40 ans…et cochonne

La rédaction 4 octobre 2020

Alicia, 40 ans, est une quadra sexy et chaude qui ne se refuse aucun plaisir. Après un shopping intense, elle croise un jeune homme et va jeter son dévolu sur lui… jusqu’aux toilettes du bar.

Mon nom est Alicia, et je suis une jeune quadra assez chaude. Je suis mariée mais je ne me refuse aucun petit plaisir. L’autre jour, je suis allée faire mon shopping : du café à moudre et du chocolat de luxe à l’épicerie fine, puis des fringues hors de prix et des sous-vêtements trop chers (mais si beaux)… Et enfin, une bonne bite bien dure pour zéro euro ! Je vous raconte tout sur cette histoire de sexe.

Jeudi, j’avais posé mon après-midi pour me faire plaisir et prendre du bon temps. Comme je vous le disais, je savais déjà pertinemment ce que je voulais acheter, mais je n’avais pas prévu le petit plus… J’avais fini mes commissions lorsque, attablée à la terrasse d’un café où je me prélassais, j’ai vu passer un joli cul de jeune bien foutu. Ça m’a filé des idées cochonnes.

Il s’est assis pas très loin de moi, avec un bouquin de poche. Il a commandé un café en me jetant une petite œillade à la dérobée. J’ai souri de toutes mes dents blanches de quadra sexy qui aime sucer la queue bien fraîche d’un jeune étalon. Les hommes sentent ça quand ils me voient, je le sais. Au bout de quelques minutes à se chercher du regard, il a fini par me sourire, lui aussi et il s’est enhardi…

Il a approché de ma table. “Mademoiselle, on boit un verre ? – Tu m’appelles Mademoiselle, c’est trop mignon ça. Non ben écoute, on ne va pas s’embarrasser à payer un verre d’alcool trop cher. En plus, je n’aime pas ça. Non, je vais plutôt te tailler une pipe baveuse dans les chiottes du café, ok ?” J’ai cru qu’il allait jouir directement dans son pantalon tellement il avait l’air choqué, le pauvre garçon. Il a fini par reprendre ses esprits et a ricané à la bonne blague… Sauf que je ne blaguais pas du tout.

J’ai posé une pièce sur la table pour ma fraise à l’eau et, en caressant son entrejambe discrètement, je lui ai suggéré de venir me retrouver aux toilettes dans deux minutes. Je me suis levée, j’ai pris mes achats avec moi et je suis allée au fond du bar à droite en tortillant du cul. Je n’avais même pas besoin de me retourner pour savoir qu’il matait mon bon derrière avec la plus grande attention. J’allais m’adonner à mon jeu préféré : sucer un jeune gars au hasard, faire un petit cliché souvenir (que je compile ensuite sur une clé usb secrète à la maison) et retrouver mon mari comme si de rien n’était. J’adore le frisson de l’espionne !

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Arrivée dans les toilettes, j’ai vu un graffiti sur le mur qui représentait un diable. Plutôt bien réalisé, je dois dire. Il me faisait comme un clin d’œil. J’ai passé une main sur mes seins, je me suis mise à l’aise. À peine quelques secondes plus tard, j’ai entendu toquer tout doucement à la porte… “Ma… Mademoiselle ?” Toujours aussi angoissé le gamin ! J’ai ouvert en lui faisant un sourire d’avaleuse de sabre.

J’ai attrapé son paquet et je l’ai tiré à l’intérieur. Je l’ai poussé contre le mur pendant qu’il bafouillait bêtement. Sa bite, elle, savait très bien quoi faire, heureusement. Il bandait déjà comme un taureau. J’ai arraché ses boutons de jean et je me suis baissée en faisant tomber son pantalon. J’ai passé un bon coup de langue sur l’engin. Je suis allée des grosses couilles jusqu’à la pointe du bel instrument. J’ai titillé le gland, j’ai lapé, puis j’ai englouti tout le navire. Dieu que c’était bon !

J’ai attrapé mon téléphone dans mon sac pour un petit selfie, vite fait. Mon gentil jeunot ne s’en est même pas rendu compte, tout occupé qu’il était à jurer au ciel, les yeux fermés (trop mignon). Je l’ai bien branlé, avec vigueur, et j’ai plongé toute sa bite dans ma bouche, jusqu’à ma gorge. Je suis allée lentement, aussi loin que je pouvais. Et je l’ai ressortie tout aussi lentement. Là, j’ai commencé à vraiment le pomper très fort. Je lui caressais les couilles en même temps et, à certains moments, je tirais dessus. J’ai poigné un peu plus intensément avec ma main droite et j’ai senti qu’il allait lâcher.

Par contre, pas question de me prendre ça dans la tronche. Je l’ai fini en le masturbant en direction du mur. Il est venu par gros paquets blanchâtres, heureux. Il a posé sa main sur ma tête et a marmonné : “Bonne petite chienne… Euh Mademoiselle…” J’ai aboyé et placé mes dents sur son gland… “Non, je veux dire, merci, merci mille fois !” J’ai lâché ma prise. “Ok, je préfère, petit con”, ai-je ricané. “Allez, tu te reculottes et tu te tires.” Il s’est précipité dehors, sans demander son reste. J’étais aux anges.

Quand je suis revenue à la maison avec tous mes cabas et un air ravi, mon mari, pas fute-fute, a fait son Sherlock : “Oh toi ! Toi, tu as des choses à te reprocher !” J’ai eu peur pendant un instant qu’il m’ait repérée à l’odeur de sexe, ou à cause d’une tache de sperme perdue sur ma tenue… “Tu es encore allée faire des grosses dépenses ! – Oui ! Oui, voilà c’est ça !” Eh ben, c’était moins une ! Bisous les interstron.ruistes.

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