A moi les petites Parisiennes !

La rédaction 28 janvier 2021

Jeune guide de randonnée, Esteban, 21 ans, fait découvrir les montagnes des Pyrénées à de charmantes Parisiennes plutôt adeptes des bonnes gorges profondes…

Je m’appelle Esteban, j’ai 21 ans, je suis guide de randonnée dans les Pyrénées et voici mon histoire de sexe. Mes parents tiennent un gîte. Moi, je me charge d’emmener les clients en montagne pour découvrir notre beau pays. Ça leur fait sûrement du bien aux Parisiens, avec leur ville de fous. Cet été, j’ai dû m’occuper d’un groupe de jeunes Parisiennes très chiantes, mais gaulées comme des déesses… Et sur le parcours, ça a un peu déraillé. Enfin, je me comprends…

Dès la première matinée avec ces quatre nanas, j’ai senti qu’elles allaient être gonflantes. Il n’y en avait qu’une seule qui paraissait avoir déjà pratiqué la rando et montrait quelques bons réflexes. Les autres ne cessaient pas de jacasser et ne savaient pas économiser leur souffle. Le peu d’informations que je leur ai donné a eu l’air de leur passer très haut par-dessus la tête, elles ne s’intéressaient pas du tout à la nature. Elles voulaient seulement voir des marmottes et des cabris… Quoi qu’il en soit, en les observant à la dérobée, j’ai bien remarqué qu’elles étaient toutes super bonnes: belles bouches, gros seins, jolies fesses et longues jambes. Elles portaient toutes des shorts en jean à franges qui laissaient voir leurs cuisses musclées et bronzées.

En haut, elles avaient des débardeurs ou des T-shirts en coton blanc. Celle qui marchait le mieux arborait une chemise déboutonnée et nouée juste sous les seins. Au bout de quelques kilomètres, elles transpiraient déjà toutes à grosses gouttes sous l’effort.

Vers midi, nous avons atteint un plateau qui dominait une partie de la vallée. La vue de là-haut était magnifique. J’ai bien remarqué que pour une fois, les donzelles avaient le souffle coupé par le panorama. Nous nous sommes installés pour le pique-nique. Elles avaient l’air d’en avoir bien besoin et je ne voulais pas qu’elles fassent une insolation. Mais elles n’avaient pas du tout conscience du danger. Après le repas, elles se sont « mises à l’aise », malgré mes recommandations. Il y en a une qui a retiré son T-shirt. Elle était en soutif en dessous.

Les autres l’ont imitée en retroussant leur haut jusqu’à la naissance des seins, pour offrir leurs ventres plats à la bronzette. La dernière a baissé sa chemise jusqu’au bord de ses mamelons. Le soleil tapait fort. Elles n’avaient pas envie de reprendre la route. « On est tout engourdies, laisse-nous nous reposer… Blablabla… « Je suis allé cueillir des fleurs qui ne poussent que par là pour en ramener au gîte, ma mère les aime bien.

Une des nanas m’a demandé si « les massages étaient aussi compris dans le forfait ». J’avais à peine eu le temps de leur répondre : « Évidemment non ! » que c’est rapidement devenu une vraie revendication ! Elles piaillaient à l’unisson. En gros, c’était : « Un massage, sinon on ne repart pas ! » La meneuse du groupe en chemise courte a particulièrement insisté. Elle était vraiment magnifique. Elle avait beau m’énerver, je sentais ma volonté vaciller.

J’ai fini par accepter. J’étais très troublé, je n’ai pas trop l’habitude des filles sophistiquées comme elles. Je me suis appliqué et, sous mes doigts, la jolie demoiselle semblait se détendre. De mon côté, j’avais grave la honte, mais je sentais une bosse se former malgré moi dans mon short. Elles l’ont remarqué, et leurs regards ont tous convergé dans cette direction.

Tout à coup, elles ont toutes voulu me masser à leur tour, « pour te remercier », elles disaient. J’ai refusé poliment, mais elles m’ont sauté dessus pour me clouer au sol. Elles ont ensuite défilé devant moi pour que j’élise la masseuse de mon choix, celle qui me plairait le plus. Mais brusquement, elles ont encore changé d’avis et ne m’ont même pas laissé le temps de désigner celle qui me branchait le plus. Elles m’ont retiré mes vêtements. Je me suis retrouvé torse nu, allongé dans l’herbe. Leurs mains expertes me caressaient toutes en même temps. je bandais vraiment très fort. La meneuse, fidèle à son tempérament, a été la première à égarer ses mains vers mon sexe gonflé. Elle m’a redemandé qui était la meilleure d’entre elles. Ça m’a fait rigoler, elles savaient ce qu’elles voulaient, les Parisiennes, décidément. Les autres ont protesté que c’était injuste, en se marrant. « C’est trop facile, si tu lui touches la queue, aussi ! », a gloussé l’une d’entre elles.

Le soleil devait leur taper sur la tête, je ne sais pas trop… Toujours est-il qu’elles ont commencé à me sucer et à me branler tour à tour. Ma queue est passée de bouche en bouche. Je gémissais et n’osais plus protester. Elles continuaient à me questionner sans arrêter de me chauffer. Elles voulaient encore que je décide qui était la meilleure… Elles devaient avoir un sacré problème entre elles, je ne comprenais pas ce délire. Je ne savais pas trop quoi leur répondre. La petite qui s’appelait Mélodie (et avait des gros seins) a fini par me faire jouir. Mon sperme a giclé sur mon ventre et sa poitrine. Je me suis senti complètement nul. Elles, elles en voulaient encore, les cochonnes. Elles étaient excitées comme des lapines en chaleur. Elles m’ont demandé quelle était ma position préférée. Je leur ai répondu la levrette et elles m’ont rétorqué que c’était parce que je n’avais jamais essayé la sodomie. Ce qui n’était pas faux. Tout en discutant, elles continuaient à se relayer sur ma queue. Une sorte de branlette à huit mains, si vous pouvez imaginer un truc pareil. Elles me passaient des petits coups de langue aussi. Mon érection, qui n’était jamais vraiment partie, reprenait de plus belle.

Celle qui s’appelait Sabrina m’a proposé d’essayer son cul. Mais je n’osais pas trop, on se connaissait à peine. Se faire titiller la tige, ce n’était pas comme enculer une quasi-inconnue, tout de même ! Ma queue a décidé pour moi. J’en avais trop envie en fait. La meuf s’est posée en levrette sur l’herbe. Son beau cul était tendu vers moi, offert. C’était un peu la « journée portes ouvertes ». Je me suis approché. Elles bavaient de la salive sur ma bite pour que ça coulisse mieux. Elles m’ont guidé vers son anus en me pelotant les couilles. Je me suis enfoncé doucement dans le derrière de la fille et les autres ont continué à me caresser.

Sabrina gémissait de plus en plus fort. En pleine nature, ça faisait un drôle d’effet. Elle se touchait le clito. Elle a fini par avoir un orgasme très sonore. Son visage était posé à même le sol. Elle s’écartait les fesses pour se prendre mon membre le plus loin possible dans le conduit. Je me sentais extrêmement excité à nouveau. La meneuse m’a terminé à la main. Elle m’a branlé contre son visage, en faisant claquer ma queue sur sa joue de temps en temps, jusqu’à ce que j’éjacule sur sa jolie petite face. Puis tout le monde s’est rhabillé dans le silence. La magie avait cessé, comme noyée sous mon éjaculation.

Nous n’en avons pas reparlé pendant le reste de la randonnée, ni durant tout leur séjour, d’ailleurs. C’est demeuré un secret entre les petites Parisiennes et moi !

(Image à la une : Getty Images)

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