Copine d’avant

La rédaction 31 octobre 2021

Je m’appelle Aurélie, j’ai 30 ans et… j’aime les filles. Je les ai toujours aimées, même s’il m’arrive parfois de coucher avec des hommes. Dernièrement, comme j’avais du vague à l’âme, j’ai recherché les coordonnées d’anciennes copines de pension. Avec Internet, ça ne m’a pas pris longtemps. Au téléphone, Élise a été surprise de m’entendre. On ne s’était pas vues depuis la classe de terminale. Maintenant, elle vivait avec un mec, travaillait dans une grande surface et avait une petite fille. Ce qui ne l’a pas empêché d’accepter mon invitation, en souvenir du bon vieux temps.

Caresses dans les toilettes du lycée

Lorsqu’elle est arrivée, j’ai immédiatement retrouvé l’adolescente blonde dont j’avais été amoureuse. Encore plus belle qu’autrefois. Toutefois, une sorte de gêne nous retenait. On a visité la maison. Elle pensait certainement aux mêmes choses que moi, mais ni l’une ni l’autre ne se décidait à en parler. Ce n’est que dans la salle de bain que le déclic s’est produit. En retroussant sa jupe pour s’asseoir sur la lunette des toilettes, elle a demandé : “Ça ne te rappelle rien ?” Combien de fois, à l’institution Saint-J…, on avait inauguré de cette manière nos rencontres nocturnes dans les toilettes ?

Le premier rendez-vous m’est revenu d’un coup. Sa brutalité quand elle m’avait lancé : “Il paraît que t’es une gouine et que tu branles toutes celles qui te le demandent ? Alors, montre-moi ce que tu sais faire.” Ensuite, elle avait relevé sa jupe. J’aurais préféré qu’elle y apporte un peu de plus sentiment. “Qu’est-ce que tu attends ?, avait-elle repris avec impatience, baisse ma culotte, caresse-moi.” Au bas de son ventre, une épaisse toison bouclée dessinait un triangle parfait. Les poils en étaient si fournis qu’on distinguait à peine sa fente. Moi, à l’époque, je ne possédais qu’un maigre gazon clairsemé.

Du plat de la main, j’avais caressé cette fourrure qui me fascinait. “Dépêche-toi, on n’a pas toute la nuit, la surveillante ne va pas tarder à faire sa ronde.” Et, de deux doigts, elle avait entrouvert sa founette. Son odeur m’était montée à la tête. Un parfum animal, lourd et acide. Un parfum de femelle qui tranchait avec son physique angélique. Répugnant et attirant à la fois. Des babines charnues encadraient son clitoris qui pointait tel un bout de langue obscène. Je m’étais jetée dessus pour y presser ma bouche. Elle avait eu un geste de recul précipité. “Hé ! Qu’est-ce que tu fais ? Je ne suis pas une gouine moi !” Mais le contact ne lui déplaisait sans doute pas trop puisque, malgré cette protestation hypocrite, elle m’avait laissé continuer.

Son bouton gonflait entre mes lèvres, petite friandise succulente que j’aspirais religieusement. Elle s’était étonnée : “Ça ne te dégoûte pas de m’embrasser là ? T’es une belle cochonne ! On me l’avait dit mais je ne voulais pas le croire, c’est pour ça que je suis venue…Tout à coup, son corps s’était raidi. Elle avait fait : “Ah !”, et ses mains m’avaient repoussée. Avec le temps, j’allais me familiariser avec cette façon de jouir. Elle ne s’extériorisait pas. Un liquide gras avait coulé dans ma gorge. Elle avait remonté sa culotte et m’avait balancé d’une voix haineuse : “T’es qu’une sale petite gouine ! Je ne veux plus jamais que tu m’adresses la parole.” Mais elle était revenue.

Chattes et langues

Une nuit que je m’étais levée pour faire pipi, elle m’avait coincée dans les toilettes.Refais-moi ce que tu m’as fait la dernière fois.” J’avais ravalé mes réflexions et je m’étais appliquée à la caresser avec ma langue. Vu la quantité de jus qu’elle répandait, il me paraissait évident qu’elle attendait ce moment depuis un bout de temps.

Sa jouissance n’avait pas été plus démonstrative que la première fois mais à la fin, elle avait ordonné : “Reviens ici demain à la même heure. Et maintenant je ne veux plus te voir avec une autre fille.” J’en avais ressenti un bonheur formidable. Elle ne se doutait pas que j’étais amoureuse d’elle. Notre liaison avait duré jusqu’à la fin des classes. Elle ne me caressait jamais, ne m’adressait la parole que quand c’était nécessaire et, en compagnie de ses copines, faisait mine de me dédaigner. Mais j’étais amoureuse comme on l’est à 17 ans… Avec passion. Sans rien demander en échange que la joie de l’amener à se raidir et à jouir. Lui donner du plaisir, c’était mon plus grand bonheur.

Et voilà qu’elle se trouvait devant moi quinze ans après, dans les WC de mon appartement, la jupe troussée à m’exhiber sa chatte en me rappelant ce qui s’était passé entre nous. Je me suis agenouillée à ses pieds, mais elle a retenu mon élan. “Attends ! À Saint-J…, c’était toujours toi qui me suçaisJ’ai changé tu sais, et j’ai envie de te le faire à mon tour.” Tout en parlant, elle avait déboutonné mon jean. Puis, elle a ajouté : “Tu ne crois pas que ce serait plus confortable si on allait dans ta chambre ?” La gorge nouée par l’émotion, j’ai hoché la tête.

Trois minutes plus tard, allongée sur le lit, elle me chuchotait à l’oreille : “Tu aimes le 69 ?” Sur ma réponse positive, nous nous sommes disposées tête-bêche, elle au-dessus de moi. Sa toison blonde d’autrefois avait disparu. Rasée pour se conformer à la mode. Mais l’odeur violemment iodée de son intimité me rappelait des souvenirs. Tout de suite, négligeant les préliminaires, sa bouche a plongé au cœur de ma foufoune. Elle me suçait avec avidité, comme si elle voulait rattraper le temps perdu. Sa langue me fouillait sans relâche, ses lèvres tétaient goulûment mon clitoris, à la limite de la douleur.

Pourtant, en dépit de sa maladresse, je sentais un formidable orgasme se dessiner. Ce que je n’avais jamais osé imaginer à l’époque de l’institution se réalisait enfin. Le grand amour de mon adolescence se donnait à moi avec passion. Épuisée, je n’ai même pas eu la force de lui rendre la pareille. Cette jouissance m’a arraché un long râle de bonheur.

Un peu après, comme je reprenais mon souffle, Élise s’est penchée vers moi. “Alors ? Tu es contente de ton élève ?” Je lui ai souri sans répondre, mais en la serrant contre moi. Elle ne pouvait pas savoir le cadeau qu’elle venait de me faire…

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