle fut perturbée quelques instants car Minh, après avoir sucé Michak avec toute la sensualité de l’orient, glissait doucement le gland brillant dans le puits serré de son vagin. La pénétration fut lente et plaisamment interminable, mon kiné ne voulait pas faire avorter la léchouille en cours, il prit donc un rythme très nonchalant pour baiser ce con étroit et délicieusement velouté. Minh, toujours attentionnée, continua ses caresses sur ses couilles ainsi que ses fesses musclées.
Un cri retentit, sauvage et incisif, suivi de petits jappements et d’une grande aspiration, je venais de jouir. Léa se releva, toute barbouillée de ma cyprine, Minh s’empressa de m’embrasser à pleine bouche avant de s’asseoir enfin et d’octroyer sa chatte ciselée aux bons soins de Michak qui s’agenouilla afin de goûter ce calice aux fragrances tonkinoises.
Sa chagoune a une saveur de miel et d’épices barbares, le seul homme présent s’est régalé en fondant ses lèvres dans ce creuset exotique alors que Léa, décidément insatiable, réitérait sa gourmandise sur le chemin de mes nymphes.
La tête posée sur la cuisse de Minh, j’ai pu, à mon tour, caresser la peau dorée de la sensuelle Indochinoise, ses seins fermes et son visage d’ange tout en m’offrant à elle dans le même temps. Avant qu’elle ne puisse se redresser, Michak l’a tirée au bord de la table afin que son petit cul affleure et qu’il puisse la prendre. Convaincu qu’il allait devoir y aller en douceur, il a été estomaqué par la souplesse de la belle, son pénis s’est frayé un chemin jusqu’au plus profond du vagin tout à la fois fuseau serré et gangue aux capacités d’adaptabilité incroyables.
Il l’a baisée donc franchement, lui assénant de grands coups de reins, ébranlant leur couche fragile et arrachant un orgasme tout en retenue à la liane asiatique qui ondulait sous ses assauts répétés.
Constamment au garde-à-vous et bloquant son éjaculation, je l’ai appelé à moi, je voulais de nouveau sucer la seule queue à disposition, recouverte, en l’occurrence, des sucs intimes de Minh.
Léa, elle, alla goûter le con ainsi libéré, profitant de la sapidité riche et délicieuse de ce calice toujours échauffé par les impulsions de lime priapique.
Le mélange des corps devint flou alors, chacun ayant envie de tous les appâts des tiers, Yin, Yang, masculin, féminin, le festin était roboratif et les appétits encore aiguisés.Michak, malin, entrecoupait ses saillis par des jeux de langues qui lui permettait de reprendre quelque peu son souffle, c’est ainsi qu’il retourna, à son tour, lécher la chatte si convoitée de Minh tandis que Léa et moi venions l’abreuver de doux baisers, tantôt tendres, tantôt plus langoureux et profonds.
Il fut chassé par Léa qui, décidément, devait trouver son compte à dévorer le fruit juteux qui gorgeait sa bouche d’une ambroisie abondante et sucrée.
J’étais disposée à l’accueillir de nouveau entre mes lèvres, à quatre pattes sur la table, je lui ai offert une fellation en lui faisant comprendre que ses doigts étaient les bienvenus au fond de ma fente baveuse. La main bien à plat sur mes fesses rebondies, comment aurait-il pu ne pas se laisser aller à explorer tous mes orifices fripons ?Il commença par le classique, fouillant avec onctuosité mes méandres spongieux avant de remonter lentement et, les phalanges ainsi lubrifiées, de dilater timidement mon anneau serré, couronne rose qui l’accepta avec une facilité déconcertante.
Les bruits de succion se mélangeaient aux gémissements et aux grognements des amants entremêlés, bientôt rejoints par les chocs secs d’une levrette claquée, bien humide, elle. Je me suis mise en appui sur mes coudes, m’offrant bien ouverte aux coups de boutoir d’un Michak revigoré par sa pause linguale.
À nos côtés, Léa et Minh s’en donnaient à cœur joie, ou à cul joie c’est selon. En soixante-neuf, les deux femmes s’étaient envolées dans un ballet saphique de la plus belle facture.
Leurs impulsions de langue désordonnées affolaient le clitoris de l’autre, les mains écartaient leurs fesses, libérant anus et sillons poisseux de mouille, une chorégraphie se mit alors en place, leurs doigts dessinant des entrechats sinueux entre les différents orifices avant de les pénétrer plus ou moins intensément. Le manège dura longtemps, ni Léa ni Minh ne voulaient stopper avant qu’un orgasme foudroie son amante, c’est ma jouissance qui emporta le flot. La puissance déchaînée de Michak avait eu raison de toutes mes résistances, si tant est que je n’en aie jamais eu.
Ainsi cambrée, je recevais en effet les impacts du gland pile sur mon point G et, bien que je ne parvienne que rarement à jouir dans ces conditions, debout, cet apogée-ci se termina en ruissellements inextinguibles, laissant une belle flaque sur le parquet flottant. J’ai agrippé les draps et y ai enfoncé mes ongles peints en vert en feulant comme un fauve blessé, cherchant désespérément les lèvres de Minh qui était en train de me triturer les tétons avec une maestria certaine. La réaction en chaîne ne se fit pas attendre, c’est Léa qui se libéra en premier, suivie de peu par la sensuelle Vietnamienne.
De longs gloussements, des cris en cataracte, les parfums des trois sexes féminins se mêlèrent, enivrants, entêtants, chacune voulant goûter le miellat des deux autres.
Mais Michak tenait toujours le coup, sa bandaison au beau fixe, Minh se faufila alors à ses côtés pour en profiter encore. Son bassin hyperlaxe lui permit de cambrer ses reins à l’extrême, quasi debout, son con était à la hauteur idéale pour que Michak la possède comme il m’avait baisée tantôt. Son vit se fraya de nouveau un chemin dans le fourreau serré et il se déchaîna une fois de plus tandis que Léa et moi nous roulions des pelles en nous caressant les seins et en nous masturbant mutuellement.
Les bruits des vagins humides, qu’ils soient entrepris par la queue de Michak ou par les doigts des amazones, les ahanements, les respirations saccadées, tout annonçait, encore une fois, des orgasmes massifs et des libérations de liqueur féminine.
Dans un tour de passe-passe Léa changea une nouvelle fois la donne. Comment réussit-elle cet exploit de gymnaste ? Toujours est-il qu’elle parvint à se faufiler entre les corps, et à proposer sa belle chatte aux petites lèvres ciselées à qui voudrait bien s’en occuper.
La lutte ne dura pas longtemps entre Minh et moi, la première écartant les nymphes de la proie consentante pour venir lécher le clitoris caché, mais très réactif, la seconde fichant un index mobile et énergique et l’agitant à toute vitesse, opérant des entrées et des sorties en arrachant des gouttelettes de plaisir à une Léa au bord de l’évanouissement.
La chair de Minh était toujours secouée par les va-et-vient herculéens d’un Michak marathonien du sexe, absolument pas entamé par ces trois femmes avides de son pieu et insatiables de sensations torrides.
Il continua de faire coulisser sa hampe jusqu’à ce qu’il sente le petit corps ambré se contracter d’un coup, Minh exultait une fois de plus, une main féminine taquinant son bourgeon alors que Léa se laissait aller à crier tant l’action conjuguée d’une langue sur son bouton et d’un doigt dans son con fut parfaite.
Contrairement aux pronostics, ce sont les filles qui jetèrent l’éponge en premier, leurs postures de gymnastes et les orgasmes consécutifs les avaient vidées de toute leur énergie, encore fallait-il libérer Michak de son jus. Honneur à l’initiatrice de ce quatuor, tous étaient d’accord pour que la mâle ambroisie me revienne. Mais il n’était pas dit que mes deux coreligionnaires ne participeraient pas à ce délicieux hallali.
Michak se retrouvait donc au centre des attentions et de trois bouches aussi habiles que généreuses. Chacune passait la queue à sa voisine après l’avoir pompée quelques instants, seule ma main droite ne lâchait pas la hampe que je branlais avec force. Je connaissais bien mon amant et savais qu’il avait besoin qu’on le masturbe énergiquement tout en lui aspirant le gland et en lui caressant avec douceur les couilles, action définitivement dédiée à Minh qui semblait vouer un véritable culte aux boules suspendues de Michak.
Le moment arrivait, je le pressentais, notre pygmalion venait de se hisser sur ses orteils, pieds tendus, postérieur dur comme de l’airain, la tête renversée en arrière, il a attrapé les rebords de la table derrière lui, ses abdominaux se sont contractés, son braquemart a grossi encore un peu, les bouches se succédaient désormais, une ou deux succions pas plus, le présperme abondait et nous faisait saliver de plus en plus, un râle…
Voilà, Michak allait enfin recevoir la même récompense, une petite mort bien méritée, Léa effleurait les fesses du mâle, Minh frottait les pointes de ses seins sur ses cuisses, je gobais le mât dans son intégralité comme au tout début de notre joute, les soubresauts advinrent avec une violence et une force que je ne lui avais jamais connu.
Mon palais a été inondé par une quantité de sperme gluant et tiède, le goût d’ananas et de vanille mêlé m’a surpris agréablement.
Je me suis penchée, la tête en arrière, accueillant ce lait épais qui me coulait doucement sur la langue et baignait le fond de ma gorge puis j’ai dégluti, ne laissant pas la moindre goutte de foutre poindre au méat du pénis qui, miracle, resta en parfaite érection !