Massage Tante trique

La rédaction 4 avril 2019

Jules, 56 ans, Asnières

Cher interstron.ru, je veux te raconter une histoire qui m’est arrivée avec la femme de mon oncle. Elle s’appelle Élisabeth, c’est une blonde à forte poitrine et je dois dire que je l’ai toujours trouvée très à mon goût. Elle fait beaucoup d’ateliers et de séminaires tournés sur le bien-être et en a même fait son métier. Trantra, massage, groupes de parole, elle anime elle-même des formations sur tout cela. Un jour, elle m’a proposé de me faire un massage gratuit. Un peu gêné, j’ai tout de même accepté car la perspective de cette proximité de nos corps me plaisait beaucoup. Je ne pensais pas qu’il y aurait d’ambiguïté entre nous, d’autant que nous sommes tous les deux mariés, mais elle avait suffisamment visité mes fantasmes pour que cette proposition surprenante m’enthousiasme et me fasse rêver d’elle des jours avant notre rendez-vous.

Je suis arrivé un samedi après-midi dans la petite pièce de chez elle dédiée à la détente et je me suis installé sur un matelas fin. Son mari était parti jouer au tennis et nous étions seuls dans la maison. Je me suis laissé aller à ses palpations et j’étais bien heureux de lui servir de cobaye. Sa pression était ferme et délicate, douce et sensuelle. Je me suis abandonné. J’étais à deux doigts de m’endormir quand Élisabeth m’a demandé de me mettre sur le dos. J’étais gêné, car j’avais un début d’érection qu’elle ne pourrait que remarquer. Ses yeux s’y sont attardés un moment, puis elle s’est concentrée sur mon ventre, mes bras, ma tête, reprenant un massage plus doux et sensuel. À un moment, sa poitrine s’est trouvée au-dessus de ma tête et, dans un élan d’audace et prévoyant déjà mes excuses, j’ai tendu la main pour prendre un sein dans ma main. Elle a arrêté ses gestes tout net. J’ai prestement retiré mes doigts – « désolé ». En silence, Élisabeth a repris ma main pour la reposer sur son sein. Surpris, je l’ai laissée promener cette main sur sa poitrine. En la regardant, j’ai caressé son sein, tâté son téton, malaxé sa rondeur si douce. Elle s’offrait à moi ! Je n’aurais jamais imaginé que mon fantasme se réalise un jour ! Son visage s’est penché sur le mien pour attraper mes lèvres. J’ai saisi les siennes et les ai suçotées doucement dans ma bouche. Ma masseuse était penchée sur moi, mais toujours assise près de mon visage. Elle a fait glisser son visage et son corps le long du mien, à contre-courant, de ma tête vers ma queue, pour la sortir de mon caleçon et me sucer langoureusement.

Ma bite disparaissait dans sa bouche humide, sa langue lapait mon gland, passait le long de ma tige, léchait mes couilles, sa bouche pompait mon dard avec conviction. Pendant ce temps, j’ai baissé son pantalon et sa culotte et ramené son sexe à ma bouche pour nous retrouver dans la position du 69. J’ai goûté sa mouille salée, et j’ai léché son clitoris pendant qu’elle étouffait ses gémissements avec ma queue qu’elle continuait d’avaler. Moi, je mitraillais son clito de coups de langue et je sentais qu’il était tout gonflé sous ma bouche. Qu’allait dire mon oncle ? J’espérais qu’il n’apprendrait jamais que je m’étais tapé sa femme… Et, en même temps, c’était tellement délicieux de partager ce moment d’interdit avec elle. J’en tirais une fierté un peu idiote. J’ai attrapé Élisabeth pour me mettre sur elle, sur le petit matelas. Elle était sur le dos, le tee-shirt bâillant sur ses seins et sans culotte. J’ai glissé plusieurs doigts à l’intérieur d’elle et elle me branlait en même temps d’une main douce et ferme comme ses massages. Elle me branlait tout en rapprochant sa main de sa chatte, pour que mon gland tape à son entrée et commence à se frayer un chemin. Au bout d’un énième battement de ma bite contre elle, j’ai glissé dans son trou pour me mettre à la baiser pour de bon. Tout son corps bougeait sous mes coups de reins et chacun d’eux lui arrachait un cri de plaisir. Je suis passé en mode rapide pour la prendre intensément et la sauter comme si nous étions des animaux. Son trou était chaud
et accueillant.

Puis, nous avons changé de position pour que je la prenne en levrette. Je voyais son cul s’agiter sous mon regard ébloui, sa peau qui tremblait, ses hanches qui ondulaient. C’était un spectacle grandiose. J’ai glissé une main vers sa fente pour titiller son clito pendant que je la sautais. Je l’ai frotté très rapidement tout en continuant à enfoncer ma queue en elle. J’ai accéléré mes mouvements conjoints et j’ai senti la poussée vertigineuse du plaisir. Sa fente s’ouvrait et se serrait comme une bouche dans un affolement proche du délire. Nous avons déchargé et joui en même temps dans un cri propre à réveiller toute la maisonnée. Nous avons repris nos esprits sur le matelas et avons eu à peine le temps de nous remettre et de passer à la cuisine que son mari rentrait déjà ! En vérité, une partie de moi aimerait qu’il sache comment sa femme s’était donnée à moi. Mais c’est sûrement égoïste de ma part. En attendant, ce massage n’a cessé d’alimenter mes rêveries.

(Photo à la une : Getty Images)

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