Un amant talentueux et bien équipé

La rédaction 9 novembre 2024

Pauline, 37 ans du Tarn-et-Garonne a décidé de prendre Thierry un collègue de travail connu pour être bien équipé, pour amant. Elle raconte son adultère…

« Il », « Lui », c’est Thierry, mon amant, celui qui m’a fait me sentir femme, avec qui je partage nombre d’histoire de sexe amateur et qui a libéré tous mes phantasmes. « Il » a un petit bidon, une calvitie naissante, des poils partout, en gros, tout ce que n’est pas mon mari et que j’ai toujours fui. Quelle erreur ! « Il » est divinement vicieux, sensuellement cochon, absolument pervers et qu’est-ce que j’aime ça !

Un amant extraordinaire

« Il » m’a dragué pendant de longs mois, je n’avais que mépris pour ce petit chefaillon qui hantait les couloirs de ma société, obscur comptable anonyme à mes yeux. Mais lorsque j’ai repéré qu’il était toujours entouré d’une myriade de jolies filles au réfectoire, je me suis renseigné, et j’ai appris qu’il s’était tapé la moitié des femmes de la boîte ! Monsieur avait, paraît-il, une grosse bite (alors franchement, rien à faire, me disais-je à l’époque) et baisait tel un dieu. J’ai cru, un moment, qu’on se fichait de moi, mais pas du tout, des photos ont commencé à arriver sur mon téléphone, il s’était même fait Irène, la secrétaire de direction, belle comme le jour et qu’il avait copieusement enculée, pour son plus grand plaisir à ce que je pouvais en juger.

Me voilà donc avec « Lui », mon éducation puritaine s’est envolée, moi qui ne baise que toute lumière éteinte et sous la couette avec mon mari, là tout se fait au grand jour, plus de barrière, je deviens une putain sacrée, une catin divine, « Il » vénère chaque parcelle de mon corps, prend soin de moi, me rase la chatte et l’anus, me crème, me lèche jusqu’à l’évanouissement. Il n’est pas beau, il est fantastique, il émane de cet homme une aura érotique absolument dingue. Je peux tout me permettre avec lui, rien n’est sale, rien n’est dégradant. Lors d’une de nos folles après-midi, on a commencé par un bain très coquin. Très galant et vu la petitesse de la baignoire, « Il » m’a laissée y aller en premier. Je me suis prélassée dans l’eau chaude tout en le regardant se toucher gentiment la queue et en me tripotant aussi de mon côté. Ses yeux fixés sur ma chatte m’ont incitée à écarter les jambes et à aller plus loin dans le jeu « exhibition-voyeur ». Ma main s’est aventurée sur ma vulve, j’ai ouvert les pétales fragiles de mon sexe et mon arrière-train. Mes doigts n’ont plus eu qu’à suivre le chemin naturel de mes anfractuosités, ils ont pénétré mes chairs sans peine.

Masturbation & fellation

Je me suis levée à sa demande et lui ai présenté mes fesses, il en a repoussé une pour dégager mon anus et le lécher à m’en rendre folle. Ses phalanges m’ont enculé jusqu’à ce que je jouisse ainsi, debout, en appui sur le froid de la faïence murale. Ma chatte gouttait, mon œillet sombre se contractait autour de son index et de son majeur, l’orgasme a été un ouragan qui a duré longtemps et dont l’écho s’est propagé dans tout mon être. En me tournant légèrement, j’ai aperçu le vit derrière moi se gonfler d’un coup. Je n’ai eu qu’à ouvrir la bouche et le gros gland s’est faufilé tout contre ma langue. La bite était chaude, salée de présperme, elle sentait fort et cela m’a fait mouiller, j’aime le goût de son sexe. La liqueur qui s’échappait du méat était douce et coulait dans ma gorge. Je suis sortie et me suis agenouillée afin d’être plus à mon aise et continuer ma fellation en donnant le meilleur de moi-même.

Mon front s’enfonçait dans le ventre douillet, son souffle me disait à quel point je lui faisais du bien. J’étais à ma place, heureuse de conférer du plaisir à cet homme banal et si excitant à la fois. Ma salive abondante nimbait le fruit de mon désir, je prodiguais de petits à-coups au frein pour mieux descendre sur toute la hampe et gober les belles couilles ovoïdes l’une après l’autre. Je me suis caressé les seins, « Il » adore que je joue avec mes nénés comme il les appelle. Après qu’il se soit, à son tour, immergé dans l’eau savonneuse, j’ai pu resaisir son sexe. La tige rigide dépassait de la surface tel un périscope organique.

Je l’ai branlé très doucement, je ne suis pas très douée de la main gauche, mais lorsque je l’ai vu fermer les yeux, j’ai su que j’étais sur le bon chemin et que, si je ne relâchais pas mon rythme, ma récompense n’allait pas tarder à gicler de son phallus exigeant. « Il » s’est levé d’un coup, le but était presque atteint, j’ai continué à le masturber, plus vite cette fois, en prenant bien garde à décalotter à fond le dessous du chibre, là où le frein s’attache au gland, c’est sa zone sensible. Un grognement, ses jambes se sont tendues telles des cordes d’arcs, et enfin le foutre a jailli, épais comme j’aime, onctueux et crémeux, mon visage en a été recouvert.

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