Pour toi mon amour !
5 novembre 2024Juliette,33 ans de Carpentras témoigne de l’amour qu’elle porte à son compagnon dans cette histoire. Fellation, cunni, levrette, le réveil est chaud.
Mon Amour, tu voulais dévoiler notre intimité dans les pages de ton magazine préféré, j’ai décidé de te coiffer au poteau ! Voici notre histoire de sexe amateur !
Préliminaires au réveil
Ce matin-là, j’avais pris ma douche en premier et, après m’être maquillée, je suis repartie sur le lit en attendant que tu sortes de la salle de bain. Je sais que tu aimes quand je t’accueille ainsi, les cuisses ouvertes, ma chatte et mon cul épilés, offerts. Je suis déjà trempée à force de m’être touchée, ma mouille fait briller mes doigts et mes effusions augmentent encore lorsque tu branles ta queue qui me rend folle. Elle gonfle et devient dure, une goutte d’huile perle à ton méat. Tu dis des mots crus, je me tortille en frottant mes lèvres intimes au creux de mes jambes, tu t’approches et me confies ton chibre à sucer. Je me fais alors une joie d’être encore plus chienne, ma bouche s’ouvre et je t’accueille au fond de ma gorge. Je sais que tu lorgnes mon petit cul, je te sens allonger le bras pour photographier ma raie et mes trous de plaisir.
À ton tour, tu viens te coucher et c’est moi qui te donne la becquée. Ma fente au jus épicé s’écrase contre tes lèvres, tu lèches les pourtours de ma vulve ainsi que mon vagin brûlant. Ma cyprine coule sur toi, nappe ta langue et ton palais. Tu t’échines à immortaliser la scène, j’en profite toujours pour capturer ton mât au creux de ma main et le masturbe comme je le peux. Tu gémis et je tire à fond sur ta bite pour te décalotter au maximum, je sais que tu adores cette sensation qui se faufile le long de ta queue, juste sur ta grosse veine sous ta hampe.
Mais il est temps de passer aux choses sérieuses, nous devons encore nous habiller et partir travailler. Mon poids plume n’est pas un obstacle pour toi et tu m’installes comme tu le désires, sur le dos, au bord du lit, les fesses bien relevées. Ton chibre peut alors s’enfiler sans peine tout au fond de ma chatte, la progression est onctueuse, parfois lente et mesurée, parfois implacable et presque violente. Je sens vite tes lourdes bourses pleines de sperme cogner à la porte de derrière, tu me demandes de les caresser ou de me doigter le petit trou. Tu aimes que j’appuie contre la fine cloison afin de tâter ta bite en moi. J’en dessine le gland, mon anus est trempé, j’ai envie que tu m’encules aussi, mais nous n’aurons le temps pour cela que le soir venu.
Prise en levrette en attendant la sodomie
Les à-coups se calment, je sais que tu vas me réclamer de me retourner … ça ne rate pas, tu me fous une petite claque sur le joufflu, le message est bien reçu, la levrette a désormais ta préférence. Je me tortille et me mets à quatre pattes, une autre gifle bien sèche, je casse mes reins, écarte le plus possible mon pli fessier, tu me veux à ton entière disposition, soumise et suppliante. Je trémousse mon petit boule, je sens des perles de cyprine couler le long de mes cuisses, tu adores mon état de chatte en chaleur. Tu trempes deux doigts dans mon vagin et les ressors humides pour me les donner à sucer. J’obéis et exige ton pieu au fond de moi.
Tu fends mon armure et d’un coup de reins décisif tu me prends jusqu’à la garde, je hoquette, je gémis, je geins et très vite je viens en criant de bonheur. Ma liqueur ruisselle en abondance et tu triomphes de mon cul en souriant. Ton calibre coulisse encore plus aisément dans mon conduit, tu jubiles de m’avoir donné un orgasme si fort de bon matin. Je sens ta colonne qui s’enfonce lentement désormais, encore plus quand tu l’en ressors. Je sais que ta propre petite mort est proche elle aussi, lorsque tu adoptes ce rythme très doux c’est que ta sève est sur le point de sourdre de ton engin de plaisir. Je me contorsionne afin de t’offrir un de mes seins, également pour pouvoir te contempler lorsque le rictus de l’extase déformera tes traits.
Malgré mes injonctions, si tu continues dans mon antre, la séance va durer trop longtemps, je n’aurai pas ta semence au fond de mon ventre, tant pis. Je te sens t’extraire de mon étau, tu te branles et j’écarte mes fesses encore un peu plus pour que tu voies bien mes deux trous ouverts. Cela t’excite, tu es rouge, ta respiration devient haletante, ça y est ! Les premiers signes apparaissent, ta veine jugulaire palpite, tu étires la peau de ta queue vers l’arrière, ne bouge plus, l’attente est insupportable … ton jus épais jaillit ! Ça fuse loin sur mes reins et mon dos, ça macule mon derrière, tu as éjaculé une quantité phénoménale de foutre ! J’en recueille sur mes doigts et goûte le sel de la vie, je suis bonne pour repasser sous la douche !
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