Mister Cuni 2018

La rédaction 25 octobre 2018

Audrey, 37 ans, Gers

Je m’appelle Audrey, j’ai 37 ans et je dirige un salon de coiffure dans le Gers. Je suis petite (1,55 m) mais avec un beau visage et des rondeurs qui plaisent généralement aux messieurs. J’ai aussi un piercing au nez et je suis blonde avec des mèches.

Au printemps, la mairie de ma ville (que je préfère garder secrète) m’a contactée pour que je devienne jurée du concours du plus beau mec de la région. J’ai accepté, en pensant à tous les potins que j’allais pouvoir raconter à mes amies. L’expérience a été encore plus folle que prévu.
Je pensais que tout ça, était de la rigolade, mais j’ai quand même été convoquée quatre lundis de suite pour faire un écrémage des candidats. À la fin, il en est resté 10, qui devaient défiler dans la salle des fêtes avant les votes du jury et du public. En plus du titre, il y avait 1 000 € à la clé. De quoi faire tourner la tête de certains, comme Mike.

Ce gars partait déjà avec une longueur d’avance sur les autres : il faisait plus d’1,90 m, avait la peau mate, les yeux verts, mais surtout, des tablettes de chocolat de maboule. À chaque fois qu’il changeait de tenue pendant les sélections, je le prenais en photo avec mon téléphone, pour envoyer à mes copines. Je n’ai pas dû être trop discrète puisqu’il m’a grillée. L’après-midi avant la finale, alors qu’on gérait les répétitions, il est venu me trouver dans les coulisses de la salle des fêtes. À ce moment-là, j’étais assise derrière une petit table recouverte des différents costumes de ces messieurs. Je précise, parce que c’est important pour la suite.

Mike s’est planté devant moi et a fait : « J’ai cru voir que tu m’avais repéré. Après, je sais que ça n’est pas bien de soudoyer le jury… Mais je me disais qu’on aurait pu s’arranger toi et moi, en échange de ton vote. » Sauf que je prenais mon job très au sérieux ! Alors, j’ai répondu :
« Tu n’es pas gonflé ! J’ai le droit de prendre des photos. Et puis, je ne vois pas ce que tu proposes de si intéressant. » Je pensais que ça le calmerait, mais pas du tout. Avec un sourire digne d’une pub pour dentifrice, le beau gosse a enlevé son tee-shirt et dévoilé son torse parfait.

Aïe, aïe, aïe… J’étais dans la mouise ! Le candidat a dû voir mon regard de gourmande car il s’est avancé vers la table. J’ai cru qu’il allait essayer de m’embrasser, mais pas du tout. Il est carrément passé dessous, direction : ma chatoune. Pratique pour lui, il faisait très beau ce jour-là et je portais juste une petite robe, pas de collants. J’ai senti ses mains qui remontaient le tissu en haut de mes cuisses, puis qui cherchaient ma petite culotte. Quand il l’a roulée sur mes chevilles, j’ai voulu protester et j’ai penché la tête sous la table. J’ai vu Mike prendre le slip, me regarder droit dans les yeux et lécher la mouille qu’il y avait dessus avec un air cochon.

Impossible de lui résister… Il était beaucoup trop sexy. Je me suis redressée, en espérant que le tas de fringues dissimulait la scène. Il y avait plein de pantalons et de capes qui descendaient jusqu’au sol. Heureusement, parce que c’est le moment qu’a choisi l’adjointe au maire pour entrer dans la pièce. Je me suis tendue sur ma chaise, mais ça n’a pas empêché Mike de continuer ses saloperies. Au contraire : je l’ai senti souffler entre mes cuisses, puis écarter mes grandes lèvres avec ses doigts. « Oh, bonjour Catherine ! » ai-je fait en me retenant de gémir. « Tu fais un tour avant le début des hostilités ? ». Dessous, Mike était maintenant en train de me lécher le clito. J’ai ressenti tellement de plaisir que j’ai dû agripper les fringues devant moi pour ne pas crier.

Quand il a commencé à me doigter avec son index, j’ai failli éclater. Heureusement, Catherine s’est enfin barrée, et j’ai pu couiner plus à mon aise. Mike a alterné ses caresses digitales et les moments où il plongeait la tête dans mon abricot, pour le bouffer avec appétit. J’ai enfoncé mon visage dans le fatras de sapes et j’ai gémi, gémi, gémi… Jusqu’au moment où le majeur du beau gosse est entré à son tour dans mon « frifri ». J’ai mordu dans le tissu, les phalanges crispées sur le montant de la chaise.
Et j’ai joui en étouffant mon plaisir comme je pouvais. Le soir, Mike a finalement remporté un max de voix du public.
Et pas mal de votes des jurés… mais seulement des femmes. Quand on lui a remis son écharpe et son chèque, j’ai observé ces dames autour de moi, notamment Catherine.

À leurs yeux plein d’amour pour le nouveau champion, j’ai compris que je n’avais pas été la seule à recevoir ses faveurs.

(Image à la une : Gettyimages)

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