Boss, oui bosse !

La rédaction 25 juillet 2024

Lucie rencontre pour la première fois son nouveau patron ainsi que sa secrétaire, au sein de l’entreprise qu’elle convoite. Il faut dire que les rumeurs sur leurs pratiques érotiques les précèdent et que la petite brune coquine à forte poitrine sait déjà dans quel type de boîte elle met les pieds. Elle est bien décidée à obtenir toutes les faveurs de son futur boss ! Même les plus osées…

J’avais répété mille fois ces mots dans ma tête : « Bonjour, je suis Lucie, nouvelle recrue au poste de secrétaire dans une entreprise spécialisée en consulting auprès d’assurances bancaires. » Et l’idée même de cette nouvelle prise de fonction m’excitait à mort. J’arrivais ce matin-là pour mon tout premier jour, le cœur rempli d’impatience et d’anxiété face à l’avenir qui m’attendait dans cette société réputée.

J’ai poussé avec précaution la porte du bureau de mon futur boss, Alexandre : un brun séduisant aux yeux perçants et à la queue-de-cheval impeccablement coiffée. Il était assis sur son vaste bureau en train d’étudier un dossier avec Florence – que je devais remplacer – une magnifique blonde pulpeuse.

Ils m’ont regardée de la tête aux pieds sans cacher leur curiosité et, d’un geste très vif, très risqué pour ma carrière, j’ai un peu plus ouvert mon manteau en laine gris clair afin d’attirer leur attention sur mon énorme poitrine mise en valeur par une lingerie de dentelle.

Florence a compris instantanément la situation, elle s’est approchée de moi avec un sourire malicieux avant d’attraper la fermeture éclair pour la tirer et ouvrir le manteau jusqu’en bas, dévoilant ainsi totalement mon corps et mes atouts. Les présentations allaient très vite. J’avais entendu de nombreuses rumeurs sur ces deux larrons, et je voulais m’assurer que ce qu’on disait sur eux était vrai : qu’ils étaient de véritables bêtes de sexe, entre eux, comme avec leurs collaborateurs consentants.

Et je crois que je ne m’étais pas trompée ! Sans plus attendre, Alexandre s’est déplacé pour me rejoindre ; il a approché sa bouche à quelques centimètres de mon visage et sa main baladeuse a caressé son entrejambe, pour me prouver l’effet que j’avais sur lui.

Dans le même temps, Florence a dévoilé son torse et il s’est tourné vers elle pour me comparer aux courbes généreuses qu’elle avait toujours su mettre en valeur lorsqu’il travaillait auparavant à ses côtés. « Tu vois, ma chère Lucie… j’ai l’impression que tu ne seras pas si différente de Florence.

Et je sens que tu as des prédispositions pour prendre soin de ton patron comme elle a su le faire pendant des années ! » s’est amusé Alexandre. Je ne me sentais pas pour autant exclue, j’ai très vite compris ce qu’il attendait : j’ai posé mes mains sur ma généreuse paire de seins afin de bien les comprimer l’un contre l’autre ! Pendant que nous exhibions nos attributs avec une certaine malice, Alexandre a dégrafé son pantalon pour sortir un énorme pénis tendu vers le ciel.

C’était le boss et il le faisait comprendre ! L’odeur entêtante de nos phéromones mélangées à celle boisée de son bureau remplissait mes narines et un sentiment d’excitation m’envahissait. Je ne savais plus où donner de la tête, mais je pouvais voir clairement l’expression satisfaite du visage d’Alexandre lorsqu’il m’a fixée intensément tout en se caressant doucement…

N’y tenant plus, le patron a enfoui son visage tout entier dans mon décolleté vertigineux : son nez et sa bouche ont disparu presque entièrement entre mes énormes balluchons ! J’ai senti ses cheveux chatouiller doucement les bouts de mes tétons qui pointaient déjà depuis quelques minutes à travers ma lingerie, tandis qu’il humait l’odeur des tissus légers habillant mes seins.

Il a commencé à embrasser chaque courbe et recoin du galbe de ma poitrine comme s’il voulait les mémoriser pour mieux les apprécier : sa langue glissait avec délectation sur mes tétons dressés tandis que ses lèvres goûtaient à chaque centimètre carré de ma peau offerte.

Je n’ai pu m’empêcher de laisser échapper un gémissement sourd et de jeter un regard à Florence qui observait cette scène avec envie… J’ai alors compris que ce n’était que le début des réjouissances.

Alexandre s’est installé debout devant nous, sa queue toujours en érection dépassait de sa braguette ouverte : cela m’impressionnait et j’ai immédiatement su ce qu’il attendait de ma part. Je savais que je n’avais pas le droit à l’erreur, je devais réussir ce test.

J’ai ouvert grand la bouche pour accueillir son sexe au mieux, sachant que je jouais là tout mon avenir professionnel. Un peu affolée par la taille de l’engin, ma gorge s’est nouée, mais je ne me suis pas défilée. J’ai enveloppé son pénis du bout de mes lèvres, craignant qu’il ne dépasse pas les premiers centimètres de ma mâchoire. Ça bloquait un peu, tant pis ! Je ne me suis pas démontée. J’ai doucement léché la hampe tendue et les testicules pleines.

Attentive au plaisir de son chef, Florence s’est agenouillée à mes côtés et a descendu doucement la bretelle de mon soutien-gorge, exposant ainsi mon sein nu, comme un trophée.

Alors qu’Alexandre continuait à essayer d’enfoncer son énorme queue dans ma bouche, me faisant comprendre que toute mon intégration résidait dans cette prouesse, j’ai senti les doigts agiles de Florence caresser mes tétons dressés : elle me tripotait le sein avec curiosité ! Puis, telle une maîtresse qui constate que son élève ne fait pas comme il faut, sa main est venue se poser sur mes hanches, de façon plus brutale.

Elle allait me montrer, elle allait elle aussi sucer la belle queue de son boss. Elle m’a alors légèrement poussée sur le côté, comme si nous nous disputions le même jouet et je l’ai vu engloutir avec beaucoup d’expertise la bite d’Alexandre qu’elle semblait connaître par cœur. Je regardais son travail avec beaucoup d’attention.

Mentalement, je prenais des notes en me disant que j’aurais certainement à le refaire tous les jours dans le cadre de mes fonctions. Sa langue lapait, bien à plat, toute la hampe d’Alexandre.

Elle s’arrêtait quelques secondes au niveau du frein, et serpentait, joueuse, autour du gland, avant de s’enfoncer, comme elle pouvait, au niveau du méat. À la tête d’Alexandre, j’ai compris qu’elle avait parfaitement réussi l’exercice. De mon côté, la leçon était assimilée.

Alexandre a décidé de reprendre la situation en main. Il a fait glisser sa bite luisante entre nos deux paires de seins généreusement offertes : nous étions à genoux côte-à-côte pour offrir une double branlette des plus sensuelles. Nos langues se sont ensuite jointes dans un mouvement synchronisé sur le gland d’Alexandre, touchant le bout de son sexe avec nos extrémités humides et chaudes.

Il poussait des cris très enthousiastes. Des cris qui nous prouvaient que nous lui donnions tout le plaisir qu’il attendait.

Je crois que j’avais gagné leur faveur et leur clémence. Alexandre et Florence se sont alors lancé un regard entendu pour venir s’occuper de moi. Florence, d’abord, s’est mise à me lécher la fente déjà bien humidifiée par tous ces préliminaires. Étais-je déjà dans cet état avant même d’arriver au bureau ? C’est bien possible.

« Regarde-moi ça, cette nouvelle recrue est déjà toute trempée après quelques minutes seulement au sein de l’établissement. » s’est écriée Florence, ajoutant à ma honte de me laisser aller si facilement. Pour confirmer ses dires, Alexandre s’est agenouillé au niveau de ma fente et m’a offert toute son attention. Sa langue agile jouait avec mon clitoris sensible pendant qu’il explorait chaque recoin intime de mon vagin avec ses doigts.

J’avais l’impression qu’il m’avalait et me dévorait. Que rien de mon intimité ne lui serait épargné. Florence s’est alors occupé de la face arrière et ce fut la première fois que je sentis deux langues s’agiter sur mon corps. Et ce fut si beau, et si bon !

Les deux complices ont poursuivi la présentation, révélant les unes après les autres les prochaines missions que j’aurais à remplir dans mon nouveau job. Florence s’est installée sur le bureau pour chevaucher notre boss. Je l’ai vu s’asseoir sur lui sans aucun mal, comme si elle se mettait sur son trône. Avec une grâce sublime, et sans se sentir déstabilisée par l’équilibre précaire, elle s’est agitée sur la queue, avec un air déterminé.

J’avais beau lui succéder dans l’entreprise, elle me faisait encore comprendre que pour l’instant, c’était elle, la reine. J’ai tout de même essayé de trouver ma place, discrètement, intelligemment. Après tout, c’est bien ce que l’on me demandait ? Une intégration de qualité où ma plus-value serait reconnue sans empiéter sur celle des autres.

Comme un animal que l’on apprivoise, j’ai approché doucement ma bouche pour lécher sensuellement les testicules juteux d’Alexandre. La chose n’était pas facile lorsque les va-et-vient du cul de Florence se faisaient rapidement, mais par moment Alexandre stoppait le mouvement et je pouvais alors déguster ses boules à loisirs.

Lorsque le couple se remettait en branle, j’allais explorer le petit trou interdit des fesses de Florence !

Là, c’était elle qui stoppait un instant la cavalcade, profitant pleinement de ma langue chaude et aventureuse. Heureusement, elle était très propre, même si je sentais la chaleur de sa sueur et tout le sel des liquides de son corps. Elle me caressait le bras en guise de remerciement, j’avais gagné !

Les yeux mi-clos, Alexandre continuait à chevaucher Florence : son pénis s’enfonçait profondément dans sa chatte parfaitement épilée, si ce n’est un petit îlot bien soigné traçant une ligne sur son pubis. Pendant que les amants vivaient pleinement leur passion très exhibitionniste, je me suis positionnée en tant que voyeuse, et j’ai commencé à caresser ma chatte. Florence s’est relevée, essoufflée mais pas encore rassasiée : elle a alors décidé de prendre la position dominante sur le bureau !

Alexandre s’est mis debout pour continuer sa pénétration profonde pendant qu’elle hurlait bruyamment à chaque coup dur.

Je constatais qu’il n’y allait pas de main morte, et qu’il s’agrippait même au rebord du bureau pour accentuer la force de ses coups de rein. Pour soutenir Florence dans cet effort, je lui ai caressé la poitrine avec mes seins, de façon très sensuelle. J’avais l’impression qu’elle se déchargeait de ses sensations sur moi, et j’adorais ça.

Affolé par l’excitation, Alexandre a envoyé balader tout ce qui était sur son bureau – téléphones, stylos et dossiers divers – pour s’y allonger et prendre Florence en cuillère.

Il lui malaxait les seins en même temps, et lorsqu’elle a pu prendre un de mes globes en bouche, elle a décollé dans un orgasme impressionnant. Mes seins étaient à vifs, très sensibles et l’agréable morsure de Florence m’a fait jouir aussi, presqu’en même temps. Terrassée, elle s’est écriée : « Stop, Alexandre, je n’en peux plus ! Tu vois ? Tu m’épuises ! Heureusement que notre remplaçante est là pour reprendre ma mission. Je fais un burn-out ! »

Alexandre, bon joueur s’est alors retiré en l’embrassant tendrement et en lui susurrant plein de mots d’amour à l’oreille.

Il nous a relevées et nous a observées, toutes les deux, nues, côte-à-côte. Comme deux jolies statues posées dans son bureau. Nous dégoulinions d’épuisement et de nos propres fluides. Il nous a pris par les hanches et a introduit quelques doigts dans nos chattes respectives, jouant et caressant doucement les lèvres de nos sexes et l’entrée de nos cavités. « Mmmh, la chatte de Lucie est encore bien serrée.

Mmmh… on voit qu’elle a besoin d’un entraînement très régulier pour assouplir ses parois, comme les tiennes, ma chère Florence. » Et les deux complices se sont mis à rire bruyamment devant moi. Je ne savais comment réagir.

Alexandre s’est alors affairé à me doigter en me plaquant sur le bureau, le regard plongé dans le mien. Son intention était claire, il voulait me donner un orgasme. Il frottait en même temps sa bite bien dure contre ma cuisse et j’ai senti que si je n’y avais pas droit pour mon premier jour, j’allais bientôt avoir le privilège de sentir, moi aussi, sa queue au plus profond de mon ventre. Et d’être celle qui aurait l’avantage, peut-être même l’exclusivité, d’être régulièrement le réceptacle de ses pénétrations.

Cette pensée, ce fantasme, était si excitant pour moi que je me suis laissé aller à jouir. Je voyais le regard d’Alexandre plein de fierté contempler le moindre de mes spasmes et de mes grimaces. Il savait que maintenant j’étais totalement à lui.

« Allez, on va mettre un terme à cette réunion ! » s’est-il alors écrié, sans plus de précautions. Florence et moi avons aligné nos poitrines l’une contre l’autre et Alexandre s’est mis à s’astiquer juste au-dessus de nous. En quelques mouvements amples il a déversé tout son jus… et c’est moi qui en ai réceptionné le plus sur les seins ! Je n’ai pas pu résister à l’envie de lécher les quelques gouttes restantes que je pouvais atteindre du bout de la langue près de son méat.

Florence est gentiment allée chercher des mouchoirs, ainsi que des lingettes, et nous les a tendus. Manifestement, ils avaient leurs petites habitudes post-coït.

En nous rhabillant, chacun de notre côté, ils n’ont eu de cesse d’avoir des paroles très élogieuses à mon égard, plus que la plupart de mes collègues dans mes précédentes boîtes, et m’ont félicitée sur l’ensemble de mes capacités : mon expertise, mon sang-froid, ma discrétion, ma douceur. Pour ma part, je flottais dans un océan de bonheur. Et dire que toutes mes journées de travail allaient ressembler à ça.

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