Le camping déflore bleu

La rédaction 3 février 2021

Thérèse, 25 ans, part en camp jeune pour oublier ses envies sexuelles. Elle finira finalement par tester la sodomie avec le moniteur.

Bonjour interstron.ru. Je t’ai acheté la première fois au printemps dernier. Depuis, je pense à t’écrire, afin de confesser, dans cette histoire de sexe, un pêché grave mais absolument délicieux.

Aujourd’hui, je me lance, en espérant soulager ma conscience, mais aussi provoquer quelques belles érections. J’ai toujours été une fille coquine. Dans ma famille « tradi », on ne parle pas de sexe, encore moins de masturbation, mais dès l’adolescence, je l’ai pratiquée avec application. À 18 ans, j’ai perdu ma virginité lors d’un mariage, avec un cousin éloigné du même âge que moi. J’ai passé les deux années suivantes à coucher dès que j’en avais l’occasion. Puis je me suis calmée, en espérant que je trouverais ainsi un homme pour m’épouser.
À 25 ans, sentant que mes démons me hantaient toujours, j’ai décidé de passer les vacances de Pâques à encadrer un camp de jeunes, histoire de penser à autre chose qu’à mes hormones.
Grossière erreur…
N’ayant pas mon BAFA, j’ai suivi une formation accélérée pendant un mois. Elle s’est achevée par un week-end de simulation entre nouveaux moniteurs, en Dordogne. Le vendredi soir, nous nous sommes retrouvés dans un train au départ de Paris, avec tout un groupe de jeunes moniteurs fort sympathiques.

Parmi eux, Romain, un beau brun proche de la trentaine. Je me suis assise à côté de lui et nous avons passé le voyage à discuter. Il me plaisait, mais j’avais décidé de résister à son beau sourire.
Après une nuit dans un hôtel proche de la gare, nous sommes partis aux aurores. Au programme : une journée de rando avec reconnaissance de plantes, exercices, repérage de lieux de bivouac, puis installation de notre petit camping au milieu de la nature. Tous les participants de la formation s’y sont mis, Romain m’aidant avec ardeur à monter ma tente. Nous avons plaisanté, flirté. Et le soir, au coin du feu, il ne m’a pas quittée des yeux. Je sentais tout mon corps réclamer le sien. Mais ma volonté n’était pas tout à fait brisée… Jusqu’à ce que, vers une heure du matin et alors que j’étais lovée dans mon duvet, l’appel du désir soit le plus fort.
Je me suis réveillée en nage, le rêve érotique que je venais de faire me remuant jusqu’aux entrailles. Le souffle court, j’ai fouillé entre mes cuisses. Ma chatte était trempée… C’est là que j’ai entendu le zip de ma tente se défaire, les pans s’ouvrant sur le beau visage de Romain. Je devais avoir l’air d’une folle, les cheveux collés par la transpiration et les yeux écarquillés. Était-ce le parfum de sueur et de sexe flottant dans la tente qui a tout fait basculer ? Ou mon regard flou de chienne en chaleur ? Toujours est-il que le mono s’est faufilé jusqu’à moi et m’a embrassée à pleine bouche, son excitation aussi palpable que la mienne.

En un clin d’œil, il avait soulevé ma chemise de nuit, cherchant mes tétons de sa bouche. J’ai gémi quand il a commencé à les dévorer de baisers, tout en tentant de sortir sa verge de son caleçon d’une main maladroite. Elle a surgi d’un coup, m’offrant une prise dure et moite. J’ai branlé Romain, tout en haletant sous ses caresses : déjà, ses doigts allaient et venaient dans ma chatte trempée… puis se sont aventurés dans des contrées plus étroites.

Jamais je n’avais osé m’adonner à la sodomie, dont on m’avait appris qu’elle était dégradante. Pourtant, alors que l’index agile de Romain cherchait un passage entre mes fesses, elle m’a semblé être la pratique la plus délicieuse au monde. J’ai étouffé un cri de plaisir quand il est entré. Impossible d’ignorer cette vague qui montait en moi… À mon oreille, Romain a susurré : « J’ai maté ton cul toute la journée. Laisse-moi te prendre par derrière… ».

Comme ivre, j’ai roulé sur le ventre. Mon amant est alors descendu le long de mon corps, en quête de mon petit trou frémissant. Jamais une langue n’avait été plus voluptueuse… Je ne savais pas encore ce qui m’attendait ! Quelques instants plus tard, Romain est remonté et s’est mis à frotter son gourdin contre ma vulve, le lubrifiant à la source… puis son gland charnu a glissé entre mes fesses. Doucement mais fermement, mon amant s’est hissé en moi, m’imposant l’avancée de son membre. Plaquée au sol, je l’ai laissé me saisir les poignets et tirer mes bras en arrière, pour mieux posséder ma croupe cambrée. J’ai dû mordre un coin du duvet pour ne pas hurler, tout mon corps se convulsant de façon incontrôlable…
J’ai joui la première, un éclair blanc s’imprimant sur ma rétine. Romain s’est alors tendu comme un arc, avant de se vider dans mon anus vierge. Encore K.-O. de l’orgasme, j’ai senti chacune de ses secousses se propager jusqu’au sommet de mon crâne… Nous avons enfin basculé sur le côté, saoulés de plaisir. Quelques minutes plus tard, je sombrais dans le sommeil, son sexe toujours en moi.
Cette histoire s’est déroulée il y a 6 mois. Depuis, Romain et moi nous nous voyons régulièrement à Paris, pour de glorieuses parties de baise. Il y a quelques jours, il m’a proposée que nous allions au restaurant avant de passer la nuit ensemble. Peut-être que toute cette luxure débouchera sur une histoire d’amour ? J’ai en tout cas Romain dans la peau et je suis certaine que le ciel voudra bien pardonner ma débauche…

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