L’inconnu de Paris

La rédaction 6 octobre 2020

Talia, 50 ans, se promène sur les quais de Paris quand elle tombe sur un bel inconnu dans un endroit un peu plus reculé des passants…

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J’ai redécouvert Paris au mois d’août. Je me suis mise à sortir au coucher du soleil, pour me distraire et pour explorer ma ville. Les gens avaient investi l’espace, assis sur les quais. L’air était chargé d’amour et de sexe. Je sentais les regards s’attarder sur moi, me déshabiller. Pour une fois, ça ne me dérangeait pas. J’en étais même assez heureuse. Je portais un jogging avec un simple t-shirt un peu moulant et pas de soutien-gorge. Mes seins étaient en liberté et j’étais sortie sans rien, à part mes clés.

J’aimais marcher dans cet espace urbain, sentir l’air sur ma peau et aussi observer les hommes autour de moi. En particulier ceux qui s’exerçaient sur les barres de traction au bord du canal, leurs muscles se dessinant quand ils se hissaient dessus, leurs épaules larges bougeant au gré de l’effort. Les odeurs d’eau de Cologne masculine bon marché embaumaient l’espace et me faisaient fermer les yeux pour mieux les humer. J’avais envie de sentir ce parfum et ces bras autour de moi. Je ne vous ai pas encore précisé que je suis une femme de 50 ans qui fait se retourner jusqu’aux étudiants sur son passage.

J’adorais cet air chargé de testostérone et les beaux visages d’hommes que je voyais sur mon chemin.

A force de marcher le long du canal, je suis arrivée à la hauteur d’une friche semi-urbaine parsemée d’herbes folles. Il n’y avait plus personne, ou presque. Un homme s’était assis là, sur un bout de quai, pour observer l’eau. Il était beau, la trentaine je dirais, crâne presque rasé, peau hâlé soulignée par un marcel blanc, imposant. On s’est regardés en souriant et, comme il fumait, il m’a proposé une cigarette. Curieuse, je me suis assise à ses côtés, mes pieds pendant dans le vide, et j’ai accepté la cigarette que j’ai fumée en le regardant à travers les volutes qui se dispersaient dans l’air du soir.

Nous avons discuté pendant un moment jusqu’à ce que le soleil se couche tout à fait et que nous ne soyons plus éclairés que par un vague réverbère au loin, et par la lune. J’ai fini par tendre mes lèvres vers lui. Son rire, son visage, son corps étaient si accueillants et attirants… Ses lèvres pulpeuses se sont mêlées aux miennes et sont venues couvrir ma bouche, la réveiller délicatement, la sucer doucement. Je sentais déjà mon sexe s’inonder. En sortant de chez moi, j’avais déjà du désir et je venais de rencontrer une âme amie dont le désir allait à la rencontre du mien.

Je lui ai enlevé son marcel et j’ai caressé son torse, ses muscles, sa peau sombre. Lui aussi a enlevé mon t-shirt et s’est collé contre moi pour que je n’aie pas froid. Mes tétons pointaient contre lui. Très doucement, il m’a fait allonger sur le quai, le corps reposant sur le bitume, et il a mis nos t-shirts sous ma tête. Il a embrassé la peau entre mes seins jusqu’à mon ventre, traçant une ligne humide le long de mon buste. J’étais emplie d’un désir débordant pour lui et ma peau était parcourue de frissons.

Il a retiré mes baskets et mon jogging et a embrassé l’intérieur de mes cuisses, jusqu’à me faire trembler littéralement de désir. Ses lèvres ont frôlé ma fente, puis il a baissé ma culotte pour me lécher. Le contact de sa langue dans cet endroit si intime m’a arraché un cri de plaisir. Son cunni était un délice, avec une stimulation continue de mon clito qui s’embrasait de plus en plus. Quand je criais trop fort, il arrêtait, puis reprenait de plus belle, jusqu’à ce que je le supplie de me baiser…

Il a baissé son jogging et j’ai vu sa longue bite dure et dressée contre son bas-ventre, sublime. C’est une des rares fois où j’ai trouvé une bite vraiment belle, virile mais pas menaçante, tendre et soyeuse. Je la regardais au-dessus de moi et je frissonnais à la simple idée qu’elle allait entrer dans mon sexe. Il a mis une capote et s’est installé entre mes jambes, qui se sont refermées sur son dos. Il y est allé doucement, vu la taille de son engin. J’ai adoré le sentir s’enfoncer petit à petit dans ma chatte qui ruisselait de désir.

L’air du soir était doux, je pouvais voir les étoiles. Il n’y avait aucun bruit autour de nous, juste quelques échos lointains de la ville et le clapotis de l’eau. J’espérais quand même qu’aucun promeneur ne s’aventure de ce côté-là du canal. J’avais enfreint toutes les règles de sécurité en abordant cet étranger dans une friche sans personne autour. Mais j’avais bien fait : tout mon corps me disait que cet homme-là ne me ferait que du bien, et c’était ce qui était en train de se produire.

Son corps a ondulé contre le mien, mes mains se sont posées sur ses fesses fermes. J’accompagnais son mouvement en agrippant son cul à pleines mains. Je n’étais pas passive du tout, mes cris de plaisir me dépassaient, mon bassin remuait, ma chatte se resserrait autour de lui et mes ongles s’enfonçaient dans la chair douce de ses fesses pour qu’il me prenne plus profondément encore.

Puis il a accéléré le mouvement et s’est mis à me sauter franchement, encouragé par les manifestations de mon plaisir. C’en était trop, j’étais comme un animal, jambes agrippées autour de lui, le bassin décollant presque du sol pendant que lui me soutenait par les hanches pour me cribler de ses coups de bite. Son sexe se fondait dans mon fourreau trempé de mouille dans ce bruit caractéristique de va-et-vient qui achevait de m’exciter.

J’ai glissé une main entre lui et moi pour toucher mon clito, juste quelques caresses, pendant que nos sexes s’accouplaient follement. Nous avons joui ensemble, nos corps s’emboîtant comme des possédés. Il s’est allongé sur le bitume à côté de moi pour continuer de me caresser, et pendant l’heure que nous avons encore passée ensemble, chacun de ses frôlements continuait d’éveiller mon désir… J’espère le revoir et j’aimerais qu’il se reconnaisse dans ces lignes.

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