L’épouse qui jouit d’un autre, c’est génial !

La rédaction 30 mai 2024

Fabrice, 52 ans, trouve des hommes pour baiser sa femme et pour combler ses besoins de voyeurisme.

Lorsque ma femme avait 48 ans, je recherchais des jeunes hommes que je rencontrais pour leur présenter des photos de ma femme en poses suggestives. Je retenais ceux chez qui je voyais s’allumer le désir dans le regard. L’un d’eux avait 22 ans (26 ans de moins !). Quand je l’ai amené chez moi, ma femme était au lit. J’ai d’abord fait la toilette du jeune homme moi-même. Il bandait déjà . Je l’ai poussé sur le lit. Il a commencé à lui donner des baisers partout, le visage, le cou, les épaules, les seins. Voici mon histoire de sexe.

Lécheur d’anus

Pendant ce temps, je préparais la vulve de ma femme en les regardant se cajoler. Ma femme a tout de suite été séduite par ce beau mâle. Elle soupesa les bourses qu’il avait très grosses. Quand j’ai vu qu’ils tremblaient tous les deux d’impatience, j’ai introduit moi-même la verge du garçon dans le vagin bien lubrifié de ma femme. Inouï d’entendre les gémissements de satisfaction qui accompagnent les sexes qui se trouvent. Je me suis mis à genoux derrière lui, entre ses jambes. Spectacle hallucinant des deux sexes qui s’épousent parfaitement.

La verge s’enfonçait lentement puis ressortait entièrement pour s’enfoncer de nouveau en mouvements très lents. Je voyais couler un fin filet de mouille dans la raie de ma femme. Une idée folle me saisit. Je me mis à califourchon sur les deux corps enlacés, la tête entre les fesses du jeune homme, mes bras contournant les fesses de ma femme pour attraper les grosses bourses et accompagner de mes mains le mouvement des deux corps, et j’enfonçai ma langue dans l’anus du jeune homme. Je sentis très nettement les contractions de l’anus lorsqu’il déchargea tandis que tous deux poussaient des cris de plaisir. Aussitôt je les séparai pour baiser ma femme avec furie.

Un voyeur comblé

Avec un autre jeune homme (27 ans), j’arrangeai un rendez-vous avec ma femme, sans y participer. Ils se plurent et décidèrent de se rencontrer chaque semaine. Je voyais le jeune homme ensuite et il me racontait la progression de leur relation et les péripéties de leurs ébats qui se passaient soit à l’hôtel, soit chez moi. C’était affolant. Quand j’ai compris qu’ils étaient devenus très intimes, je me suis arrangé pour revenir chez moi alors que je savais qu’ils y avaient rendez-vous. Je me suis caché derrière le rideau d’une fenêtre de la chambre.

J’ai pu suivre par l’écoute le déshabillage, la douche commune, les mots obscènes que j’avais demandé qu’il lui apprenne, les clapotis de sucement, les gémissements. Tout mon désir de voyeur était comblé. Quand j’ai entendu enfin : « Enfile-moi vite maintenant », j’ai manqué défaillir, ma femme était devenue une vraie salope dont j’allais jouir terriblement. J’entendis qu’il la pénétrait car elle poussa un ha ! prolongé et le lit se mit à grincer en cadence. Elle m’avait dit qu’il avait de très grosses bourses. Ils s’arrêtèrent de bouger.

J’entendis ma femme chuchoter : « Je veux encore sentir tes couilles battre mes fesses, je vais les prendre à pleines mains quand tu déchargeras. » Et lui : « Ah ! tes fesses dans mes mains. Qu’elles sont grosses ! Qu’est-ce que tu mouilles ! » J’entendis le mouvement reprendre de plus en plus vite. Ils crièrent de joie en même temps, et ça durait…

Ils restèrent un long moment sans bouger. J’avais des crampes à rester si longtemps immobile, j’avais peur de manifester ma présence. Enfin j’entendis des baisers, des chuchotements. Il firent leur toilette et se séparèrent. Je souhaite à tous les maris de connaître ce bonheur exceptionnel d’être le témoin de l’orgasme de leur femme grâce au sexe d’un autre homme.

(Image à la une : Getty Images)

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« Puis, elle s’est enfoncé elle-même ma tige turgescente dans son sexe. J’ai été surpris par son humidité. On aurait dit qu’une armée d’escargots baveux s’était réunie dans son vagin. J’ai donné à ma copine un grand nombre de coups de reins nerveux et intenses. Je la bourrais littéralement. » Paul

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« Quelle n’est pas sa surprise de sentir deux mains la saisir fermement aux hanches et un sexe pénétrer sa vulve. Tout en lui maintenant la tête, je lui dis : «Ton voeu est exaucé, il s’agit bien de Bertrand». Au même moment, j’éjacule dans sa bouche. Sous les coups de boutoirs de Bertrand, elle obtient un violent orgasme pendant que lui décharge en elle. » Charles

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