À fond dans le camion

La rédaction 23 mars 2019

Charlotte, 29 ans, Poitiers.

Coucou interstron.ru, voici l’un des mes plus beaux récits érotiques, sur lequel, je l’espère, se caresseront les lectrices et les lecteurs !

Il y a deux ans, je suis partie à Cassis avec ma copine Raphaëlle. Un trip entre filles pendant lequel nous avons bien profité de nos corps. Nous sommes toutes les deux bi et, en plus d’être amies, nous avons une merveilleuse alchimie sexuelle. Seules sur des plages désertes, chauffées à blanc, nous avons goûté nos sexes, entremêlé nos cuisses, uni nos bouches pour des orgasmes merveilleusement salés.

Après une semaine de ce doux rythme lesbien, j’ai eu envie d’un membre bien dur à me mettre sous la langue. Je suis donc partie me promener dans une crique où, la veille, j’avais repéré un groupe de garçons très virils. Par chance, ils étaient au même endroit ce jour-là. Sans doute un groupe de campeurs, vu leur style et le barda qu’ils trimballaient avec eux.

À part trois jolis mâles et moi-même, nous étions seuls. Je me suis demandé lequel allait me repérer le premier. J’ai misé sur le plus grand, un étalon dont le maillot avait l’air de contenir un sacré matériel. Je me suis déshabillée sans façon avant de m’allonger nue sur les rochers, les seins exposés, la vulve offerte à tous.
C’est l’ombre qui m’a fait ouvrir les yeux : le grand monsieur se dressait au-dessus de moi, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il avait monté la tente ! Sa queue tendait son short de bain façon chapiteau de cirque. Il m’a demandé si j’étais partante pour un tour dans le van, garé à deux pas. J’ai opiné, les yeux braqués sur son chibre massif.

En deux temps, trois mouvements, le chaud lapin m’avait déjà plaquée au mur de leur espèce de camion aménagé. Ça n’était pas plus mal que les hostilités commencent rapidement : moi qui voulais du viril, j’étais servie ! L’odeur de mâle qui flottait dans l’air était à tomber raide, quant au ménage, il n’avait pas été fait depuis un bail. J’ai arrêté d’y penser quand mon barbu a commencé à me bouffer sauvagement la minette.
J’avais tellement envie d’un corps d’homme que ma chatte ruisselait. Plus je coulais sur sa barbe, plus les yeux sombres de mon amant lançaient des éclairs… Je le sentais si excité par la situation que j’ai eu peur qu’il me prenne sans ménagement. Mais c’est tout doucement qu’il m’a fait comprendre qu’il voulait ma bouche autour de son gland…

Je me suis mise à quatre pattes et j’ai poli son bout bien rond entre mes lèvres. Un délice qui m’avait manqué… Je le laissais s’enfoncer dans ma gorge, imaginant déjà le contenu de ses bourses sur mon corps. Son chibre allait maintenant si profond que j’avais du mal à respirer. J’avalais à grand bruit ma salive mêlée de son jus, ce qui semblait exciter mon barbu au plus haut point. Ma bouche était presque douloureuse : déjà au moins vingt minutes qu’il bandait dedans !
Il a fini par m’installer en levrette et m’a fait profiter comme il fallait de son membre. J’étais si trempée qu’il est entré comme dans du beurre… En même temps qu’il limait ma chatte, il a introduit son majeur dans mon cul. Là encore, pas besoin de salive ou de lubrifiant : j’étais plus ouverte qu’une chienne en chaleur.

Que dirait Raphaëlle si elle me voyait ainsi, la chatte ouverte par cette bite bien large, le cul stimulé par un doigt épais ? Sans doute participerait-elle à la scène en suçant la queue de mon campeur à chaque fois qu’il la sortirait de ma cramouille, léchant ma mouille sur le poil de ses couilles, titillant ma rondelle de sa petite langue rose… Cette pensée a déclenché le plus puissant des orgasmes.

Pour remercier mon amant du jour, j’ai entrepris de le pomper une nouvelle fois. Le goût de ma mouille sur son vier m’a encore rappelé Raphaëlle, stimulant davantage mon appétit de sexe. Quel bonheur quand enfin j’ai reçu une giclée de plaisir dans la bouche… J’ai bu jusqu’à la dernière goutte de son chibre.

Le soir, j’ai montré à Raphaëlle ce que m’avait fait mon étalon. Jamais je n’avais pris autant de plaisir à utiliser un gode ceinture… Quant à mon amie, elle n’a, je crois, jamais oublié cette belle nuit à Cassis.

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi…

Vacances bien remplies

« Surprise, j’allais lui passer un savon, lui dire que cela ne se faisait pas d’espionner ses voisins… C’est là que je me suis rappelé que j’étais nue… Lui me regardait, pas vraiment dans les yeux puisque les siens étaient bloqués sur mes seins. Quel goujat ! » Lucie.

Les vacances ça requinque !

« Elle m’a confié à demi-mot qu’elle aimait beaucoup ce club car le patron n’était pas très regardant sur les aventures sexuelles de ses employés… et qu’elle adorait en connaître avec des clients ! Encore une fois, ma bite ne m’avait pas trompé. » José.

À retrouver sur notre plateforme VOD

Notre sexy reporter s’est accordé quelques vacances en Espagne en passant par Marseille. Trois belles jeunes femmes posent pour lui. Elles sont toutes muy caliente !!!


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru