Baiser sans faire de bruit
22 juillet 2023Malika, 20 ans, baise sa copine devant un mec qui lui court après depuis plusieurs années. Elle lui a permis de se rincer l’oeil, mais interdiction de la toucher.
Je suis une jeune maghrébine de 20 ans qui a plus d’un tour dans son sac côté sexe. Je suis bi et je m’acoquine avec toutes les personnes qui m’attirent, hommes comme femmes. En ce moment, j’ai une copine qui m’a fait découvrir de nouveaux plaisirs que je n’avais pas encore explorés, notamment le plaisir de l’exhibition. Ma meuf Céline m’a proposé de nous livrer en spectacle devant un petit mec qu’elle kiffe bien. C’est un gars qui apparemment a envie de la choper depuis bien longtemps. De son côté, elle n’a pas tellement envie, mais l’idée de venir titiller ses sens la faisait délirer. Elle désirait lui faire connaître le supplice de Tantale, à savoir lui exhiber deux nanas en train de baiser devant lui, sans qu’il puisse y toucher. Juste se rincer l’œil. J’ai adoré l’idée, d’autant que moi aussi, je le trouvais plutôt mignon ce mec et ça ne me dérangeait pas qu’il se remplisse les mirettes de la beauté de notre sexualité lesbienne. Voici notre histoire de sexe.
Se rincer l’oeil
Céline lui a proposé notre petit scénario. Il aurait juste le droit de regarder et de prendre quelques photos pour son kiff, c’est tout. C’était tout ce qu’elle avait à lui donner. Bien sûr, ça lui a donné chaud au type, il avait envie de nous grimper dessus mais déjà, nous voir à poil plutôt que de simplement nous imaginer, c’était déjà ouf pour lui. Nous avons organisé notre petite affaire. Il viendrait chez nous pendant que nous baiserions et il n’aurait pas le droit de faire de bruit ou de geste dans notre direction. Juste de mater, en la bouclant. On se serait chauffées auparavant et il n’aurait plus qu’à entrer discrètement et à s’en mettre plein les yeux. Il était chaud bouillant, le gars ! Le jour-J, nous nous sommes préparées toutes les deux, la blonde-poupée et la brune piquante… Nous formions un sacré duo ! Nous nous sommes dévêtues et nous sommes admirées l’une l’autre dans le miroir en pied de notre chambre en nous pelotant.
Je nous trouvais belles à tomber, ensemble. Il n’allait pas en revenir, le petit voyeur ! Ça nous excitait grave, de nous dire que nous allions nous en donner à cœur joie devant un témoin admiratif. J’ai commencé à chauffer ma nana en l’attrapant par le cou pour lui embrasser la nuque, le décolleté, les seins. J’ai pris ses tétons entre mes doigts pour les asticoter tout doucement. Je sais qu’elle adore ça, et ça s’entendait car elle s’est instantanément mise à miauler. C’est ce moment qu’a choisi notre larron pour arriver. La porte était ouverte, alors il s’est glissé dans l’entrée, puis en suivant les sons, dans notre chambre, tel un voleur qui profiterait du sommeil de ses proies pour les cambrioler. Il s’est mis dans un coin et a braqué ses yeux sur nous. Avec à peine un regard pour lui, nous avons continué sur notre lancée. J’ai dirigé les seins de Céline vers ma bouche pour en lécher les pointes. Elles étaient dures sous ma langue, comme deux petits bonbons roses adorables.
Bouffer la minette
Je m’en suis régalée sous les yeux de notre mateur amateur. Il a commencé à prendre des photos et à bouger un peu pour profiter de plans différents. Tant qu’à faire, on aurait de jolies photos souvenirs de nous deux ! Comme s’il était devenu le photographe officiel de notre sexualité. J’adorais l’idée et le fait d’imaginer ces photos contribuait à ma propre excitation, qui montait crescendo entre mes cuisses. J’ai couché Céline sur le dos pour la lécher généreusement. J’avais gardé aux pieds de grandes bottes noires qui sublimaient ma taille fine et ma peau hâlée. On aurait dit une James Bond girl, je vous jure ! J’ai fait haleter Céline sous ma langue en mode moulinette sur son clito.
J’ai accompagné mon cunni de quelques doigts bien placés dans son cul et dans sa chatte. Elle était au bord du précipice de l’orgasme. J’allais enfin voir en photo le visage qu’elle a quand je lui bouffe la chatte ! C’était une brillante idée. Puis elle a pris le relai pour me manger la
fente à mon tour. Nous avions presque oublié la présence de notre mateur, qui pourtant ne lâchait rien à sa contemplation, ni à ses photos. Il prenait nos culs levés en l’air pendant qu’on se léchait, mais aussi nos visages quand on se faisait lécher. La chevelure blonde de Céline détonnait au milieu du cuir vernis de mes bottes noires…
C’était une esthétique délicieusement fétiche-lesbien, propre à faire bander n’importe quel animal doté d’organes génitaux. Elle m’a aussi sucé les seins sensuellement, avant que je me jette sur elle sur le lit pour frotter mon clito au sien, entre ses jambes écartées… Jusqu’à entendre ses cris de jouissance tant attendus. Les photos qui en ressortent sont d’une telle beauté que nous avons décidé de vous en faire offrande, chère communauté de voyeurs…
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