Ma petite reine

La rédaction 20 juillet 2023

Irène vient d’acquérir un vélo d’appartement afin d’affiner sa silhouette pour l’été, mais elle manque de motivation. Rien de mieux qu’un coach sportif pour se donner de l’allant et surtout, ne pas adopter de mauvaises postures et ainsi risquer de se blesser. Diane, qu’elle a connue par une de ses amies, la rejoint pour l’aider à soigner sa gestuelle, à bien se positionner sur sa selle grâce à quelques accessoires et une technique bien à elle.

Depuis le temps qu’Irène voulait reprendre une activité physique, cette fois-ci, c’était décidé, elle tiendrait sa bonne résolution de début d’année. Mais pas question pour elle d’aller courir ou s’adonner à quelques froides machines dans une salle aux remugles de sueurs mêlées, sous les regards affamés de dragueurs plus lourds les uns que les autres.

Non, un vélo d’appartement ferait très bien l’affaire et justement il venait d’être livré et monté, elle attendait donc Diane, la coach qu’une de ses amies lui avait recommandée. La sonnette retentit et elle alla ouvrir à une très jolie jeune femme au visage d’ange cerné d’une longue chevelure blonde, une beauté un peu scandinave, mais plutôt petite. Sa silhouette svelte et visiblement bien ferme s’engouffra dans son entrée d’un pas décidé et aérien.

Short court et mal ajusté d’un vert pétant, top assorti, offrant de fines épaules nues qui accrochaient le regard.

Irène, légèrement mal à l’aise, grimpa immédiatement sur sa machine flambant neuve, impatiente toutefois de commencer les exercices lorsque Diane s’approcha d’elle, près, très près. Trop près pour être animée par d’honnêtes intentions. Son déhanché avait quelque chose de magnétique, son bas à l’élastique trop lâche laissait apparaître sa taille tandis qu’un beau quatre-vingt-cinq C sans soutien-gorge se dessinait désormais sous son tee-shirt enfilé, évidemment, à dessein.

Sans trop comprendre ce qu’il lui arrivait, Irène répondit à quelques questions sur son hygiène de vie, sur son alimentation, mais quand une nouvelle interrogation concerna ses préférences en termes de position sexuelle, elle n’eut pas le temps de répliquer que les lèvres de la coach vinrent s’écraser en douceur sur les siennes.

D’abord tout en délicatesse, le baiser s’enflamma, une langue sortie, appelant plus, réclamant une effusion mouillée, limpide, animale.

Pourquoi n’était-elle pas plus surprise que cela ?Leur amie commune était effectivement lesbienne, libertine, très, très portée sur la chose, carrément obsédée du cul en fait. D’ailleurs, n’avaient-elles pas couché ensemble, et ce à plusieurs reprises ? Et son attirance pour Diane était un bloc brûlant qui lui dévorait désormais les entrailles, elle sentit son cycliste se tremper au niveau de l’entrejambe, ses pointes de seins se raidir d’un coup, comme animées par les fils invisibles d’un marionnettiste pervers, même son petit trou était secoué de spasmes incontrôlables.Cette entité de désir venait déchirer toutes ses certitudes, elle ne voulait plus qu’une chose, se donner corps et âme à cette femme.

Leurs langues se mélangèrent avec grâce dans des entrelacs d’une lenteur experte. Les bouches se séparaient de quelques millimètres, maintenant mouillées de la salive de l’autre, pour mieux reprendre le chemin d’une fusion charnelle, sensuelle, féminine en un mot. Les vêtements de sport, élastiques et à l’accès facile, permirent quelques premières introspections coquines, mais déjà marquées. Des doigts curieux découvrirent, à l’aveugle, des seins fermes, des mamelons tendres, des peaux soyeuses et parfumées ainsi que des pubis glabres et satinés sous lesquels perlaient désormais des fentes affamées. Cette reconnaissance à l’aveugle aiguisa les appétits de chacune et fit fondre toutes les appréhensions de la belle brune.

Diane changea soudainement de braquet, enserrant le poignet d’Irène, elle lui roula une pelle d’une impudeur terrible puis les filles commencèrent à se déshabiller. Cela faisait longtemps qu’Irène n’avait pas pratiqué avec une femme et elle était impressionnée par l’assurance et la liberté qui s’offraient à elle. Seins désormais nus, elles laissèrent glisser leurs bas jusqu’au sol sans cesser de s’embrasser.

L’ambiance était de plus en plus chaude et la chattoune d’Irène mouillait au fur et à mesure de ce strip-tease improvisé.

Les parfums de son sexe montèrent rapidement à ses narines, à celles de Diane aussi, qui fut plus que prompte à faufiler une de ses mains sur l’entrejambe de sa compagne de jeu. Irène posa une fesse sur la selle et écarta une de ses cuisses comme on le fait pour une épilation à la cire afin de dégager le passage afin d’accéder au saint des saints. Le message fut capté cinq sur cinq !

La paume s’effaça et Diane s’agenouilla sur le tapis épais pour un cunnilingus qui promettait d’être, pour le moins, acrobatique. La course au plaisir était lancée, le Giro du saphisme pouvait s’élancer, les courbes vertigineuses des deux petites reines allaient être le terrain de jeux d’ascensions, de désirs fulgurants, de sprints furieux sur la ligne d’arrivée orgasmique et, à défaut de sucer “la roue” de l’autre, son clitoris serait un substitut parfait ! Le visage à hauteur de l’abricot tout lisse, ce fut d’abord un régal pour les yeux, écartant légèrement les nymphes pour faire éclore la chair purpurine et brillante d’une humidité qui en disait long sur la libido de sa propriétaire.

La langue d’une femme sur une femme, c’est une aventure sensuelle et sans limites, c’est l’assurance que les mouvements, les zones ciblées, les rythmes adoptés seront très vite en osmose avec leurs attentes et leurs envies.Le secret ?

Lâcher prise, se laisser aller, se donner à l’autre et tant pis pour la lumière vive qui conférait un relief obscène à tous les détails, jusqu’aux plus crus ; tant pis pour ces bruits de succions, de salive et de mouille aspirées en un cocktail hautement inflammable et puis, finalement, tant pis aussi pour tout le reste, les gémissements incontrôlables, les fragrances des chattes et des culs qui viennent piquer l’odorat délicat, mais réactif des deux beautés s’abandonnant mutuellement dans leurs bras.

Diane, sportive et souple, se contorsionna afin que ses léchouilles se répartissent bien partout sur les intimités les plus secrètes d’Irène.Lissant dans un premier temps son long sillon désormais inondé, elle se focalisa d’abord sur son ouverture vaginale, lapant, titillant, s’enfonçant dans ses contrées moelleuses pour en récolter tout le nectar. Déjà Irène perdait ses esprits, elle se sentait bien, belle et puissante, son corps se liquéfiait sous la douceur des caresses, mais également devant la perversité naturelle de Diane.

Après l’avoir copieusement mangée là, cette dernière se faufila derrière son hôtesse, elle voulait clairement accéder au côté pile et n’eut pas grand-chose à faire pour que son amante cède et se retourne sur le vélo.

Irène avait toujours été très sensible de l’anus, que ce soit par pénétration ou par anilinctus.

Elle ploya le bassin, bomba son fessier aussi tendre que ferme et permit à ses globes charnus de se séparer, laissant un couloir d’air léger lui parcourir cette zone si enfouie habituellement.

Le nez de la blonde se glissa dans la petite raie du cul qu’elle ne fut pas longue à ouvrir comme un fruit bien mûr libérant à sa vue un puits rose-thé.

La brune incandescente ne ressentit aucune gêne à lui offrir ainsi sa rondelle toute lisse sans aucune trace de pudeur. L’action buccale et linguale reprit de plus belle, cette fois-ci, alternant les orifices dans lesquels elle s’insinuait, vagin, trou du cul, vagin, trou du cul … aucune combativité de la part d’Irène pour se retenir de jouir, elle pencha son corps jusqu’à ce que ses seins touchent le cadre du vélo, elle regarda le menton aller et venir entre ses globes et cria en se perdant dans les méandres du plaisir. Ses cuisses en tremblèrent sans qu’elle puisse se contenir, tant son orgasme avait été profond, long et diablement agréable !

Mais c’était au tour de cette vicieuse petite blonde de prendre place sur la machine, elle qui avait tant porté d’attention aux trésors d’Irène, elle était en droit de prétendre aux mêmes élans de politesse. Un sextoy apparu comme par magie dans la main de la brune désormais totalement désinhibée, un beau gode couleur lavande, une bonne queue assortie de ses couilles bien rebondies, une superbe bite douce, flexible, docile et inépuisable. Irène colla ses seins contre le dos parsemé de blés soyeux et la ronde de leurs langues sensuelles reprit.

Aventurant quelques doigts sur la chatte inconnue, Irène a trouvé, comme chez elle, un terrain humide et accueillant. Son con était plus chaud que le sien et elle n’eut aucun mal à la doigter profondément, jusqu’à ce que sa mouille déborde et lui permette d’aller lubrifier son accès serré.

Diane avait tous les appétits, cela était facile à deviner à ses gémissements lorsqu’Irène effleura son clitoris, cette dernière maintint le phallus de substitution bien à la verticale, en appui sur la selle, et le guida vers la plaie béante, les petites lèvres charnues gobèrent l’engin et les centimètres colorés disparurent lentement au fond de la grotte.

Cela a produit un bruit mouillé et très cochon, une aubaine pour le duo qui adorait les sons du sexe, quand un vagin s’exprime de son contentement à être ainsi investi pleinement. Elle accompagna ses mouvements lascifs, une main sur l’une des fesses, l’autre s’occupant à caresser un sein ou le bourgeon bien dur et bien sorti de sa cachette ouatée.

Les seins de Diane attirèrent Irène de façon insoutenable, elle dégustait les belles poitrines en connaisseuse et n’avait aucun complexe vis-à-vis de la sienne, assez menue. Mais les tétons de Diane, bandés tels des petits dards pointus appelaient des attentions tantôt d’une délicatesse folle, tout en effleurements et en sensuels entrelacs, tantôt plus mordantes et incisives.

Irène s’aperçut vite que la miss n’était pas insensible à une certaine dose de sadisme de sa part, elle en profita tout son saoul ! Elle étira ses longues extrémités roses et ténues, les faisant rouler entre pouces et index comme on modèlerait un chewing-gum trop maché.

Les pulpes de l’une blanchissaient tandis qu’elle écrasait les fragiles groseilles pâles de l’autre et, plus elle l’entendait couiner, plus cela lui donnait de cœur à l’ouvrage. La fessée est venue tout naturellement après ça ! Les claques sont allées bon train, mignonnes pour commencer, elles s’avérèrent mordantes dans un crescendo de cris sensibles et rauques de la part de la proie consentante qui agitait sa tignasse solaire dans tous les sens.

Diane soulevait ses hanches aux lignes parfaites, attendait l’impact puis se laissait retomber sur le gode de tout son poids.Son orgasme surgit alors qu’elle se prenait le jouet au fond de la chatte avec force, les simili testicules mous venant s’écraser contre son petit trou. Irène put ainsi se repaître des contractions de toute cette intimité, le vagin en séquences de spasmes de plus en plus espacés et l’anus qui réagissait à l’unisson, s’ouvrant et se fermant au rythme des vagues de plaisir qui refluaient lentement.

Les deux femmes se câlinèrent un moment, Diane avait décollé très haut, il lui fallait une phase de récupération, ses jambes flageolaient, le couple féminin se rejoignit sur le tapis, toujours enlacé, s’échangeant de légers baisers mignons sur les lèvres, la gorge et les seins.

Des mots de douceur furent susurrés, mais le désir de sexe reprit vite ses droits impérieux. Les prémisses anales avaient donné des idées à chacune, mais Irène tenait à recouvrer l’initiative la première, elle invita donc Diane à lui offrir son arrière-train en levrette. Les deux pommes menues et toniques de sa coach tenues fermement en main, elle écarta les chairs et fit naître son but à ses regards gourmands, elle darda une langue décidée et alla à la rencontre de cette cavité fleurie et savoureuse.

Le verrou céda à peine le premier contact établi, le cyclope se détendait et se contractait, laissant l’appendice de sa visiteuse forcer le conduit serré pour le chasser quelques secondes plus tard, le jeu était délicieux et il dura longtemps.

Le muscle lingual a ceci de particulier, c’est qu’il est des plus puissants de l’anatomie humaine, celui d’Irène était, quant à lui, infatigable. Il forait, il lapait, il agaçait, il s’écrasait sur toute la surface de l’anneau pour mieux percer la cible ajustée et fouiller au plus loin qu’il le pouvait … avant que les choses ne prennent un autre tournant, bien plus sérieux celui-là.

Diane, ayant repris des forces et réanimée par les caresses qu’elle venait de recevoir, se lança à son tour à l’assaut du petit trou d’Irène. Sans préambule elle s’aventura à son tour dans un anilinctus torride, et se servit de la cyprine abondante qui dégoulinait du sexe de la brune aux yeux révulsés pour lubrifier l’issue qui réclamait son attention.

D’un geste sûr, le pouce à l’ongle peint en rouge se planta dans le plissé d’une Irène déjà au bord de l’orgasme, une phalange hésitante puis, le coup d’estoc qui enfonça le tout, à en plaquer sa paume contre la raie du cul, elle aussi humide d’une rosée parfumée.

En appui sur ses mains et ses pieds, cette dernière fit le pont, concentrée sur ce doigt qui allait et refluait sans aucune pause, dessinait des cercles avant d’être remplacé par le gode violet non loin.

Au tour de Diane d’aider sa consœur de débauche, l’olisbos bien ancré sur le tapis, elle glissa le gland dans l’anfractuosité, les pourtours souples de l’anneau cédèrent et le joli fessier complet se laissa retomber au sol avec peu de précautions.

Le diamètre de la bête était, tout de même, assez conséquent, mais bien qu’elle manquât de pratique, l’engin s’enfila tout au fond de son rectum. Elle poussa un long feulement de satisfaction qui fut bientôt mêlé de surprise. Poussant toujours plus loin son élève sur les pentes raides du plaisir, Diane venait de lui enfourner un bouquet digital et dilatait son con dans une tentative folle d’y introduire toute sa main.

Déjà pleinement investie par le cul, comment pourrait-elle tolérer un fist, soit-il vaginal ? Mais Diane, tous ses doigts réunis en tulipe, n’eût même pas besoin de forcer le passage, coincée à un certain stade, elle imprima un quart de tour à son fin poignet et le tout rentra en douceur dans les velours moites et turgides d’une Irène suffoquant sous le choc !

N’osant plus bouger, c’est le poing englouti dans sa chatte qui la guida dans ses mouvements, s’enculant en remontées et descentes lentes, le bloc lourd incrusté dans sa matrice donnait le LA à cette folle masturbation en double pénétration.Comblée, étouffant de tous les orifices, elle se sentait flotter entre deux mondes, se laissant noyer par ce plaisir totalement inattendu.

L’orage grondait dès les prémisses de la sodomie, la frénésie de la situation et des sensations engendrées par cette intromission absolue emporta tout sur son passage.

Les hormones de la jouissance se libérèrent dans les veines, se focalisant dans le clitoris et l’anus pour innerver tout le corps d’Irène qui ne put retenir un long jet de sucs intimes qui s’échappa de son méat pour aller inonder une partie du sol.

Elle retomba sur le tapis, extatique, et les pupilles dilatées comme ses orifices intimes, les fesses trempant dans une flaque de mouille et de sueur, vestiges aqueux d’un pinacle à nul autre pareil.

Les séances de gym, lorsqu’elles sont bien encadrées, sont franchement très différentes des efforts réalisés dans la solitude !

   
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