Avantage en nature
29 janvier 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/01/histoire-de-sexe-avantage-en-nature.jpg)
Mon boss est un type bien, en plus d’embaucher des salariés de tout horizon, il est généreux et donne des primes plutôt que de payer trop d’impôts. L’an passé il a eu vent que j’avais couché avec deux ou trois femmes de l’entreprise et, en janvier dernier, il a abordé le sujet lors de mon entretien d’évaluation. J’étais sûr qu’il allait me virer, non que s’envoyer en l’air entre collègues soit interdit, mais je ne me sentais pas super à l’aise. Pas du tout ! Non seulement il m’a augmenté, mais en plus il a sorti une clef USB de sa poche et a affiché sur son PC des clichés très crus d’une nana blonde, sa propre épouse ! Voici mon histoire de sexe amateur.
Un boss candauliste
Il m’a demandé si elle me plaisait, je la trouvais canon ! La proposition est venue directement après : la baiser pendant qu’il nous filmerait et nous shooterait. Le vendredi soir suivant, nous sommes rejoints dans un hôtel chic, Sofia était nue sur le lit, j’étais intimidé, son mari, mon patron, était en plein shooting, je me suis néanmoins mis à bander instantanément, j’adore les blondes à forte poitrine et Sofia était encore plus belle en vrai qu’en photo. Elle s’est levée pour me déshabiller et nous avons grimpé sur le matelas, elle semblait fascinée par la taille de ma queue.
« Tu vois, je ne t’avais pas menti, mon amour », a dit mon PDG, « Charlotte (une de mes collègues) a pris un pied d’enfer avec ce gros chibre noir ! Vas-y, bouffe-lui la bite et laisse-toi baiser comme la belle petite salope que tu es ! »
Ses paroles ont encore fait gonfler mon phallus tout comme les coups de langue et les mouvements de succions de Sofia. Elle enfilait mon mât quasi entier toute au fond de sa gorge tout en me palpant les couilles et en chatouillant mon anus, c’était délicieusement cochon. Son mari alternait entre caméscope et appareil photo, nous mitraillant, claquant le cul de sa belle de temps en temps et regardant de près mon chibre d’ébène disparaître entre les lèvres de sa femme.
Sofia s’est ensuite accroupie au-dessus de moi et, guidant ma tige vers sa fente, s’est laissée couler lentement afin d’apprivoiser mon obélisque d’onyx. J’ai senti son vagin s’élargir au fur et à mesure de ses va-et-vient, jusqu’à ce qu’elle réussisse à accepter toute la longueur en elle, mon gland butait contre son col, sa chatte était serrée, onctueuse, trempée tellement que sa cyprine giclait en gouttelettes nerveuses sur mon pubis. Elle s’est fait jouir en quelques aller-retour, fort, en criant dans cette chambre feutrée et hors de prix.
Se taper la femme du patron
Elle m’a sucé de nouveau, laissant fondre ses sucs intimes dans une coupe de champagne en y plongeant mon fruit puis en le portant à ses lèvres. Cette récréation passée, Sofia s’est installée sur le lit en levrette, ses gros seins qui pendaient m’excitaient à mort et lorsque son mari lui a dit qu’elle ne cambrait pas assez les reins, elle a cassé son échine et j’ai vu toute sa vulve et son trou du cul s’ouvrir et s’ épanouir devant mes yeux ébahis.
« Vas-y Maurice, démonte-lui le cul à cette petite catin » et j’ai vu mon patron sortir sa bite, un minuscule bout de saucisse blanche et rose et se branler, tout rouge, en nous regardant.
Je me suis agenouillé derrière le joli fessier somptueux et j’ai fourré ma queue tout entière dans le fourreau étroit. Sofia a crié encore, se déchaînant vocalement cette fois, m’invectivant, éructant des insanités, se traitant elle-même de vicieuse, de courtisane, de salope et me demandant, pour la punir de ne pas avoir été sage, de la défoncer aussi fort que je pouvais.
J’ai lâché mes coups de boutoir, les vingt-cinq centimètres de mon pénis étaient animés d’une vie propre, j’étais fasciné par la mouille qui coulait en abondance du con totalement ouvert et rougi par les frottements intenses de ma hampe large. Je l’ai bourrée de toutes mes forces, attrapant ses fesses voluptueuses à pleines mains, faisant blanchir sa peau aux endroits où mes ongles s’enfonçaient dans sa chair. Elle a eu un orgasme fou, se projetant à plat ventre pour échapper à mes pénétrations de plus en plus profondes, son corps envahi par des tremblements que Sofia ne pouvait pas contrôler.
Lorsqu’elle s’est reprise, elle avait des étoiles dans les yeux, quelques larmes ont coulé sur ses jolies joues et, d’un air presque enfantin, elle a fini de me tuer en me demandant d’éjaculer sur sa chatte et de la souiller le plus possible. Je me suis donc exécuté et me suis secoué le manche, Sofia m’a aidé en se fourrant des doigts dans tous ses orifices, mon foutre a fusé en quantité et mon amante a joui en entendant son mari gicler lui aussi.
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